Réunion publique : La santé dans la Ville, mercredi 22 janvier 2025 à 19 h 45 à l’amphithéâtre de la Maison du Tourisme 14 rue de la République à Grenoble
Organisée par l’ADES, avec les interventions de :
Anouk Hermelin, médecin généraliste dans un centre de santé de l’AGECSA
Fanny Vincent, sociologue de la santé à l’Université de Saint-Étienne
Laurence Ruffin, Co-présidente de l’Union nationale des Coopératives
Pierre-André Juven, adjoint au Maire de Grenoble en charge de la santé
La première particularité de cette élection est une participation très faible par rapport à l’élection du 30 juin 2024, passant de 74% à seulement 35%. Moins d’un électeur sur 2 qui avait voté fin juin 2024 s’est déplacé.
Une analyse bureaux par bureaux à Grenoble montre que l’évolution de la participation n’a pas été homogène. Alors que la grande majorité des bureaux avaient eu une participation assez homogène comprise entre 70% et 80% le 30 juin 2024, le 12 janvier 2025 la participation évolue de 20% à 45%.
Dans les bureaux où la droite est plus implantée, la participation a moins diminué, contrairement à certains quartiers populaires où il y a une très forte chute de participation. Ces deux phénomènes expliquent en partie l’augmentation du vote de droite et le recul du candidat du Nouveau Front Populaire.
Il y a de fortes évolutions politiques dans les votes entre le 30 juin 2024 et le 12 janvier 2025. En premier lieu, fort recul du vote pour le NFP (presque 12 points). La dynamique observée lors de la création du NFP s’émousse, les difficultés nationales mettent à mal l’unité d’action. Ce phénomène négatif devrait pousser les états-majors nationaux à accepter que le NFP s’organise au niveau local pour renforcer l’unité à la base, ce qui modèrerait les déclarations parfois intempestives de certains leaders nationaux.
On s’attendait à ce que le Premier ministre apporte des précisions sur les grands choix qui vont devoir être faits dans le prochain budget. Impossible de savoir exactement ce qui va se passer, sauf sur un point qui a créé le suspense durant des semaines : quid de la réforme des retraites ? La réponse a été effectivement précise : on va laisser les partenaires sociaux en discuter et si au bout de quelques mois, ils ne se mettent pas d’accord, c’est la réforme actuelle qui s’appliquera. Donc ni suspension, ni abrogation. Traduction, puisque les partenaires sociaux ne seront pas d’accord sur le fond (le MEDEF ne passera pas d’accord important avec les syndicats de salariés), la réforme actuelle continuera. Même si après le discours Bayrou a fait une petite avancée en disant que l’Assemblée Nationale se prononcera après les partenaires sociaux.
Par contre, sans surprise il a parlé du poids de la dette, mais sans dire comment il va la stabiliser puis la diminuer et de la nécessité d’une stabilité gouvernementale, condition pour rester aux affaires…
Une précision financière cependant : l’effort demandé aux collectivités territoriales, passerait de 5 à 2,2 milliards, ce qui devrait faciliter la préparation du budget de la métropole grenobloise et les décisions modificatives pour les communes qui ont déjà voté leur budget.
Les collectivités (Ville de Grenoble et Grenoble Alpes Métropole) sont soumises à de nombreuses procédures administratives pour que le projet réponde à toutes les réglementations en vigueur. Celles-ci vont s’échelonner depuis l’enquête publique jusqu’à l’obtention du permis d’aménager ; la réalisation du projet est prévue pour démarrer en 2026 et pour se terminer en 2027.
L’enquête publique se déroule jusqu’au jeudi 6 février 2025 à 17 heures. Elle a pour fonction de vérifier si l’information sur l’impact sur l’environnement de ces aménagements est précise et complète.
Des contributions peuvent être déposées via ce site, mais aussi adressées par mail à participation@grenoblealpesmetropole.fr en indiquant « parc Jean Verlhac » dans le sujet du message.
Le commissaire-enquêteur tient des permanences indiquées sur le site ; les dossiers sont consultables au Patio à l’Arlequin, à l’Hôtel de Ville et au siège de la Métro à Hoche jusqu’au 6 février.
