
LES JOURNÉES DE LA PHOTO 2025. Du 8 au 29 novembre dans la métropole grenobloise et le Grésivaudan. 27 expositions • 40 rendez-vous • 8 communes • des artistes et des lieux partenaires. Tout le programme ici.

« Là où croit le péril, croît aussi ce qui sauve. » Hölderlin poète
« Le poète a toujours raison, qui voit plus loin que l’horizon… » Aragon
Hier les électeurs-trices de New York ont élu une nouvelle équipe municipale dont la tête de liste Zohran Mamdani, se déclare démocrate socialiste. Cette équipe est élue malgré les appels et les menaces de Donald Trump pour lui faire barrage.
Sans nous bercer d’optimisme béat face aux difficultés qu’ils-elles auront à affronter dans les années à venir, dans ce pays qui se déclarait jusqu’à peu une démocratie et sachant qu’une hirondelle à New York ne fait pas le printemps dans le monde entier, on ne peut que se réjouir, ici et dans le reste du monde, de cette victoire des valeurs de Solidarité, d’Ecologie et de Démocratie.
Nous souhaitons aux newyorkais-es, de vivre une réussite de ce mandat qui offre une voie, alternative à celle du « tout fric et tout business », de l’intolérance et de l’autoritarisme.
Bravo à elles et eux !

Ce 3 novembre 2025, les élu-es grenoblois-es ont débattu en Conseil municipal sur le rapport égalité entre les femmes et les hommes, les genres et les sexualités. Au-delà de l’obligation légale que constitue ce document, il illustre la politique de la Ville en faveur de l’égalité des droits. Et il y a encore du chemin avant que chacun-e soit convaincu-e de l’intérêt à agir en ce sens comme l’ont montré les interventions pitoyables, réactionnaires au sens strict, d’élu-es de droite (la palme revenant à celle qui a démarré son propos « certes les femmes sont fragiles »…!).
Depuis dix ans, Grenoble rend compte chaque année de son plan d’actions pour l’égalité, en tant que collectivité et employeuse. Signataire de la Charte européenne pour l’égalité entre les femmes et les hommes, la Ville agit dans de nombreux domaines : enfance, sport, culture, santé, espaces publics ou encore vie associative.
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Le Conseil municipal de Grenoble a pris acte du rapport annuel sur la situation en matière de développement durable. Cet exercice réglementaire, intitulé Grenoble en transition, dresse un état des lieux des politiques locales et des actions menées pour répondre aux grands défis environnementaux, sociaux et économiques du territoire.
À travers trois axes — garantir les sécurités, protéger les biens communs, cultiver l’émancipation — le rapport met en lumière les politiques grenobloises pour une ville plus sobre, solidaire et vivante. Outil d’analyse et de transparence, il contribue au suivi des engagements municipaux et à l’amélioration continue du service public local.
Un focus sur l’enfance. Édition après édition, ce rapport illustre la trajectoire de résilience engagée par la Ville face au dérèglement climatique et à l’effondrement de la biodiversité. L’édition 2025 met un accent particulier sur l’enfance, thématique renforcée depuis le transfert de la compétence petite enfance aux communes, et essentielle dans une ville où un quart des enfants vivent sous le seuil de pauvreté
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Sur les questions budgétaires, pourquoi de nombreux élu-es se contentent-ils-elles de facilités coupables pour laisser croire que tout est simple.
La paresse est mauvaise conseillère, l’affichage d’incompétence également ! Sur le Rapport d’Orientation Budgétaire nous avions fait état de quelques grandes données financières de 2025 à 2028 où apparaissait l’évolution des recettes et des dépenses de fonctionnement, de l’épargne brute (CAF brute), le taux d’épargne brute, le remboursement en capital de la dette, de l’épargne nette (CAF nette) et de la capacité de désendettement.
Or les oppositions qui sont montées au créneau, se sont focalisées sur le paramètre qui a le plus varié, c’est à dire la CAF nette (Capacité d’Autofinancement Nette) qui diminuerait entre 2025 et 2028 de 60%, passant de 24,5 M€ à seulement 10 M€. Ce serait donc la catastrophe !
