Le commissaire enquêteur devrait rendre, dans les jours qui viennent, son rapport et son avis sur le projet de l’Esplanade, en espérant qu’il ne se sera pas laissé entrainer par les pressions inadmissibles de certain élu-es, mettant en cause le dossier élaboré par la Ville de Grenoble et la métropole.
De nouvelles enquêtes publiques s’ouvrent prochainement, du 28 avril au 4 juin 2025, organisées par la métropole : sur le projet de révision allégée n°1 du PLUi- PPRI du Drac Aval et sur le projet de modification n°4 du PLUi.
Suite à l’approbation du Plan de Prévention du Risque d’Inondation (PPRI) du Drac Aval le 17 juillet 2023, la Métropole a engagé la révision allégée n°1 de son PLUi. Il s’agit d’appliquer sur le territoire métropolitain la nouvelle règlementation issue du PPRI Drac ; d’éviter les doublons et les contradictions de règlementation ; de sécuriser la délivrance des autorisations d’urbanisme par les maires.
L’enquête publique a été précédée d’une concertation préalable sur l’ensemble du sujet, le conseil métropolitain en a tiré le bilan et a arrêté le projet de révision allégée lors de sa séance du 27 septembre 2024. Lors de sa séance du 14 février 2025, le conseil métropolitain a procédé au second arrêt du projet de révision allégée.
Débutée le 17 février, elle se termine le vendredi 21 mars à 17 h 50. Le dossier de requalification de la grande Esplanade est débattu depuis de longues années par les différentes institutions intéressées (communes, métropole, SMMAG, préfecture, Mission régionale d’autorité environnementale…).
Mais pourquoi donc le SMAGG se réveille-t-il au tout dernier moment, en voulant faire croire qu’il n’a pas été associé aux discussions ces dernières années ?… C’est ainsi que le 13 mars 2025, il décide lors de son conseil syndical, d’émettre un avis très défavorable à ce projet.
Cette position suit l’avis très défavorable de la commune de Saint Martin le Vinoux qui est dirigée par Sylvain Laval également président du SMMAG. Cet avis démontre l’incapacité du SMMAG à travailler en amont avec la ville-centre, alors qu’il porte la responsabilité de piloter les solutions de mobilités. Il devrait être très actif plutôt que d’attendre qu’on lui mache le travail.
Des personnes suspicieuses se demandent s’il ne s’agit pas d’essayer de bloquer ce projet suite au blocage du Métro-câble que M. Sylvain Laval, maire de St Martin le Vinoux et président du SMMAG, n’a pas « digéré ».
L’enquête publique sur la requalification de l’Esplanade se terminera le 21 mars 2025.
Le projet de requalification de la Grande Esplanade et du boulevard de l’Esplanade est la première étape de mise en œuvre du projet global et consiste à transformer le parking et le boulevard en un parc urbain paysager.
Il est porté conjointement par la ville de Grenoble et la métropole ; les travaux qui vont être lancés dans les mois qui viennent portent notamment sur la requalification de la Grande Esplanade dont la maitrise d’ouvrage est Ville de Grenoble, et la requalification du Boulevard de l’Esplanade dont la maitrise d’ouvrage est métropolitaine.
Le projet dans son ensemble fait intervenir de nombreux partenaires Ville, métropole (espace public, passerelle), le SMMAG pour le parking relais et des acteurs privés (ex : Intermarché, Vicat). Il n’est pas facile que tout ce monde marche à la même vitesse. L’essentiel c’est que ce projet avance, il a déjà beaucoup tardé.
Pour s’informer sur le dossier, la commission d’enquête organise une réunion publique le mercredi 12 Mars 2025 à 18h00 à l’Hôtel de Ville de Grenoble.
Une enquête publique relative au projet de requalification urbaine du quartier de l’Esplanade et à la déclaration de projet emportant mise en compatibilité du plan local d’urbanisme intercommunal se déroulera du 17/02/2025 de 8 h au 21 mars à 17 heures 50.
L’autre enquête publique concerne la modification n°3 du Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) et se déroulera aux mêmes dates mais débutera à 9 h le lundi 17-02 et se terminera à 17 h le 21-03.
Pour l’Esplanade de Grenoble, l’enquête publique porte à la fois sur le projet de requalification urbaine du quartier et sur la déclaration de projet permettant la mise en compatibilité du PLUi pour le projet de la Grande Esplanade. Le projet urbain du secteur de l’Esplanade doit permettre la réalisation d’une opération d’aménagement urbaine mixte qui a pour objet la requalification des espaces publics et la construction de nouveaux logements afin de désenclaver le secteur, d’améliorer le cadre urbain et de valoriser le patrimoine bâti et paysager. Le projet de requalification de la Grande Esplanade et du boulevard de l’Esplanade est la première étape de mise en œuvre du projet global et consiste à transformer le parking et le boulevard en un parc urbain paysager.