Pour une première lecture il est recommandé de lire la notice d’enquête publique, le résumé non technique de l’étude d‘impact, l’avis de la MRAE et la réponse de la Maitrise d’Ouvrage à cet avis.
Suite à la démission d’Anne-Sophie Olmos de sa fonction de vice-présidente chargée du cycle de l’eau, son remplacement devrait être proposé au prochain conseil de métropole. Cette délégation fait partie de la répartition entre les différents groupes de la majorité, c’est au groupe UMA (gauche et écologiste) que cette fonction avait été proposée en 2020. Le groupe UMA propose la candidature de Laura Siefert, conseillère métropolitaine, conseillère municipale de Seyssinet-Pariset pour être vice-présidente et présidente du conseil, d’exploitation de la régie eau et assainissement métropolitaine.
Ci-dessous un communiqué du groupe UMA du 15 janvier 2025 :
« La distribution de l’eau potable est un service public essentiel, vital, ainsi que la collecte et l’assainissement des eaux usées. Mais en France, particulièrement à partir des années 80, ces services publics ont été délégués à des sociétés privées pour plus de 57% de la population, notamment dans les villes. Ces entreprises privées de l’oligopole de l’eau ont démarché les collectivités locales, pour, y compris dans des conditions douteuses comme à Grenoble, s’emparer de ce service public de l’eau comme un marché en situation de monopole, de rente sans risque, pour de nombreuses années. Cet accaparement par les actionnaires privés c’est fait sous forme de « délégation de service public » dite « à la française », dénommée désormais « concession de service public », et leur a permis de réaliser des profits considérables sur les consommations des usagers et des collectivités publiques.
Le ministre de l’intérieur B. Retailleau s’empare de toutes les occasions pour relancer le débat sur le port du voile. Au moment des commémorations des attentats terroristes contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher, il prône l’interdiction stricte du port du voile islamique à l’université, dans les compétitions sportives et pour les accompagnatrices lors des sorties scolaires. En ce qui concerne ces dernières, le Conseil d’État a tranché clairement, dans un avis rendu en 2013 à la demande du Défenseur des droits : les « collaborateurs occasionnels du service public », autrement dit les mères de famille qui accompagnent les sorties scolaires ne doivent pas être soumis aux mêmes règles que les agents du service public, tenus au respect du principe de neutralité. La réponse du Conseil d’État avait été sans ambiguïté : « L’emploi par de nombreux textes des expressions »collaborateurs occasionnels » ou de leurs synonymes (…) n’entraîne en rien l’application de l’ensemble des sujétions imposées aux agents publics. » Le ministre veut-il encore une fois mettre en cause l’Etat de droit ?
La création de l’Etablissement Public Territorial du Bassin versant de l’Isère (EPTB Isère) est une création des Départements, des EPCI et des syndicats, qui exercent tout ou partie des compétences du grand cycle de l’eau, situés sur le bassin versant de l’Isère. Ces structures vont se regrouper pour coordonner leurs actions et échanger sur les problématiques qu’elles partagent sur le bassin versant. Le périmètre d’intervention de l’EPTB Isère correspond à l’intégralité du bassin versant de l’Isère et de ses affluents sans enclave, soit environ 12 000 km², voir plan ci-dessous.
À l’échelle du bassin versant de l’Isère, l’EPTB a pour objet de :
Faciliter, à l’échelle du bassin versant de l’Isère et en complémentarité de chacun de ses membres, sans chercher à se substituer à eux pour ce qu’ils sont en capacité de prendre en charge à leur niveau, la prévention des inondations, la gestion équilibrée et durable de la ressource en eau, ainsi que la préservation, la gestion et la restauration de la biodiversité des écosystèmes aquatiques et des zones humides ;
La préfète de l’Isère refuse à nouveau des documents dérangeants au commissaire enquêteur Gabriel Ullmann.
