Le bilan des mandats de la majorité de gauche et des écologistes, sera fait lors de la prochaine campagne électorale. Il est instructif de revenir sur ce qui s’est passé les 23 et 30 mars 2014 à l’élection municipale de Grenoble, suite au mandat de 2008 à 2014 de la liste « droite-gauche » de Michel Destot.
Ce dernier avait du mal à supporter les écologistes durant ses deux premiers mandats. Il déclarait en 2007 : « Durant les 2 mandats écoulés, j’ai vécu des années noires », justifiant ainsi, l’éviction des écologistes au profit de la droite dans la liste « droite-gauche » de 2008. Il faut rappeler que le groupe des 11 élu-es écologistes, de 1995 à 2008, avait seulement comme exigences le respect des accords politiques passés, notamment la remunicipalisation du service de l’eau et de ne pas réaliser un si grand stade non prévu dans les accords.
L’arrivée du Rassemblement citoyen de la gauche et des écologistes (RCGE) le 30 mars 2014 à la mairie de Grenoble a été une surprise pour beaucoup, d’autant plus que les sondages prédisaient une large victoire de la liste conduite par Jérôme Safar.
Sans surprise, Eric Piolle a décidé le
17 septembre de se présenter à la prochaine élection municipale de mars 2020.
Il précise que de début octobre à Noël, il y aura trois mois pour construire
avec toutes celles et tous ceux qui le souhaitent un projet municipal qui
relèvera les défis de la justice sociale et environnementale, une façon de
s’occuper à la fois de la fin du mois et de la fin du monde. Il rappelle qu’il
faut se retrouver sur les valeurs fortes de Grenoble portées par le Conseil
National de la Résistance (de mars 1944), l’hospitalité envers les exilés, le
goût des biens communs, le féminisme et l’expérimentation démocratique
permanente…
Si vous souhaitez soutenir et
participer à l’élaboration de ce nouveau projet, vous pouvez le signaler dès
maintenant à contact@ades-grenoble.org
Le groupe des élus de la majorité à Grenoble a édité plusieurs documents
faisant le bilan de 5 ans de mandat municipal. Il y a eu 6 brochures sur certains
des grands axes d’action : solidarités, sport, manger mieux, démocratie
locale, actions pour le climat à Grenoble et à la métropole, cultures.
Une dernière plaquette intitulée « Depuis 2014 Grenoble change »
qui en 20 pages retrace de nombreuses (environ 180) avancées significatives qui
ont été réalisées durant ce mandat municipal rendu difficile par les politiques
gouvernementales successives et l’état des finances de la ville très dégradé en
2014.
L’éditorial de cette plaquette, insiste sur les changements opérés et
sur les priorités politiques qui ont été portées par cette équipe et il est
souhaitable que la prochaine équipe qui sera élue le 22 mars 2020 poursuive et
amplifie ce travail de fond :
Les choix budgétaires reflètent en chiffres les
priorités politiques définies par le Conseil municipal qui correspondent aux
valeurs portées par la majorité élue en 2014.
En tête de ces priorités, faire une ville
vivable pour tous, donc se préparer au changement climatique et tout faire pour
le minimiser, d’où la mobilisation pour la transition énergétique et écologique
à Grenoble et son agglomération, assurer la solidarité par des tarifications
sociales chaque fois que c’est possible, éviter d’augmenter les impôts locaux, développer
la participation citoyenne pour fédérer les énergies pour améliorer le vivre
ensemble.
Construire une ville émancipatrice, en particulier dans l’importance qu’elle accorde à l’éducation,
Construite une ville durable, en particulier dans l’ambition qu’elle porte à ses espaces publics et son bâti et qui se prépare à affronter le dérèglement climatique qui on le sait est plus rapide dans les Alpes qu’ailleurs,
Construire une ville solidaire et citoyenne, en particulier dans l’attention qu’elle porte aux plus fragiles et à ce qui fait société,
Faire « une Ville pour tous » tournée vers l’avenir, respectueuse de son histoire et de la diversité de ses quartiers et de ses habitants.
Les compétences des pouvoirs publics sont très
dispersées en ce qui concerne notre cadre de vie et il faut éviter les discours
démagogiques déclarant que la ville et son maire peuvent tout sur tout. Depuis
le passage en Métropole ceci ne s’est pas simplifié en particulier sur la gestion
des voiries et de l’accessibilité des espaces publics pour tous. La lutte
contre les impacts du changement climatique et les pollutions, notamment
atmosphérique, oblige à une coopération de toutes les administrations de la
commune à l’Etat et l’Europe en passant par la Métro, le SMTC, le département,
la région et de nombreux gestionnaires de services publics dans l’énergie, les
déchets… Ces coopérations demandent trop souvent beaucoup de temps et d’énergie
pour accoucher des différents plans d’action et le manque d’implication de
l’Etat se fait lourdement sentir, et l’austérité financière imposée par les
différents gouvernements n’a pas permis aux collectivités locales et aux élus
d’agir comme ils l’auraient voulu.