Le 18 décembre 2018, le tribunal administratif de Grenoble rejette le recours de l’association Automobile Club Dauphinois qui demandait l’annulation de l’arrêté du Président de la métropole du 4 janvier 2016 créant la zone 30 km/h.
Le 31 janvier 2019, le tribunal rejette le recours des représentants de l’Union des commerçants et des professionnels de l’Esplanade, la société Berthelet Catherine Hortense, la société Vertige Aventure, la société Vétérinaire de l’Esplanade et la Soplanade Intermarché de l’Esplanade qui demandaient l’annulation la délibération du 18 décembre 2017 du conseil municipal de Grenoble qui a approuvé le « plan guide de réaménagement du quartier de l’Esplanade ».
Pour ce dernier recours le tribunal le rejette puisque le plan guide n’est qu’une décision préparatoire et ne peut donc pas être attaquée en excès de pouvoir. Si des professionnels de l’Esplanade voulaient enrayer le projet d’aménagement de l’Esplanade, c’est raté ! Visiblement ils ont été mal conseillés.
Le Conseil municipal du 18 décembre a adopté le plan guide du réaménagement du quartier de l’Esplanade travaillé par le cabinet HDZ après une longue séquence de co-construction du projet. L’histoire débute après l’élection municipale, où le Conseil municipal du 30 juin 2014 annule la ZAC Esplanade, qui prévoyait la construction de nombreux logements notamment sur la grande Esplanade, suite à l’annulation de la modification du PLU qui aurait permis la mise en route du projet Destot-De Longevialle.
Le nouveau projet rompt radicalement avec l’ancien sur de nombreux points :
Il y a maintien de la Grande Esplanade et de sa couronne d’arbres. C’était le point qui avait mobilisé massivement de nombreux habitants de Grenoble et de l’agglomération. Elle sera réaménagée et donne une grande respiration au nouveau quartier.
Le volume des constructions nouvelles est très fortement diminué : il y a 45% de surface de logements en moins par rapport à ce qui était inscrit dans la ZAC et 50 % en moins d’autres bâtiments. Le volume de bétonisation est diminué de moitié. La densification diminue, ainsi que la surface utilisée pour construire. Il y avait 320 logements / ha prévus pour la ZAC sur 41 000 m2, le nouveau projet diminue la densité à 244 logements/ha sur 35 000 m2.
Il y a une nette augmentation du nombre de logements sociaux (40% en locatif et 10 % en accession). L’augmentation par rapport à ce qui était prévu lors de l’élection municipale, est du logement social, cela fait partie du bouclier social et écologique de la majorité. L’augmentation du nombre de logements (essentiellement sur la petite Esplanade) est une nécessité financière pour la ville suite à l’austérité gouvernementale imposée et cela valorise l’arrêt de tram E.
Le traitement des déplacements est positif : maîtrise du trafic automobile, priorité aux mobilités alternatives.
L’élaboration du Plan Guide a pris le temps nécessaire pour que toutes celles et tous ceux qui le voulaient aient pu s’exprimer et a respecté la volonté de co-construction telle que définie dans « le guide pratique de la participation citoyenne ».
A part la Caserne de Bonne, les grandes opérations d’urbanisme seront lourdement déficitaires à Grenoble. L’équipe municipale a hérité de lourds passifs dans les opérations d’aménagements lancées avant 2014 et qui n’ont pas pu être stoppées (les recours n’ont pas abouti) contrairement au projet de l’Esplanade qui a été bloqué par l’annulation de la révision simplifiée du PLU qui autorisait des constructions sur la Grande Esplanade. Fin 2013, l’engagement financier de la ville dans les ZAC atteignait la somme pharamineuse de 190 millions d’euros jusqu’en 2034. La municipalité a repris dans le détail ces dossiers et a limité un peu la facture, mais les coups partis sont lourds et la ville doit prévoir en moyenne 7 millions d’euros par an pour les aménagements durant les années à venir, ce qui pèse très lourdement dans les dépenses d’investissement.
Comme la ZAC Esplanade n’avait quasiment pas démarré, la municipalité a pu tout arrêter et reprendre le projet dans sa totalité et a annulé la ZAC (en indemnisant l’aménageur d’une petite somme).
Avant que le Plan Guide du projet soit élaboré par l’équipe d’urbanistes-concepteurs après le recueil des avis des habitants et associations, une dernière enquête est lancée pour collecter les avis sur ce qui est ressorti de cette phase de co-construction du projet.
Les habitants sont sollicités pour réagir sur la première version du plan d’aménagement et ses variantes, au moyen d’une enquête en ligne, ouverte jusqu’au 1er octobre, sur les différents aspects du projet.