A la suite de ses différents recours (voir notre article ici), Gabriel Ullmann s’était étonné de voir que les préfets de l’Isère successifs faisaient très souvent appel au même avocat de Lyon, Me Antony Pinto, même pour des contentieux où nombre de préfets faisaient appel uniquement à leurs services. Voulant en savoir davantage, il a demandé en juillet 2024 au préfet de l’Isère de lui adresser tous les mandats de paiement au bénéfice de Me Anthony PINTO, avocat au barreau de Lyon, pour les années 2019 à 2024.
Il finit par recevoir une réponse, accompagnée d’une extraction du logiciel de comptabilité de la préfecture fortement caviardée et dans laquelle il manquait plusieurs années. Qu’on en juge :
Le 14 janvier 2025, la Cour des comptes rend un rapport très critique sur la filière EPR. Il s’agit du démarrage chaotique d’une nouvelle filière qui présente d’importants risques industriels et financiers. La Cour rappelle les retours d’expériences suite aux implantations des EPR en Chine (Taishan 1 et 2), en Finlande (Olkiluoto 3) puis Flamanville 3. Sont pointés les dysfonctionnements techniques entrainant des dérives financières qu’on retrouve sur le chantier d’Hinkley Point où EDF est confronté à une forte augmentation des coûts, à tel point que la Cour déconseille fortement à EDF de participer au projet de Sizewell en Grande Bretagne.
Cela met en cause la rentabilité de la filière des EPR2. La Cour estime que « le programme EPR 2 est marqué par un retard de conception, une absence de devis abouti et de plan de financement alors qu’EDF demeure très fortement endetté. Les conditions de financement de ce programme n’étant toujours pas arrêtées, la rentabilité du programme EPR 2 reste à ce jour inconnue. »
Encore une fois l’entêtement des décideurs est en train de fragiliser notre politique énergétique en privilégiant des investissements hasardeux dans le nucléaire plutôt que les énergies renouvelables dont le prix du KWh est inférieur à celui du nucléaire, surtout avec la mise en route de Flamanville 3. Qui va payer ces errements ? L’EPR de Flamanville a coûté 23,7 milliards d’euros, donc encore beaucoup plus cher qu’annoncé.
Démarrage des travaux pour la nouvelle aire de jeux du parc Paul Mistral. Les travaux de construction de la nouvelle aire de jeux du parc Paul Mistral en lien avec la restauration de la tour Perret et avec le Plan Guide du parc commencent en ce début d’année 2025. Il s’agit ainsi du premier aménagement important sur le sud-ouest du parc. La nouvelle aire de jeux remplacera l’ancienne qui présentait des signes de vétusté et sera intégrée au parcours muséographique de la tour Perret à proximité du futur pavillon d’accueil de la tour. L’aire de jeux a pour thématique l’hydroélectricité, en référence à l’exposition internationale de la Houille Blanche et du Tourisme de 1925, dont le centenaire sera célébré en 2025. Elle transportera ainsi les enfants à travers le cycle tumultueux de l’eau, de sa formation dans les montagnes jusqu’à sa transformation en énergie hydraulique. En miroir de la tour Perret, les parois de la structure rappelleront la tour et ses claustras.
Logements des étudiants : chiffres 2024 du sillon alpin. Publié en décembre 2024, le rapport 2024 de l’OTLE (Observatoire Territorial du Logement Etudiant) propose une vision homogène de la situation du logement étudiant à l’échelle du Sillon alpin. Au sein de ce périmètre s’étirant d’Annecy à Valence, près de 95 000 étudiants ont été accueillis au cours de l’année universitaire 2023-2024 dans les établissements d’enseignement supérieur (y compris privés).
Appel à projets éducation à l’environnement, à la Métro. Associations, coopératives, fondations et entreprises de l’économie sociale et solidaire : les élèves ont besoin de vous ! Un appel à projet est lancé pour soutenir des actions d’éducation à l’environnement à destination des enfants de la maternelle au CM2 (entre 3 et 11 ans) sur le temps scolaire et/ou extrascolaire. Pour proposer vos projets pédagogiques, les candidatures sont ouvertes du 13 janvier au 19 février à minuit.
