Le 2 avril, le Dauphiné Libéré a décrit, témoignages à l’appui, les zones de non droit qui se développent dans certains quartiers, zones prises en main par les mafias de la drogue et de l’économie parallèle. Les habitants des immeubles dont les adresses sont rendues publiques, sont victimes de ces agissements inadmissibles et se sentent totalement abandonnés. L’ADES a fait un communiqué à ce sujet qui rappelle les responsabilités notamment du maire pour la répression des troubles de voisinage.
Malheureusement l’Etat n’assume pas ses devoirs et la destruction de la police de proximité par la droite a conduit à abandonner de nombreux quartiers aux mafias. Il faut tout reconstruire. De plus, trop souvent, le maire n’assume pas non plus ses responsabilités de police.
Il n’est donc pas inutile que tout citoyen sache ce que dit la loi à ce sujet.