A l’aide des résultats de cette enquête le document-cadre du projet sera présenté au public fin 2017 et sera soumis au vote du Conseil municipal de la Ville de Grenoble.
Le calendrier du travail sur l’avenir de l’Esplanade est maintenant précisé avec les différentes phases d’élaboration du projet avec l’aide du concepteur urbain HDZ qui a été retenu en décembre 2015. Cette équipe pluridisciplinaire rassemble des architectes, des urbanistes, des paysagistes, des sociologues et des ingénieurs. Ce qui est positif, c’est que HDZ élaborera divers scénarios d’aménagement, ce qui tranchera avec la méthode précédente où un seul projet tout ficelé avait été proposé.
Durant l’année 2016 il y aura le diagnostic du site, l’élaboration de scénarios d’aménagement, et la définition d’un plan-guide à partir d’un ou plusieurs scénarios. Les grandes étapes de la co-construction pour l’année 2016 et le premier semestre 2017 seront :
Samedi 27 juin à 10 h à la mairie: réunion publique de travail sur l’Esplanade. Après avoir travaillé le 16 juin sur les équipements, les espaces communs et la valorisation du patrimoine naturel et culture, le 27 juin les sujets sont : Quels usages de la Grande Esplanade, quelle circulation, quel stationnement, quelles mobilités douces ? Lire le reste de cet article »
Le projet urbain de l’Esplanade a été rejeté par les habitants lors de l’élection municipale. La majorité élue avait précisé ses propositions pour reconstruire un projet avec les Grenoblois. Pour démarrer un nouveau projet, elle organise une réunion publique le 30 septembre à 19 h 30 au Boulodrome sur la petite Esplanade (tram E arrêt Esplanade centre). Contrairement à ce qui s’est pratiqué, on ne demande plus l’avis des habitants sur un projet ficelé, mais de démarrer la réflexion en amont afin d’orienter le travail des élus et des services de la ville.
Rappel des 12 propositions et réflexions faites durant la campagne électorale par la liste du Rassemblement citoyen de la gauche et des écologistes :
Le projet Destot-Safar-de Longevialle sur l’Esplanade a été rejeté par une grande majorité de Grenoblois, cela a été mesuré lors de la pétition de l’association « Vivre à Grenoble » et dans les urnes les 23 et 30 mars. Maintenant, suite au lancement de la modification n° 3 du PLU, la discussion avec les habitants va pouvoir commencer sur la définition d’un nouveau projet pour ce quartier. Tout est à débattre, les formes urbaines, les lieux de construction de logements et d’équipements, le traitement de la circulation, l’utilisation de la grande Esplanade pour l’évènementiel et pour le stationnement, le traitement des berges de l’Isère et de la liaison par passerelle avec le quartier Jean-Macé et de la Gare et avec comme contrainte forte, le respect du site de la Bastille, patrimoine paysager de toute l’agglomération. Des ateliers populaires d’urbanisme devraient se mettre au travail rapidement pour s’approprier les contraintes multiples qui s’imposent au projet et débattre de diverses solutions. Ce sera l’occasion pour les citoyens de se former afin de pouvoir apporter leurs bonnes idées pour que le projet soit construit démocratiquement.
La nouvelle majorité avait promis, si elle était élue, qu’elle garderait le site de la grande Esplanade comme lieu de respiration et d’accueil de grands évènements dont la ville et l’agglomération ont besoin.
Cette année c’était le 80e anniversaire de la foire des Rameaux à l’Esplanade. Auparavant la foire se tenait (depuis 1905) place Saint Bruno C’est une des plus grandes foire d’Europe.
Le maire Eric Piolle a participé, le 12 avril 2014, à l’inauguration de cette grande manifestation. L’association « Vivre à Grenoble » a fêté comme il se doit cet évènement en déployant une banderole souhaitant longue vie à la Foire sur ce site historique.
Il reste maintenant à la majorité de revoir entièrement, avec les habitants, le projet urbain de l’Esplanade. L’ancienne majorité avait fait appel auprès de la cour Administrative d’Appel de Lyon du jugement que nous avons obtenu du tribunal administratif annulant le PLU de l’Esplanade. Le maire serait bienvenu de retirer cet appel sous peu.
Le 17 décembre 2013 le Tribunal administratif annulait la révision simplifiée du PLU qui permettait de réaliser le projet urbain très contesté sur l’Esplanade. La majorité sortante a expliqué que ce jugement ne les gênait pas et ne mettait pas en cause leur projet. Mais la ville vient de faire appel de ce jugement. Ce qui démontre qu’il les gêne réellement.