Samedi 11 janvier : manifestation départ à 14h30, Félix Poulat à Grenoble. Pour un cessez-le-feu immédiat, total et permanent, à Gaza et en Cisjordanie ; le retrait total de l’armée israélienne de la bande de Gaza ; l’acheminement d’urgence d’une aide humanitaire à la hauteur des très nombreux besoins… A l’appel de l’AFPS et d’autres organisations
Le premier tour aura lieu dimanche 12 janvier 2025. Nous appelons à voter pour le candidat du Nouveau Front Populaire, Lyes Louffok qui représente la gauche et les écologistes. Cette candidature est soutenue par Les Ecologistes, le PS, LFI, PCF, Place publique, Génération’s, ADES, Avec, Radicaux de gauche, Nouvelle Donne, Ensemble !, NPA, L’Après, Gauche démocratique et sociale, Pour une Ecologie Populaire et Sociale, Ensemble sur nos territoires…
Il faudra tout particulièrement noter de très près la participation à cette élection partielle. Lors de l’élection partielle dans les Ardennes le 1er décembre 2024, la participation avait été de seulement 30,5% alors qu’elle avait été de 67,3% au premier tour du 30 juin 2024. Moins de la moitié des électeurs de juin se sont déplacés et cela a eu des conséquences sur certains électorats.
Pénurie de médecins en ville, saturation de l’hôpital public, rupture d’approvisionnement en médicaments, faiblesse de la santé publique et des politiques nationales de prévention, le secteur de la santé est confronté à une série de difficultés depuis plusieurs années. Peu présente dans le débat politique et médiatique, elle est pourtant la préoccupation première des Français-es d’après un très récent sondage Ipsos pour le CESE (Conseil économique social et environnemental).
Quelles solutions locales existent aujourd’hui et pourraient se développer, pour défendre une santé égalitaire et solidaire, que ce soit dans le champ de l’offre de soin, de la prévention ou de la santé environnementale ?
Pour y répondre, l’ADES vous convie à une soirée débat autour du thème « La santé dans la ville ».
Le mercredi 22 janvier 2025 à 19 h 45 à l’amphithéâtre de la Maison du Tourisme 14 rue de la République à Grenoble
Anne-Sophie Olmos a transmis à la préfète de l’Isère, sa démission de son poste de vice-présidente à la Métro, chargée du cycle de l’eau et présidente du conseil d’exploitation des régies eaux et assainissement, un des plus importants services publics métropolitains. Elle a animé le travail de ces services publics essentiels à la satisfaction générale.
Sa démission intervient à la suite de nombreux désaccords concernant la gouvernance interne à la majorité métropolitaine. Elle décrit, dans la lettre ci-dessous du 6 janvier 2025, ses difficultés dans le travail au sein de l’exécutif actuel de la Métro qui n’a rien de collectif, c’est le moins que l’on puisse dire.
Que cette démission serve à construire une nouvelle façon de fonctionner dans une réelle coopération intercommunale, un respect de la parole et du mandat de chacun.e pour le prochain mandat.
À compter du 1er janvier 2025, les communes ont toutes la pleine compétence pour l’organisation du service public de la petite enfance (moins de 3 ans) créé par la loi du 18 décembre 2023 pour le plein emploi (articles 17 et 18) : « Les communes sont les autorités organisatrices de l’accueil du jeune enfant. »
Mais comme souvent il s’agit plutôt d’un vœu dirigé vers les parents, car il n’est pas assorti de la création d’un droit opposable qui leurs permettrait de se retourner contre la commune en cas de défaut de place. La réalité est une pénurie de professionnel.le.s et le manque de places…
Malgré ce défaut il s’agit d’une petite avancée, car de nombreuses communes ne s’étaient pas emparées de cette compétence facultative avant le 1er janvier 2025 et désormais toute nouvelle implantation sera soumise à l’autorisation de la commune de plus de 3500 habitants, ce qui constitue l’avancée en droit la plus significative.
