Des bandes organisent des atteintes à nos sécurités. Savoir à qui nous avons « affaires »

Publié le 1 septembre 2023

Des années quatre-vingt du siècle dernier aux récentes années, nous avons révélé des systèmes de corruption assez généralisés à Grenoble, en Isère et sous les gouvernements de Chirac, Balladur, puis la présidence Sarkozy : rien que dans notre région ce sont quelques dizaines d’affidés du chef corrompu (maire de Grenoble de 1983 à 1995) qui ont été mis en cause par la Justice. Et ce corrompu continue à être entouré de personnes mises en cause par la justice.

Son compagnon Sarkozy, après d’autres mises en cause dont l’une pour corruption, vient d’être renvoyé une nouvelle fois devant le tribunal judiciaire pour « recel de détournement de fonds publics », « corruption passive », « financement illégal de campagne électorale » et « association de malfaiteurs en vue de commettre une infraction punie de dix ans d’emprisonnement », après 11 ans d’enquêtes. Ces chefs de renvoi correspondent bien au système de corruption généralisée de ces représentants de la droite.

Nous avons agi pour que la collectivité publique reprenne le contrôle de ses services publics qu’ils ont concédés, dans tous les sens du terme, au profit des actionnaires privés, que ce soit l’eau ou les autoroutes.

Depuis l’accession au trône de Macron Ier et Macron II, la période que nous vivons est celle d’une mise à disposition de l’Etat à des fins de surprofits pour les patrons. Ces politiques de droite portent des atteintes à toutes nos sécurités dont la sécurité sanitaire par la mise à mal des hôpitaux dont les urgences vitales, que nous subissons à Grenoble.

Ces gouvernements macronistes pilotés par les officines privées (McKinsey et autres) et les sondages, sont aussi aux affaires : 8 de leurs ministres dont 2 ministres de la Justice sont mis en examen, et certains condamnés, 8 autres ministres font l’objet d’enquêtes préliminaires de la justice. Et parmi les parlementaires affidés du chef, 13 sont mis en examen ou condamnés, 5 sous enquête en cours, et 7 membres du cabinet, barbouzes du chef ou représentants désignés par le chef, sont mis en cause par la Justice ou condamnés.

Macron a osé parler de la République « exemplaire ». Nous en sommes rendus à un quarteron aux affaires menant des politiques de droite ouvrant la porte à la droite extrême.

Et Macron, en tant que Président de la République, a 4 fois missionné pour le représenter à l’étranger un multi mis en examen pour corruption : Sarkozy. La boucle est bouclée.

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