Depuis de longues années l’ADES se mobilise pour un service public de l’eau potable permettant de distribuer une eau pure et non traitée issue des champs de captages des eaux de la Romanche et du Drac qui sont menacés par les pollutions de la plateforme chimique de Jarrie. La métropole par son conseil d’exploitation de la régie des eaux mène des actions pour protéger le champ de captage de Rochefort menacé par des rejets de polluants qui ne devraient pas exister puisque tout rejet est interdit par la Déclaration d’Utilité Publique arrêtée par le préfet en 1967 pour protéger les puits de captage de Rochefort dont certains voient arriver certains polluants (sous forme de traces) issus de la plateforme chimique. Voir le reportage de France 3 Alpes où Raymond Avrillier tire le signal d’alarme.
A noter que le Procureur de la République a ouvert une enquête à ce sujet.
Plusieurs arrêtés préfectoraux, pris entre 1976 et 2019, autorisent des usines chimiques à rejeter leurs eaux polluées dans la Romanche. Pourtant, c’est interdit car l’eau potable de la métropole de Grenoble y est puisée. La justice a ouvert une enquête préliminaire ».
Un article du Canard Enchainé du 7 juin montrant que le Conseil d’Etat pourrait être un nid de lobbyistes en faveur des grands groupes gérant notamment les autoroutes :
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