
Avec un sentiment de toute puissance, le gouvernement israélien viole sans aucune retenue le droit international et fait subir aux populations palestiniennes des conditions de vie insupportables à Gaza et en Cisjordanie il accélère l’implantation de colons. L’ONU est comme paralysée. Des voix de plus en plus nombreuses, y compris d’Isréalien-nes, n’hésitent plus à exprimer leur indignation et leur colère face à ce qu’ils-elles appellent un « génocide » à Gaza.
Pour ce gouvernement d’extrême-droite, les associations étrangères qui défendent les droits des palestiniens sont considérées comme terroristes, et tout dernièrement une trentaine d’élu-es locaux français-es ont été interdits de séjour par Israël, dont deux grenoblois-es (E. Carroz et A. Breton), au motif d’un lien avec des organisations terroristes (les associations historiques de coopération avec la Palestine !).
Le gouvernement français a réagi à certaines interdictions : « La décision des autorités israéliennes de révoquer l’autorisation de voyage de deux délégations françaises menées par des associations œuvrant pour la coopération décentralisée (Association pour le jumelage entre les camps de réfugiés palestiniens et les villes françaises et Cités unies de France) composées de plusieurs élus devant se rendre en Israël et dans les Territoires palestiniens est regrettable, contreproductive et dommageable pour les relations franco-israéliennes.
Lire le reste de cet article »