
Le maire de Grenoble confirme qu’il n’y a plus de jumelage avec Rehovot en Israël. Le jumelage avec Rehovot est suspendu sine die depuis plusieurs années. Il n’existe aujourd’hui aucun lien institutionnel entre les deux collectivités. En octobre 2023, le maire a soutenu la création d’un nouveau comité de jumelage citoyen, composé de Grenobloises et de Grenoblois. Ce comité s’est réuni, et a considéré qu’il n’était ni possible, ni souhaitable de se constituer ni de démarrer des travaux tant qu’il n’y aurait ni cessez-le-feu, ni libération des otages. Aujourd’hui il n’y a ni lien institutionnel, ni même travail citoyen entre Grenoble et Rehovot.
Stop aux reculs sur l’environnement, néfastes pour les Françaises et Français, néfastes pour l’économie. Le Réseau Action Climat a recensé plus de 43 reculs environnementaux en six mois de la part du gouvernement ou du parlement. Pourtant la préoccupation des Françaises et des Français pour le climat ne fléchit pas. Face à cette requête pressante à agir, et alors que la France décroche de sa trajectoire de baisse de ses émissions de gaz à effet de serre, le monde politique non seulement procrastine, mais il enchaîne même les reculs : suspension de MaPrimeRenov, soutien aux modes d’élevages industriels, coupe des aides sur les véhicules électriques et le vélo… Si ces reculs ont des effets néfastes sur le climat et sur la biodiversité, c’est aussi le quotidien des Françaises et Français qui est pénalisé, via leur pouvoir d’achat, leur santé ou leurs emplois. C’est pourquoi le Réseau Action Climat et ses membres tirent la sonnette d’alarme en réalisant cet état des lieux.
Justice des mineurs, la loi Attal détricotée par le Conseil constitutionnel. Plusieurs articles clés de la proposition de loi de Gabriel Attal pour durcir la justice des mineurs adoptée mi-mai ont été censurés jeudi 19 juin par le Conseil constitutionnel. Parmi ceux-ci, figure notamment celui renversant le principe d’atténuation des peines pour les mineurs. Le Conseil avait plusieurs fois depuis 2002 jugé que la justice pénale des mineurs est soumise, d’une part, aux exigences constitutionnelles de droit commun applicables à la matière pénale et, d’autre part, à un principe fondamental reconnu par les lois de la République, d’adaptation de la réponse pénale à la situation particulière des mineurs. G. Attal pour des raisons bassement politiciennes avait essayé de transgresser ces principes, le conseil a annulé de nombreux articles de sa proposition de loi. Voir l’analyse d’un cabinet d’avocat ici.
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