Nos élus agissent à la Métro, au SMTC et à la Ville pour limiter les impacts du changement climatique en diminuant les émissions de gaz à effet de serre autant que possible et préparent l’agglomération à résister aux effets qui vont se faire sentir. Les groupes des élus du Rassemblement citoyen de la gauche et des écologistes et de la métropole en transition ont réalisé une plaquette de 16 pages pour résumer les actions publiques effectuées sous leurs impulsions et qu’il va falloir poursuivre et amplifier.
« Le dérèglement climatique est d’ores et déjà une réalité.
Alors qu’en Europe les États patinent, ralentis par les lobbies,
les villes et les villages peuvent faire vivre la transition écologique
et solidaire. Les territoires sont des acteurs essentiels pour réussir les transitions,
au plus près des besoins des habitant·es. Grenoble et sa Métropole
agissent. Elles agissent pour limiter ce dérèglement et agissent pour s’adapter
à ses effets !
A partir de
septembre 2019, la campagne électorale pour les élections municipales de mars
2020 va prendre de l’importance. C’est donc le moment de porter notre regard
sur les actions publiques locales, de la Ville de Grenoble et de la Métropole,
pour faire le point sur le chemin qui a été parcouru depuis mars 2014. Nous
mesurerons les grandes ruptures effectuées par rapport aux gestions passées et
elles sont nombreuses. Ces ruptures montrent que l’action publique n’est pas
vaine et qu’elle a des impacts sur nos vies quotidiennes beaucoup plus
importants que ce que l’on croit généralement. Ces politiques publiques
solidaires, écologiques et démocratiques valent d’être défendues et
développées, mêmes si quelques-unes n’ont pas été menées au bout.
L’action
publique locale, dans l’intérêt général, doit être défendue contre les intérêts
privés, contre le clientélisme et contre la corruption. Nous refusons un
certain défaitisme ambiant qui tend à laisser croire que l’action politique est
inefficace : ce qui a été réalisé par la majorité plurielle depuis 2014 à
Grenoble démontre clairement son efficacité. Des oppositions se sont contentées
du « Grenoble bashing » au
lieu de proposer des alternatives possibles.
Une citoyenne dépouille
depuis 2014, les délibérations du Conseil municipal de Grenoble et les classe
par rapport aux 120 engagements pris par la majorité municipale lors de
l’élection de mars 2014. C’est un travail de fourmi mais il permet de voir le
contenu du travail d’une collectivité locale par rapport aux engagements pris par
les élus devant les électeurs.
Il faut souligner la
quantité de travail que cela représente puisqu’à chaque conseil il y a environ
100 délibérations, donc dans une année ce sont environ 1000
délibérations ? Certes il y a beaucoup de petites délibérations qui ne
règlent que des questions purement administratives. Et certaines mélangent
plusieurs thèmes où sont difficilement classables par rapport aux engagements.
Sur le site il y énormément
d’informations sur les Conseil municipaux et des tableaux classant par engagements
pris, les délibérations correspondantes. Pour qui veut se pencher sur l’activité
d’un Conseil municipal, il y a là une mine d’informations très importante.
Les contributions sur le site du débat public national, ne sont pas aussi nombreuses qu’attendues. Actuellement elles représentent entre 40 000 et 70 000 contributeurs suivant les thèmes. Depuis que la Commission nationale du Débat public (CNDP) a été évincée de l’organisation de ce débat et de sa reprise en main par le Président, le gouvernement et les députés « En Marche ». Rappelons le rôle de cette autorité administrative indépendante créée par la loi, qui est de faire respecter et d’assurer la correcte mise en place des procédures de démocraties participative prévues par la loi ou promues de manière volontaire par les pouvoirs publics.
Dans son rapport de mission 2019, la CNDP rappelle que, la posture d’écoute active implique de ne jamais prononcer de discours en ouverture, en clôture ou depuis une estrade, mais de répondre éventuellement aux questions posées. Ce principe comme les principes fondamentaux du débat public sont oubliés par le gouvernement et certains parlementaires, ils sont rappelés par la CNDP dans sa décision du 9 janvier 2019 : neutralité et indépendance des organisateurs, égalité de traitement des participants, transparence dans le traitement des résultats.
