Risques naturels et technologiques à Grenoble

Publié le 1 décembre 2012

Le Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM) est édité, il rappelle que Grenoble est une des villes les plus menacée par les risques naturels et technologiques. Le DICRIM est une petite brochure de 18 pages, que tout habitant doit lire et avoir à portée de main pour réagir au mieux en cas de sinistre. Elle est téléchargeable sur le site de la Ville.

Il détaille :

  • les risques d’inondation (l’histoire de Grenoble est abondante à ce sujet) ;
  • de glissement de terrains, notamment les ruines de Séchilienne qui font peser une grave menace sur l’agglomération à court ou moyen terme vu l’accélération des déplacements des terrains ; les feux de forêt (peu importants) ;
  • le risque météo ;
  • le risque sismique qui a été réévalué à la hausse dans la cuvette grenobloise ;
  • le risque de rupture de barrage, notamment du Monteynard qui est le plus important ;
  • le risque chimique :le DICRIM indique que deux sites classés SEVESO sont recensés sur le territoire de Grenoble : Sandvik Hard Materials et Eurotungstene et rappelle que la ville peut aussi être touchée en cas d’incident grave sur les plateformes chimiques du Pont-de-Claix et de Jarrie situées au sud de l’agglomération.
  • Grenoble est aussi exposée aux trois modes de transport de matières dangereuses (TMD) : routier, ferroviaire et par canalisation.
  • Le risque nucléaire est présent avec l’ILL sur la presqu’île.

Le document se termine par le rappel des signaux d’alerte, et ce qu’il faut faire pour être le mieux protégé en prenant les bonnes décisions.

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