L’UMP n’en fini pas d’essayer de survivre avec en son sein A. Carignon, le corrompu, qui entend continuer à tirer les ficelles. Le président sortant, M. Savin a démissionné car il y avait trop d’adhérents fantômes. Le bourrage des urnes n’est pas inconnu à Grenoble. Pour celles et ceux qui n’étaient pas à Grenoble dans les années Carignon (1983-1995) un petit rappel. En 1987, le corrompu organise avec le secrétaire général adjoint à la culture (H. Baile aujourd’hui conseiller municipal d’opposition de droite au conseil municipal depuis 2008) un putsch pour s’emparer de l’association de gestion de la Maison de la culture. Le 19 septembre 1987, 200 personnes se présentent pour adhérer à l’association et renverser la majorité. Le corrompu se félicite de “ la victoire de la liste conduite par mon ami Henri Baile ”. Le 12 avril 2003, A. Carignon est élu président de l’UMP 38 après que le nombre d’adhérents à l’UMP 38 soit passé de 1000 à 3200 !
Le 23 octobre 2010, les adhérents voteront pour leurs délégués qui désigneront ensuite le président du mouvement dans l’Isère. Pour voter il faudra fournir un justificatif de domicile (l’inscription sur une liste électorale n’étant pas suffisante !) et un système de procurations infalsifiables est mis en place. Le secrétaire national aux fédérations de l’UMP confirme les soupçons de fraude : “ J’ai bien constaté des inscriptions étranges, notamment quand il y a plusieurs noms qui n’ont rien à voir les uns avec les autres sur la seule et unique boîte aux lettres d’une même maison ”. Il précise qu’il y a deux fédérations qui posent problème, l’Isère et la Haute-Garonne ; seulement deux ?
Nous suggérons de renforcer le dispositif par un système de vidéosurveillance puisque l’UMP est pour sa généralisation afin de lutter contre les délinquants.