Dans le cadre du plan de sauvegarde des services publics locaux, deux syndicats de la ville (CFDT et CFTC) de Grenoble ont signé un « Accord de méthode et de dialogue social ». Cet accord reste ouvert à la signature des autres syndicats.
Cet accord ne vaut pas acceptation du plan de sauvegarde par les syndicats qui restent libre de leurs appréciations du plan de sauvegarde. Le syndicat « CFDT Interco » l’a bien précisé dans un communiqué du 23 novembre intitulé : « Un accord mais pas une validation ! … cet accord ne vaut pas validation par le syndicat des mesures d’austérité décidées par le maire, M. Eric Piolle et son équipe. Il engage les signataires, pour une durée de 2 ans, à en respecter les termes et à dépasser les postures stériles pour favoriser un dialogue social innovant. A l’issue de cette période, un bilan sera produit visant à l’amélioration et la pérennisation de l’accord au-delà du plan d’austérité. »