Pourtant l’histoire financière de Grenoble montre que le montant de l’épargne nette avait plutôt avoisiné une moyenne assez proche de zéro. Elle a été fortement augmentée lorsqu’il y a eu des augmentations d’impôts, sous Carignon lorsqu’il a fait payer la subvention au syndicat intercommunal (l’ancêtre de la Métro) de 100 millions de francs, (15 millions d’euros) par les contribuables en 1992 ; en 2009 lorsque Michel Destot augmente les taux des impôts de 9 % et en 2023 lors de la dernière augmentation de la taxe foncière.
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Le candidat de droite à l’élection municipale de Grenoble, Hervé Gerbi, verse dans la démagogie la plus pure. Il considère que les grenoblois devraient être remboursés de 17 millions d’euros qu’ils auraient trop versés à la Ville lors de l’augmentation de la taxe foncière en 2023. Il oublie tout simplement que les contribuables ont reçu un beau cadeau de l’Etat lorsque Macron a supprimé la taxe d’habitation. En 2021, pour compenser cette perte très importante pour la ville, la loi a imposé que la part de taxe foncière du département soit versée à la ville, mais cette dernière était très inférieure à la taxe d’habitation, d’où la compensation par le fameux coefficient correcteur (Coco). Cette compensation atteint en 2024 plus de 18 millions d’euros qui ne proviennent pas des contribuables grenoblois, mais de l’administration fiscale ! Pourquoi donc vouloir rembourser un montant de la taxe foncière que les contribuables grenoblois ne paient pas ? En plus ce ne sont pas tous les ménages vivant à Grenoble qui paient l’impôt local, mais seulement les propriétaires occupants leur logement (seulement 38 % des ménages), pourquoi rembourser aux locataires un montant d’un impôt qu’ils ne paient pas ! La politique locale est trop sérieuse pour la laisser entre les mains de démagogues et d’incompétents.

L’INSEE dans ses recensements annuels présente pour l’ensemble des personnes non scolarisées ayant 15 ans ou plus, leur répartition en fonction des diplômes obtenus. Les dernières données par quartiers IRIS sont celles du recensement de 2022.
L’Insee classe les populations de 15 ans ou plus non scolarisées en 7 catégories
La comparaison entre la ville de Grenoble et la France métropolitaine en 2022 montre qu’à Grenoble le nombre de personnes ayant le bac et plus, atteint presque les deux tiers (65,5%) alors qu’au niveau national, c’est 51,4 %. A Grenoble il y a plus de 50% de bac +2 ou plus.
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Une étude de l’Institut Terram (auteurs, Jérôme Fourquet, Sylvain Manternach et Chloé Tegny), dresse le portrait d’une France remodelée depuis dix ans par les plateformes de réservation de meublés de tourisme dont Airbnb. Si les zones touristiques classiques sont largement concernées par ce phénomène, de nouvelles géographies touristiques se dessinent. Cette étude insiste sur la raréfaction des logements permanents et se termine par la question qui n’est donc plus de savoir si les vacances doivent être accessibles à tous, mais comment garantir cette accessibilité sans creuser davantage les inégalités déjà existantes.
Conclusion :
« La location via Airbnb s’inscrit dans un contexte de transformation profonde des pratiques touristiques, où les vacances occupent une place centrale dans les modes de vie contemporains 15. Le fait que près d’un Français sur deux (46 %) déclare partir aujourd’hui plus souvent que ses parents au même âge en témoigne. Cette tendance confirme que le départ en vacances est devenu un marqueur de qualité de vie et d’intégration sociale. Mais la réalité demeure contrastée : 17 % estiment partir aussi souvent que leurs parents au même âge, et plus d’un tiers (37 %) déclarent partir moins, signe que l’accès effectif aux vacances reste profondément inégalitaire.
