Chauffage urbain, ça chauffe de plus en plus

Publié le 28 janvier 2011

Les tarifs décidés par la majorité municipale et appliqués par la Compagnie de Chauffage (CCIAG) sont beaucoup trop élevés par rapport au service rendu. De plus en plus de copropriétés interviennent auprès des élus et de la CCIAG pour que les tarifs soient revus à la baisse, mais en vain.

Il n’est pas acceptable qu’un service public fasse plus de 4 millions d’euros de bénéfices net.

De plus une copropriété a découvert récemment que la CCIAG avait majoré indûment le coût de l’abonnement, en contradiction avec le règlement du service : en effet, il est prévu une dégressivité de l’abonnement en fonction de la puissance tarifaire et ceci n’est pas appliqué correctement dans ce cas précis. Mais cette copropriété est-elle la seule dans ce cas ?

D’autres questions se posent sur le calcul de l’abonnement au moment du changement de tarifs en juillet 2008.

Un recours au Tribunal de Grande Instance de Grenoble devrait marquer le début de l’intervention du judiciaire dans cette affaire, alors que la justice administrative a été saisie depuis des années mais qu’elle n ‘a toujours pas rendu de jugement.

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