L’ancien maire corrompu (1983-1995) prend ses désirs pour la réalité : voilà ce qu’il déclare dans l’Essor 38, le 22 octobre en croyant qu’il est l’élu du peuple avant même d’être passé par le suffrage : « la société civile m’a choisi du fait de mon expérience, de mon énergie et de ma capacité à être opérationnel rapidement pour faire face au sujet » !!! Et il explique qu’il aurait fallu augmenter les impôts des grenoblois pour faire baisser la dette. La société civile appréciera ; elle devrait se méfier d’une personne qui se présente comme un sauveur et qui a démontré dans ses actes que l’enrichissement personnel l’intéressait plus que l’intérêt général. La corruption laisse encore de lourdes traces à Grenoble, il ne faut surtout pas réinsérer un délinquant au milieu de ses victimes qui sont grenobloises.
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