Il n’y a eu aucune surprise dans le choix du CIO pour les Jeux Olympiques d’hiver 2018. Il était inscrit dans le marbre que ce serait la ville coréenne de PeyongChang qui serait choisie. Il suffit pour s’en convaincre de relire le document réalisé par le groupe des élus Ecologie et solidarité fin 2008 sur « LA FACE CACHÉE DE LA CANDIDATURE DE GRENOBLE AUX JEUX OLYMPIQUES D’HIVER 2018 »
« Nous expliquerons pourquoi, dans l’hypothèse où Grenoble serait choisie pour représenter la France devant le CIO, elle ne ferait objectivement pas le poids face aux villes étrangères tentées par les JO d’hiver de 2018 : Munich (Allemagne), Genève (Suisse), PeyongChang (Corée du Sud). »
La ville coréenne avait déjà été sélectionnée deux fois de suite par le CIO en finale et chaque fois elle avait été très près de la qualification.
La candidature d’Annecy n’avait pas plus de chance que celle de Grenoble. Heureusement que cette mascarade s’arrête sinon le gaspillage d’argent se serait amplifié. La candidature d’Annecy, qui s’est vu gratifiée de sept malheureuses voix (63 à Pyeonchang et 27 à Munich) a certainement couté plus de 30 M€ dépensés en pure perte.
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