La Métro a publié en juillet la lettre du PLH n°4. Il ne s’agit plus seulement d’examiner la question du logement des étudiants dans l’agglomération mais celle de l’ensemble des jeunes. Le public jeune (70 000 entre 20 et 29 ans) est constitué pour moitié d’étudiants, se caractérise par des situations extrêmement diverses et seulement 20 % vivent chez leurs parents. Quelles sont leurs spécificités dans leurs besoins en logements ? Comment la Métropole intervient-elle pour répondre à ces besoins et pour permettre à chaque jeune de se loger ?
Christine GARNIER, Vice-présidente déléguée à l’habitat, au logement et à la politique foncière précise : « La lettre du PLH analyse notamment les ressources (précaires, sans surprise), l’activité et la structure familiale des jeunes.
Un focus est fait sur les étudiants (qui constituent à peine plus de la moitié des jeunes de la Métropole) et sur leurs manières de se loger. Le parc de logement spécifique des jeunes et des étudiants, qui ne loge que 30 % des étudiants, semblait être globalement efficace mais la rentrée 2017 a montré son insuffisance : des étudiants modestes sont restés sans solution de logement. L’observatoire met encore en évidence le fait que le logement privé en diffus reste la solution principale de logement pour les jeunes, bien qu’il soit encore difficile à observer. »
On y trouve de nombreux chiffres sur la situation des jeunes et des étudiants et sur l’offre de logement spécifique, importante sur le territoire.
Toutes les Lettres du PLH sont consultables depuis ce lien.
