– La FRAPNA régionale dénonce le chantage aux subventions imposé par des collectivités qui ne supportent pas que les associations puissent critiquer certaines de leurs décisions : « la FRAPNA Isère… se voit désormais couper les vivres par le Conseil Général de l’Isère, qui n’accepte pas que l’on puisse contester la légalité d’un projet touristique qui va détruire des dizaines d’hectares des précieuses zones humides des Chambaran. Le projet de Center Parcs devait-il absolument se faire sur une des dernières grandes zones humides non drainées du département de l’Isère qui alimente en eau presque un quart du département de la Drôme ? Nous ne le pensons pas et tant pis si nous sommes punis pour cela ! A qui le tour ? » Pour la FRAPNA, « le partenariat n’implique pas la soumission et encore moins la prostitution des associations ! »
– Les oppositions PS et UMP à Grenoble ne sont jamais contentes. Quand la majorité applique son programme débattu lors des élections municipales, elle va trop vite. Quand elle prend le temps du débat pour co-construire avec les habitants, elle n’agit pas assez vite. Mais le plus curieux est de voir la connivence entre ces deux oppositions (qui devraient plutôt s’opposer entre elles) lors des conseils municipaux et dans les médias. Dernièrement à propos de la fin du contrat d’affichage publicitaire, MM. Chamussy et Safar dénoncent dans les mêmes termes le dogmatisme de la majorité.
– A noter, la suffisance d’André Vallini qui se considère toujours comme le Président du Conseil Général et qui fait la leçon au SMTC. Lui a bien géré le CGI car il est peu endetté, il considère qu’il a été trop généreux avec le SMTC qui a trop investi dans le tram, dont les lignes ne sont pas saturées. Pour lui le SMTC gaspille l’argent public en investissant trop. Les usagers des transports en commun apprécieront.
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