Politique politicienne

Publié le 26 février 2016

maire en dessin– Suite à l’interview de M. Boileau dans le Dauphiné Libéré du 19 février, répondant à l’attaque indigne de M. Destot contre la majorité municipale, l’opposition socialiste a fait monter au créneau les seconds couteaux, M. Detroyat et M.J. Salat. M. Detroyat n’a pas pris le temps de lire la lettre de l’ancien maire aux habitants Grenoblois de la 3ème circonscription, sinon il ne déclarerait pas « La lettre envoyée par Michel Destot n’est pas celle de la critique stérile… ». Alors que M. Destot ne propose rien à part quelques idées générales et creuses habituelles, comme l’ensemble des oppositions. Pour Mme Salat, la majorité aurait poussé les Grenoblois à bout ! Elle oublie qu’elle porte à la métropole la délégation sur la démocratie participative et qu’elle vote toutes les délibérations qui irritent certains commerçants. Elle a de plus en plus de mal à faire le grand écart entre son mandat de Vice-présidente à la Métro et de conseillère municipale d’opposition. Ces réactions prouvent que Mme Boileau a tapé juste.

– Annie Deschamps se prend les pieds dans le tapis à propos de la gestion du Palais des Sports. Comment une ancienne ajointe des finances peut qualifier une gestion municipale directe d’incontrôlable ? Le Préfet et le Trésorier municipal ont dû en avaler leurs chapeaux. Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de budget annexe que les contrôles n’existent plus. La tenue d’un budget annexe ne présente pas plus de garantie que la gestion intégrée dans le budget principal. Tout contribuable, comme lui autorise la Constitution, peut demander à accéder à toutes les factures des dépenses de la ville, donc contrôler le travail municipal. Par contre la gestion de l’Association du Palais des Sports était loin de la transparence désirée par les élus municipaux. A. Deschamps se plaint que l’utilisation du Palais de sports soit parfois gratuite sans billetterie « aux frais des contribuables !». Cela ne la gênait pas quand la ville dépensait (aux frais des contribuables) 2 M€ par an pour cet équipement. On se demande où va se nicher la mauvaise foi.

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