N’est-ce pas une grande hypocrisie de la part de l’Etat (et du parlement) qui crée un outil sans indiquer avec quels moyens les propositions seront mises en œuvre ? Les communes devront encore une fois se débrouiller. Et surtout, comment les Services de l’Etat vont assurer une vigilance pour ne pas dire un contrôle de l’application des règles édictées. « Faire confiance » ne veut rien dire, hélas l’expérience nous a appris que l’Etat depuis bientôt 10 ans, n’assure plus son rôle de vigilance sur les politiques publiques tant en nombre qu’en qualité de service rendu, des outils d’accueil des jeunes enfants. C’est un peu comme le canada dry, c’est un effet d’annonce de Service Public, sans avoir la réalité d’un vrai Service Public soucieux du bien-être des jeunes enfants.
En France il y a 7,3 millions d’immigrés (dont 2,5 millions qui sont naturalisés français) soit 10,7 % de la population totale et 5,6 millions d’étrangers (dont 0,8 millions nés en France) soit 8,2% de la population totale.
À Grenoble les chiffres pour le recensement de 2021 sont nettement supérieurs aux chiffres nationaux : 18,9% d’immigré-es et 14,5% d’étrangers.
Les nationalités les plus importantes à Grenoble : Algériens, Italiens, Marocains, Tunisiens, Portugais, Espagnols…
Les quartiers IRIS où la proportion d’immigré-es est la plus faible (moins de 10%) : Trois Cours, Ile Verte-Maréchal Randon, Préfecture, Eaux Claires-Painlevé.
La nouvelle ministre de la Ville (Juliette Méadel) débute mal. Dans un entretien à Sud Radio elle demande aux préfets de « faire un état des lieux dans les trois semaines qui viennent de la situation d’entretien des logements sociaux dans les quartiers de politique de la ville pour voir si les bailleurs sociaux font bien leur travail » Si ce travail n’est pas bien fait elle proposera de leur supprimer l’abattement de la taxe foncière dont ils bénéficient dans les QPV. C’est bien de faire la leçon aux bailleurs sociaux, mais les aider au lieu de les asphyxier ce serait mieux. Elle oublie que l’Etat a imposé aux bailleurs sociaux une cure d’austérité avec la réduction de loyer de solidarité (RLS) depuis 2018 (diminution de 1,3 milliards d’euros chaque année des recettes des bailleurs) et que cette RLS touche beaucoup plus les bailleurs qui gèrent de nombreux logements dans les QPV que ceux dont le patrimoine est extérieur à ces quartiers.
Après la condamnation définitive pour corruption dans l’affaire Bismuth, puis la condamnation non encore définitive du financement de la campagne électorale de 2012 dans l’affaire Bygmalion, Sarkozy et certains de ses proches (notamment Brice Hortefeux et Claude Guéant) sont appelés depuis le 6 janvier au tribunal judiciaire de Paris pour répondre de 4 délits : corruption, association de malfaiteurs, recel de détournement de fonds publics et financement illicite de campagne électorale. Les audiences devraient se terminer le 10 avril 2025.
Il s’agit d’une affaire qui débute en 2005, Sarkozy pense déjà à l’élection présidentielle de 2007 et il est soupçonné d’organiser des collectes de fonds occultes… Sans tout cela aurait-il été élu président de la République ?
Ce troisième procès est le plus grave, si Sarkozy est de nouveau condamné, il disparaitra dans les poubelles de l’histoire politique française, comme un grand truand…
Le gouvernement Bayrou a été nommé le 23 décembre 2024. Un communiqué de la HATVP, publié le 30 décembre 2024, rappelle aux membres du gouvernement Bayrou qu’ils étaient invités à déposer leur déclaration d’intérêts auprès de la Haute autorité avant le 31 décembre 2024.
« Les membres du Gouvernement doivent, dans un délai maximal de deux mois suivant leur nomination, adresser à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique une déclaration de situation patrimoniale et une déclaration d’intérêts. La Haute autorité les invite à porter une attention toute particulière à la prévention des conflits d’intérêts en déposant leur déclaration d’intérêts dans les huit jours suivant leur nomination.