photo GK
Ils sont de plus en plus nombreux à s’élever contre la démolition de 68 appartements de bonne qualité au 50 Galerie de l’Arlequin. Aucune des raisons avancées pour la justifier ne résiste à l’analyse. Un objectif qui a la vie dure puisque le corrompu l’avait déjà envisagé et s’était finalement abstenu devant l’opposition de la population. Mais c’était une autre époque, celle où notre maire avait promis de ne jamais démolir ces bâtiments.
Cette attaque contre le logement social est incompréhensible dans cette période très difficile pour de nombreuses familles. Imposer une telle charge au bailleur ACTIS est contraire à la solidarité la plus élémentaire envers les locataires qui verront leurs loyers augmenté plus vite à l’avenir.
Un collectif se mobilise et ne désespère pas de faire reculer la majorité municipale sur cette mauvaise décision qui ne servira à rien, sauf à diminuer le nombre de logements sociaux et mettre en difficulté le bailleur ACTIS.
Il y a d’autres moyens d’apporter des transformations des logements à la Villeneuve. Il serait possible de rechercher des méthodes pour qu’un groupe de logements soit transformé en logements étudiants, avec toute la sécurité de gestion autour, il est aussi possible de transformer des espaces en bureaux : par exemple, reloger le CCAS correctement en supprimant les préfabriqués installés par le corrompu. C’est à inventer avec les habitants.
Des voisins immédiats de la partie à démolir viennent de déposer un recours contre le permis de démolir délivré par le maire et l’adjoint à l’immobilier. A suivre.
Mots-clefs : logement, Urbanisme, Villeneuve
