Pollution atmosphérique

Publié le 27 janvier 2017

Grenoble est victime d’un pic de pollution encore plus sévère que les précédents. Le 25 janvier le niveau des particules PM10 a atteint 68 microgrammes par m3 et celui des PM2,5 (les plus dangereuses), 61 μg/m3
Selon l’organisme chargé de la surveillance de la qualité de l’air « Atmo Auvergne-Rhône-Alpes » : « Le bassin grenoblois est en alerte pollution comme la quasi-totalité de l’ex-région Rhône-Alpes en raison du cocktail froid et beau temps peu favorable à la dispersion des particules fines. A cela s’ajoute la venue de poussières sahariennes.

Le 24 janvier il y a eu une pointe à 3 h du matin qui a atteint 82 μg/m3 pour les PM10 et 76 μg/m3 pour les PM2,5. Pas étonnant que beaucoup d’habitants ne se sentent pas bien.

Depuis le 1er janvier 2017, jusqu’au 27 janvier, le dispositif préfectoral (information ou alerte) a été activé 10 fois dans le bassin Grenoblois, qui est le bassin le plus activé derrière le bassin de la vallée de l’Arve (activé 12 fois).

Pas coopératives ces particules fines ! Pas comme les particules radioactives du nuage de Tchernobyl dont un ministre de l’environnement maire de Grenoble avait dit en 1986, qu’il s’était arrêté aux frontières.

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