Le tribunal administratif a annulé la révision simplifiée du Plan Local d’Urbanisme (PLU) du secteur de l’Esplanade. Pour deux motifs : une faute de procédure, et au fond une interdiction de construire des immeubles de trop grande hauteur dans ce site particulier pour protéger le patrimoine paysager. La majorité municipale (J. Safar en tête) essaye de faire croire que cela n’a pas grande importance, que 70 % de leur projet peut se faire avec l’ancien PLU. Mais elle a tout tenté pour que le tribunal ne se prononce pas avant l’élection municipale et ne donne pas raison aux requérants, comme quoi c’était très ennuyeux pour elle de se faire retoquer son projet.
Si on les prend au mot cela signifie qu’ils se « contenteraient » maintenant de 700 logements à construire. C’est justement le chiffre qu’avançaient des opposants au projet lorsqu’ils ont fait une contre proposition, ce qui prouve bien qu’un tel chiffre était tout à fait réaliste ! Car, notons-le, contrairement à ce que dit la majorité municipale, les opposants savent faire des propositions crédibles !
Au cours du débat budgétaire du Conseil municipal du 16 décembre, le dernier de ce mandat, Hakim Sabri le Président du Groupe des élus « Ecologie et Solidarité » a fait observer que d’une manière générale, la majorité ne lésinait pas sur les dépenses d’argent public, plusieurs centaines de milliers d’euros, en matière d’études et audit en tout genre. Etudes parfois inutiles, comme la dernière en date sur la Tour Perret venant après celle réalisée en 2012 et qui disait déjà clairement quels travaux la ville devait engager en urgence. Comme il fallait s’y attendre, J. Safar n’a pas répondu, mais a repris avec le peu d’imagination qui le caractérise l’antienne habituelle selon laquelle ce sont les recours judiciaires qui coûtent chers à la commune.
Lui qui aspire à devenir le premier magistrat de la ville devrait savoir que si cette majorité n’avait pas fait preuve d’un invraisemblable mépris à l’égard des Grenoblois et notamment des 10 000 signataires de la pétition contre le projet de l’Esplanade, si elle n’avait pas voulu passer en force et en toute illégalité, sans doute n’y aurait-il jamais eu de recours. Personne ne peut prendre plaisir à saisir la justice et c’est bien parce que cette majorité est hautaine et sourde que les citoyens sont conduits à utiliser les ultimes moyens dont ils disposent, à savoir la justice.
Le tribunal administratif de Grenoble a annulé ce jour la délibération du 25 juin 2012 du conseil municipal de Grenoble approuvant la révision simplifiée du plan local d’urbanisme pour le secteur Esplanade.
Les mauvaises nouvelles tombent comme à Gravelotte sur la majorité sortante. Des permis de construire annulés et le PLU (Plan Local d’Urbanisme) de l’Esplanade en grand danger après l’audience au Tribunal Administratif de jeudi 28 novembre. Si le tribunal suit les conclusions du rapporteur public, la révision simplifiée du PLU sera annulée et le projet actuel sur l’Esplanade bloqué pour des années. Ce serait un beau cadeau de Noël pour les 10 000 Grenoblois signataires de la pétition (20 000 signataires en tout, en comptant les non grenoblois) qui demandent l’arrêt du projet. Il faudra alors repenser un nouveau projet avec les habitants, ce sera l’enjeu des élections municipales de mars 2014. On voit la différence entre les discours (la droite qui ne fait rien) et les citoyens actifs qui se mobilisent pour le respect du droit et de la démocratie. Le Rassemblement citoyen, de gauche et écologiste auquel l’ADES apporte son fort soutien, fera des propositions constructives à ce sujet.
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L’association « Vivre à Grenoble » invite tous les Grenoblois à venir aux obsèques de la démocratie locale qui auront lieu le lundi 18 novembre à 16 h 30 sur le parvis de la Mairie de Grenoble.
Cet enterrement se passe le jour où la majorité municipale va voter la réalisation de la ZAC (Zone d’Aménagement Concerté) Esplanade, la mise en place de l’AVAP (Aire de mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine) qui autorise la ville à faire sauter les protections qui existaient sur l’Esplanade dans la ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager). Ils voteront aussi la réalisation de la ZAC Flaubert… Tous ces dossiers étant montés sans aucun débat public préalable sur leurs grands axes, contrairement aux exigences de la charte de la démocratie locale.
La commissaire enquêteur sur le projet d’AVAP (Aires de Mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine, qui va remplacer la ZPPAUP : Zones de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager) a rendu le 28 juillet son rapport et ses conclusions. Elle émet un avis favorable avec des réserves qui touchent directement le projet de l’Esplanade, incompatible avec le respect du patrimoine architectural, paysager et environnemental. La ville va devoir revoir sa copie du projet d’AVAP, de la révision du PLU (Plan local d’urbanisme) et du contenu de la ZAC (Zone d’Aménagement Concerté). Cette enquête publique pourrait renforcer les recours déposés par des militants de l’ADES d’une part, et de l’association « Vivre à Grenoble » d’autre part.