– Union PC-PS pour les départementales en Isère. Le PCF avait déclaré que jamais il ne participerait à une campagne soutenue par le président PS du Conseil Général. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il change d’avis et participe à une campagne unitaire avec le PS en obtenant le soutien de ce dernier sur les cantons d’Echirolles et Saint Martin d’Hères et avoir un représentant dans le canton de Fontaine-Seyssinet ainsi que dans le canton du Haut Grésivaudan. Pour sauver quelques postes, le PCF renie ses principes et s’allie avec les tenants de l’austérité gouvernementale. Ce genre de gymnastique politicienne n’empêche pas P. Voir ancien adjoint PCF de M. Destot qui s’essaye en donneur de leçon sur les politiques d’austérité, lui qui a voté l’augmentation de 9 % des taux des impôts locaux en décembre 2008 après avoir promis de ne pas les augmenter.
– Le faux diplôme de G. Fioraso. Mais pourquoi donc certains responsables politiques transgressent les règles de la vie commune ? Mme Fioraso avait déjà été obligée de ne plus s’occuper du CEA, vu que son compagnon y a un poste important. Voila que maintenant elle reconnait qu’elle n’avait pas le diplôme d’économie qu’elle avait indiqué dans ses CV. Alors qu’elle a eu la responsabilité du développement économique à la ville de Grenoble et à la Métro, pour justifier ces délégations elle se croyait obligée d’inventer un diplôme qu’elle n’avait pas pour plus de crédibilité.
– S. Gemmani (centre gauche) n’est pas content car il espérait que le PS lui ferait une place aux élections départementales : « le PS a choisi de nous tourner le dos, de nous traiter de façon odieuse, de favoriser son propre personnel politique et ses apparatchiks. on ne traite pas des partenaires comme ça ? ». Il découvre la dure loi du rapport de force et mesure qu’il ne pèse pas d’un grand poids.
– Après avoir voulu détruire le SMTC, les membres de la majorité sortante (PS-PC) du Conseil général, qui se présentent aux élections départementales essayent de faire croire qu’ils sont les défenseurs des transports publics alors qu’ils ont décidé de diminuer fortement la subvention au SMTC. De nombreux candidats PS (notamment à Grenoble) ont tellement peur d’être sanctionnés qu’ils camouflent leur appartenance politique.
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