Cette fracture souligne une tension croissante entre l’idéal de « vacances pour tous » et les contraintes économiques qui pèsent sur une part significative de la population.
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Alternatives économiques s’interroge sur d’où vient la dette publique ? et montre que ce sont les gouvernements de droite qui l’ont le plus creusée ? Voici ce qu’écrit Christian Chavagneux à ce sujet :
« Pour les années récentes, « à partir de 2017, la France devient un cas spécifique avec une baisse de la fiscalité qui place le pays sur une trajectoire divergente par rapport aux autres pays de la zone euro, qui voient leur situation d’endettement public s’améliorer », explique Raul Sampognaro (OFCE).
La Cour des comptes a alerté dans de nombreux rapports sur les pertes de recettes fiscales structurelles dues à la politique économique engagée depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron : l’équivalent de 2 points de PIB perdus entre 2017 et 2024.
Qu’aurait été le niveau de la dette française à la fin de l’an dernier si le budget n’avait pas été privé de ces 2 points de PIB de recettes depuis 2017 ? Un modèle de l’économie hexagonale comparable à celui utilisé par Bercy indique que, sans ces baisses, la dette publique aurait été inférieure de 11 points fin 2024, soit de l’ordre de 100 % du PIB. Un autre monde.
Diminuer les prélèvements obligatoires en croyant que cela permettra une diminution de la dette publique, c’est vouloir éteindre le feu après avoir percé le tuyau.
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Les Deux-Alpes et l’Alpe d’Huez, ces montagnes qu’il fallait « défoncer ». C’est le titre d’un article de Médiapart qui décrit dans le détail de nombreuses irrégularités effectuées par la Sata (Société d’aménagement touristique de l’Alpe d’Huez). Après avoir obtenu la délégation de service public (DSP) de la station, en 2020, dans des conditions troubles, et avoir installé le téléphérique Jandri 3S pour un coût de 148 millions d’euros, elle s’est livrée à de nombreuses opérations de réaménagement sur les milieux naturels du domaine skiable. Sans autorisation. Et elle a touché au glacier de Mont-de-Lans…
Territoire d’eau en transition écologique. Le label « Territoire d’eau en transition écologique » a été décerné cette année, lors du 39e congrès d’Amorce, à 21 collectivités (EPCI et syndicats). Nouveauté de cette troisième session de labellisation : le référentiel propose dorénavant trois niveaux de reconnaissance afin de valoriser les efforts menés par les collectivités depuis la mise en place de leur stratégie jusqu’aux résultats. Pour le second niveau de labellisation « Territoire d’eau en transition écologique + », six collectivités ont reçu un trophée, dont Grenoble Alpes Métropole.
Pillage climatique : comment une puissante minorité d’ultra-riches plonge le monde dans le chaos. À l’approche de la COP30, qui se tiendra à Belém, au Brésil, une nouvelle étude Oxfam dévoile que le mode de vie à forte empreinte carbone des ultra-riches épuise le budget carbone restant de la planète. Pire encore, les inégalités se creusent avec le temps. Intitulé « Pillage climatique : comment une puissante minorité plonge le monde dans le chaos », le rapport montre qu’une personne faisant partie des 0,1 % les plus riches de la planète émet plus de CO₂ en une seule journée qu’une personne parmi les 50 % les plus pauvres n’en émet en une année entière.
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Lundi 3 novembre 2025 à 10 h, conseil municipal de Grenoble
Du 4 au 8 novembre 2025 – 27ème Rencontres Ciné Montagne au Palais des Sports de Grenoble.
En novembre, 50 rendez-vous pour consommer autrement dans la métropole et faire moins de déchets. Tout le programme ici.