Les mouvements qui soutiennent la majorité municipale grenobloise ont décidé d’apporter leurs contributions sur les 4 thèmes qui font partie du grand débat national :
L’introduction de la plaquette est faite par Pascal Clouaire adjoint à la démocratie locale :
« Depuis 2014, nous inventons avec les Grenoblois·es une nouvelle forme de démocratie !
Grenoble est une terre d’innovations sociales. Elle a vu éclore la Révolution française, se former les premières mutuelles et le planning familial… En 1965, les premiers Groupes d’Action Municipale (GAM), créés sous l’impulsion d’Hubert Dubedout, inauguraient une nouvelle forme d’implication des citoyen·nes dans la vie publique. 50 ans plus tard, notre équipe municipale perpétue cette tradition. Dans le champ de la démocratie locale, cela s’est traduit par un foisonnement d’initiatives : budget participatif, conseils citoyens indépendants, co-construction des projets urbains, droit d’interpellation… Des dispositifs accessibles aux jeunes dès 16 ans et aux résident·es étranger·ères, accompagnés de démarches volontaristes pour associer les personnes éloignées de la décision publique. Cet esprit innovant nous a également mené·es à expérimenter un dispositif inédit en France : la votation citoyenne. Un dispositif salué et primé nationalement. Un dispositif qui, bien avant le débat national sur le RIC (Référendum d’Initiative Citoyenne), offrait aux Grenoblois·es la possibilité de changer la donne sur une question municipale. Mais un dispositif annulé sur décision du Tribunal administratif en 2018, démontrant les limites de la loi sur les questions de démocratie. Notre majorité s’est toutefois engagée à poursuivre ses efforts pour faire bouger les lignes. Nous restons convaincu·es que les innovations et les initiatives locales contribuent à redonner un nouveau souffle à la démocratie. Nous devons permettre le débat, l’échange, la participation, le faire ensemble. C’est d’ailleurs aujourd’hui une revendication qui dépasse largement le territoire grenoblois. »
Les mouvements politiques, EELV Grenoble, Ensemble! Grenoble Métropole, Réseau Citoyen de Grenoble et l’ADES, ont réagi par un communiqué, à l’initiative de l’ancien maire corrompu de vouloir revenir aux affaires municipales :
« Face au dérèglement climatique et aux inégalités sociales, développer le bien vivre des habitants de Grenoble et de la Métropole est le défi des années à venir. Pour cela, fort de ses valeurs d’égalité, de solidarité et d’innovation notre territoire doit cultiver ses atouts : les biens communs, aux premiers rangs desquels l’Eau, l’Energie, la Santé, l’Alimentation, etc…
Parce que l’argent public est, lui aussi, un bien commun rare, nous dénonçons la tentative de retour dans la vie publique de l’ancien maire corrompu. Le détournement des biens communs dont il s’est rendu coupable, à des fins d’enrichissement personnel, ou en dissimulant le risque pour la santé des Français lors de l’accident nucléaire de Tchernobyl, démontre qu’il appartient à l’arrière monde au moment où toutes les énergies se mobilisent pour faire éclore un monde nouveau.
La corruption n’est pas un délit comme les autres : c’est le plus grave délit que peut commettre un responsable de la puissance publique, dépositaire de la confiance des Grenobloises et des Grenoblois. En plus d’être un délit, elle offense les valeurs de notre territoire. Les Grenoblois refuseront de valider démocratiquement le retour du corrompu : leur confiance ne peut pas être trahie à volonté. »Lire le reste de cet article »
La majorité municipale publie régulièrement le bilan de ses actions. Dans une première plaquette elle rendait compte de trois ans d’actions pour plus de solidarité. Elle vient d’éditer une plaquette sur la politiquer sportive menée depuis 2014.
Sadok Bouzaiène, adjoint aux sports, présente cette plaquette en rappelant les fondements de la politique municipale :
« Notre objectif : le sport partout, pour toutes, pour tous !
La nouvelle majorité municipale de Grenoble a institué des dispositifs originaux de démocratie participative permettant aux citoyens-résidents de plus de 16 ans d’intervenir directement sur certaines décisions municipales.
Le préfet a déféré ces dispositions au tribunal administratif de Grenoble. L’audience a eu lieu le 3 mai et le rapporteur public dans ses conclusions propose au tribunal d’annuler les deux dispositifs prévus : l’interpellation citoyenne et la votation citoyenne.
