
Depuis le 27 décembre ce militant grenoblois est assigné à résidence à Tizi Ouzou, ville de Kabylie souvent à la pointe des combats contre le régime algérien. Son crime : avoir pris des photos de la manifestation du vendredi qui depuis des mois a lieu en Algérie chaque semaine pour demander d’abord la chute de Bouteflika, puis aujourd’hui le fin du « système » mis en place en Algérie depuis l’indépendance avec le contrôle strict de l’armée. C’est le mouvement « hirak » qui ne faiblit pas malgré une répression de plus en plus active.
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