© ville de Grenoble
– Matthieu Chamussy voulait se faire mousser en supposant que la majorité municipale dépensait sans compter en frais de bouche. Comme un soufflé ses affirmations se sont vite dégonflées. Il s’avère que les repas incriminés revenaient à des prix tout à fait raisonnables, car il oublie qu’il faut diviser le montant total de la facture par le nombre de participants pour avoir le prix d’un repas.
– Destot déclare en soutenant les candidats du PS aux départementales : « Alors quand j’entends certains se plaindre de la baisse des dotations de l’État et en même temps, renoncer à la croissance, renoncer à des projets…avoir plus d’activités, plus d’habitants, c’est avoir plus de rentrées fiscales et je sais de quoi je parle, j’ai été maire pendant dix-neuf ans ». Effectivement il sait faire : augmenter les impôts après avoir promis de ne pas le faire pour se faire réélire. La recette est très simple. Heureusement pour les contribuables grenoblois qu’il a disparu de la scène municipale. A noter qu’il s’est fait siffler lors de son passage récent à Mistral. Il n’est peut être pas le meilleur soutien pour les candidats PS, qui cachent soigneusement leur appartenance dans leurs documents électoraux.
– Lors de la remise de la légion d’honneur à Marc Baïetto, ancien président de la Métro et conseiller général, André Vallini (modèle de démocrate comme chacun sait) a insisté de manière surprenante sur l’honneur qu’a fait M. Baïetto à la démocratie locale !!! Faut-il rappeler que lors des débats avec la population, l’impétrant coupait court aux oppositions en expliquant que si les électeurs n’étaient pas contents, ils n’avaient qu’à ne pas voter pour lui la prochaine fois. Ce qu’ils se sont empressés de faire…
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