A travers ce petit journal, ce sont plus de 40 ans de vie politique grenobloise qui sont survolés. Il est toujours important en politique de savoir d’où l’on vient, où on en est et où on veut aller. En vous rendant sur le site internet de l’ADES et en utilisant le petit moteur de recherche, vous pourrez vous assurer que les trois valeurs qui fondent son action, la démocratie, l’écologie et la solidarité ont emporté la majorité culturelle à Grenoble et restent d’actualité, localement et nationalement. Même s’il faut repenser l’action municipale et métropolitaine dans une période rendue très difficile par les politiques gouvernementales qui depuis des années ne favorisent pas les actions locales. De plus à Grenoble nous sommes confrontés à l’offensive malsaine d’une droite revancharde, défendant la corruption et déversant de fausses informations à longueur de journée.
A contrario, Laurence Ruffin et sa liste ouvrent la perspective d’une atmosphère politique apaisée pour Grenoble et la métropole qui ont plus besoin de coopération que d’exclusions.
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Comme chaque année, la loi impose aux collectivités de présenter un rapport d’orientation budgétaire (ROB) dans les 2 mois précédant le vote du budget primitif. Traditionnellement à Grenoble le vote du budget a lieu en décembre, et le débat d’orientation budgétaire en novembre. La loi et les règlements imposent que le rapport d’orientation budgétaire présente de manière détaillée et sincère l’évolution des finances de la commune sur plusieurs années. Le ROB retrace les grandes évolutions des équilibres financiers jusqu’à fin 2028.
Ce qui est proposé au débat du conseil municipal du 3 novembre 2025, dément totalement les élucubrations mensongères de la liste de droite menée par Carignon, qui propose de diminuer les dépenses de fonctionnement de 10 % chaque année (30 millions d’euros) sinon ce serait la catastrophe financière. Mais avec une telle diminution, les services publics seraient totalement dégradés et par voie de conséquence, il pourrait alors baisser les impôts. Le fait qu’il ne le propose même pas montre bien que sa proposition est de la démagogie de bas étage !
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L’INSEE a rendu récemment les données sur l’activité des résidents pour l’année 2022. On y trouve notamment des données par quartiers IRIS concernant les déplacements pour aller au travail des actifs de 15 ans ou plus.
Depuis des années à Grenoble, les modes de déplacements domicile/travail pour les actifs de 15 ans ou plus ont beaucoup évolué. La voiture représentait presque 50 % des modes de transport en 2006, en 2022 c’est seulement 33,1% et la diminution est constante. C’est l’utilisation du vélo qui permet cette évolution et Grenoble a pris la tête des grandes villes cyclables. L’utilisation du vélo atteint maintenant de chiffres records pour les grandes villes :21,7% au lieu de 12,8% il y a 10 ans
Par contre l’utilisation de transports en commun régresse légèrement à Grenoble passant de 28,6 % en 2012 à seulement 27,8% en 2022. Il faudrait que le SMMAG se pose les bonnes questions et réfléchisse à la gratuité, même partielle et à l’augmentation de l’offre.
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Vendredi 17 octobre, une trentaine de cyclistes TMR (Trièves Mobilité Responsable), Lichens, Alternatiba Grenoble et ADTC Se déplacer autrement, tout de rouge vêtu·es, se sont retrouvé·es à 10h devant le Conseil départemental, avec des banderoles et une ribambelle de vélos tout aussi rouges. Manifestation pour interpeller le département de l’Isère qui finance fortement des aménagements contestables de la RN 1075 et pour le manque criant de piste cyclable sur un itinéraire pourtant très important pour le département, où vont circuler des camions de plus en plus lourds… Rappel du dossier ici.
Un communiqué du collectif les Lichens :
« Dans le projet pharaonique d’aménagement de la RD 1075 (56 millions d’€ annoncés, 9 voies de dépassement, 18 carrefours transformés…), la sécurité des cyclistes est méprisée. Leur parcours cyclable entre le col du Fau et le col de la Croix-Haute restera discontinu et non sécurisé. Pourtant, la circulation sera plus dense, plus rapide, et accessible à des camions plus gros ! De quoi frémir !
