Le 30 juin 2016, l’équipe d’Epidémiologie environnementale appliquée à la Reproduction et la Santé respiratoire vient de publier une étude quantifiant le risque associé à l’exposition aux particules fines en suspension dans l’atmosphère (PM2,5) à Grenoble et Lyon, en s’appuyant sur une modélisation de la pollution de l’air à fine échelle. L’étude a aussi caractérisé comment ce risque varie en fonction de la défaveur sociale.
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Mots-clefs : pollution atmosphérique, santé