L’éclairage public est un service public administratif obligatoire géré pour l’instant par la commune mais qui pourrait un jour devenir métropolitain.
Grâce à l’action de l’ADES (recours de Raymond Avrillier), c’est le budget de la ville qui paye la consommation électrique de ce service, alors que pendant de nombreuses années, par la volonté de l’ancien maire corrompu ce sont les usagers grenoblois à travers GEG qui payaient dans leurs factures d’électricité l’éclairage public. C’était le temps des impôts cachés par A. Carignon.
Le marché CREM (Conception, Réalisation, Exploitation, Maintenance) que la ville a passé avec le groupement Citeos, a démarré le 1er septembre 2015 et doit durer 8 ans jusqu’au 31 août 2023. Le budget annexe Régie Lumière retrace l’ensemble des dépenses effectuées dans le cadre de ce contrat.
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