Cette séance du CD38 était publique. Pourtant, nous avons été accueilli·es par des grilles fermées, et des vigiles nous informant que la salle était déjà pleine. Un “fake” que Jérôme Cucarollo, élu du groupe Isère Écologie et Solidarités, n’a pas manqué de faire remarquer à Jean-Pierre Barbier. En effet, pour soutenir notre manifestation, J. Cucarollo a posé une question orale, à laquelle le vice-président Bernard Perazio a dû répondre. Vous pouvez revoir cette séquence ici, à 1:54:00.
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La Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA), initie et accompagne les projets portés au plus près des citoyen-nes par des collectivités territoriales, en accordant des soutiens financiers et méthodologiques.
Compte-tenu de la préoccupation de nombreux élus locaux concernant l’implication des mineurs dans le trafic de stupéfiants, la MILDECA a lancé un appel à projet national à destination des communes et intercommunalités désireuses de s’engager sur cette thématique. Un document a été réalisé, destiné aux collectivités lauréates de cet appel à projets ainsi qu’à leurs partenaires locaux. Il vise à donner quelques repères et permettre la diffusion de bonnes pratiques, soulignant les risques et les écueils mais aussi les pistes prometteuses pour la réussite de ces nouveaux projets soutenus par la MILDECA. MILDECA | Prévenir la participation des jeunes aux trafics de stupéfiants, , référentiel pour guider l’action publique
Le conseil municipal de Grenoble va proposer un projet concernant le quartier de la Villeneuve. L’emprise des réseaux de trafics de stupéfiants sur la Villeneuve de Grenoble est visible et omniprésente. Cela constitue un enjeu important pour les collectivités ainsi que les élu-es locaux, souvent en première ligne face à la demande citoyenne de sécurité et de tranquillité publique. En outre, le Maire est responsable de l’animation de la politique de prévention de la délinquance et de la coordination de sa mise en œuvre, puisqu’il dispose d’une compétence propre en la matière, liée notamment à ses pouvoirs de police. De plus, il anime le CLSPD (Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance)
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Depuis de longs mois, la préfecture est rappelée à l‘ordre par la justice administrative pour sa volonté de ne pas faciliter les démarches pour de nombreux immigrés en leur supprimant un accueil personnel pourtant obligatoire.
Constatant que son ordonnance de mars 2025 n’a, une nouvelle fois, pas été suivie d’exécution, le juge des référés du tribunal administratif de Grenoble alourdit l’astreinte imposée et condamne l’Etat à verser 1000 € à chaque association requérante.
« La préfète de l’Isère a, via un communiqué de presse du 8 mars 2024, annoncé la mise en place d’un téléservice obligatoire pour les démarches des étrangers ne relevant ni de l’article R. 431-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile ni de la procédure de téléservice obligatoire sur le site Anef.
Des associations de protection des étrangers ont saisi le juge des référés du tribunal administratif de Grenoble afin qu’il suspende cette procédure dématérialisant, privant les étrangers en cause de tout accueil personnel.
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La Commission supérieure du numérique et des postes (CSNP) est une commission parlementaire mixte (Assemblée Nationale et Sénat) intégrant des personnalités qualifiées. Elle est composée de sept députés désignés par le président de l’Assemblée Nationale, sept sénateurs désignés par le président du Sénat, et trois personnalités qualifiées nommées par le ministre de l’Économie et des Finances.
Le 24 octobre 2024, la CSNP rend un avis sur l’avenir des missions de service public confiées au Groupe La Poste. Cet avis est important et renforcera les actions de terrain menées à Grenoble pour la défense des bureaux de poste, actions menées par des syndicalistes et le collectif « J’aime ma poste » soutenus par la majorité municipale grenobloise.
La CSNP constate qu’au cours des dernières années, l’examen par les pouvoirs publics de ces missions de service public n’a été abordé que sous l’angle budgétaire et souvent dans l’urgence. Elle estime qu’il est essentiel de mener une réflexion sur les besoins de nos concitoyens, à court terme mais surtout sur leurs besoins à l’horizon de 10 à 15 ans. Elle fait 16 recommandations, voir ci-dessous :
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