Non à Center Parcs dans les Chambaran

Publié le 21 décembre 2012

L’association pour les Chambaran sans Center Parcs répond à l’article d’Isère Magazine d’octobre 2012 qui vantait les mérites de cette opération, démontrant une dévotion sans retenue pour la politique d’A. Vallini. L’association a demandé un droit de réponse mais en vain.

Voici le début de leur réponse, pour lire l’intégralité : http://www.pcscp.org/spip.php?article201

« CENTER PARCS » DANS LES CHAMBARAN : LES ENSEIGNEMENTS DE L’ARTICLE PARU DANS « ISERE MAGAZINE »

Sous le titre « Ils ont dit », un encadré contenant une photographie virile des deux principaux protagonistes de l’affaire -du siècle, à les en croire -, commence par ce titre racoleur : « L’Isère est-elle trop riche pour dire non ? » A quoi nous répondons sans hésiter ; « l’Isère n’est pas assez riche pour dire oui !  ».

En effet, pour qui a un peu étudié de manière objective le dossier, l’accueil du Center Parcs dans les Chambaran se ferait au prix d’une véritable gabegie d’argent public. Ce sont des sommes colossales qui seraient investies par les collectivités territoriales, Département et Région, les Établissements Publics Intercommunaux et l’État. Pour la morale de l’histoire, rappelons qu’entre autres gracieusetés, l’opération donnerait lieu au versement à ses bénéficiaires de l’aide normalement accordée aux créateurs de gîtes ruraux – les candidats potentiels apprécieront -, et à l’utilisation d’une niche fiscale sur mesure venant grever encore un peu plus les finances de l’État ! A tel point que le coût public de chaque création d’emploi peut être évaluée à une somme se situant entre 230 000 et 250 000 € !

Toute personne un peu avertie, et on ne l’est pas moins en Isère qu’ailleurs, aura compris qu’à ce prix, et même pour beaucoup moins, on pourrait soutenir de manière ciblée la création de centaines d’emplois de proximité, pérennes et d’un autre intérêt professionnel que ceux proposés par le Center Parcs…

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