Le dispositif d’interpellation citoyenne permet de demander l’inscription à l’ordre du jour du Conseil municipal d’un débat sur le sujet porté par une pétition si il y a plus de 2000 signatures d’habitants grenoblois de plus de 16 ans. Et après le débat en Conseil municipal, le Maire pourra, soit retenir la proposition pour sa mise en œuvre, soit la soumettre à l’avis des Grenoblois dans le cadre d’une votation citoyenne organisée par la Ville au moins une fois par an (en octobre).
Comme indiqué sur le site internet de la ville, le Maire de Grenoble s’engage à mettre en œuvre les propositions qui comptabilisent 20 000 votes en faveur de la proposition et pour lesquels les votes favorables sont majoritaires sur les votes défavorables.
Ces nouveaux dispositifs ne sont pas prévus par la loi et la règlementation, ils faisaient partie des engagements de la nouvelle majorité et avaient une fonction expérimentale pour améliorer la démocratie locale. Pour éviter un contrôle de légalité immédiat, le Conseil municipal n’avait pas pris de délibération à ce sujet en espérant que le Préfet laissera faire cette expérimentation. Il est dommage que le représentant de l’Etat ait décidé de sanctionner ces dispositifs qui ne mettaient pas en péril le fonctionnement de l’institution locale bien au contraire.
La majorité municipale met en place depuis 3 ans des politiques publiques destinées à lutter contre les inégalités de toutes sortes et à renforcer les solidarités dans une ville très morcelée socialement. Elle rend compte de ses actions dans le domaine des solidarités dans une brochure qui traite des tarifications solidaires (école, transports en communs, eau), du développement du logement social, de l’hébergement d’urgence, de l’aide à l’accès aux droits sociaux et des nombreuses actions au quotidien dans les domaines de la santé (contre la pollution de l’air), de l’alimentation, des jardins partagés et une commande publique toujours plus solidaire, favorisant l’insertion. Malgré de très importantes difficultés financières, la ville met les solidarités au centre de ses préoccupations. Bien évidemment l’action d’une ville ne peut pas compenser les manques liés aux politiques nationales qui sont au-delà de ses compétences.
L’éditorial est signé par Alain Denoyelle, adjoint à l’action sociale et vice-président du CCAS, qui explique :
Communiqué de presse du Rassemblement du 15 septembre 2017 :
« La coordination du RCGE qui regroupe le Réseau Citoyen, l’ADES, EELV, le PG, Ensemble !, Nouvelle Donne juge la politique gouvernementale très agressive sur le plan social et économique ce qui va mettre encore plus à mal la gestion des collectivités locales ; elle rappelle son soutien à la majorité municipale grenobloise qui se trouve dans une situation financière difficile, mais qui a eu le courage de ne pas augmenter les taux des impôts. En effet, les baisses importantes des dotations budgétaires aux collectivités mises en œuvre par le gouvernement précédent ont conduit la municipalité à faire des choix pour sauver les services publics locaux.
Cette réorganisation des services publics locaux élaborée sous une contrainte budgétaire menaçante, s’est faite au prix d’efforts considérables, tout en recherchant une amélioration pour l’ensemble des grenoblois.
Il y a plusieurs façons de juger une politique municipale, son évolution et ce qu’elle change par rapport à la situation précédente : soit se contenter d’une communication autour d’actions idylliques, soit présenter l’ensemble des réalisations à partir des délibérations qui sont prises par le conseil municipal ou le conseil de métropole, c’est à dire présenter les actes réels, même s’ils ne sont pas spectaculaires.
C’est le choix qui est fait par le groupe majoritaire en éditant par fiches thématiques de nombreuses actions décidées qui par petites touches ou par rupture plus franche montrent la réalité des changements. Les fiches se trouvent sur le site unevillepourtous.fr
Le mardi 17 janvier à 20 h, le Rassemblement citoyen de la gauche et des écologistes organise un café citoyen sur le thème : « Les biens communs » à la Maison des Associations rue Berthe de Boissieux à Grenoble. Les « Communs » peuvent faire référence à la notion de « Biens Communs » : Ce peut être l’air, l’eau, les savoirs, les logiciels et les espaces sociaux, et bien d’autres choses qui rendent possible la vie quotidienne et le bon fonctionnement de notre société. De nombreux biens communs sont cependant menacés – ils sont ôtés à la collectivité, commercialisés, détruits de manière irréversible. Les Communs privilégient la valeur d’usage des ressources (l’intérêt pour les individus et les collectivités) plutôt que leur valeur d’échange (leur monétisation). Cette approche permet de penser le développement territorial, l’organisation urbaine, la relation entre producteurs et consommateurs…, contribuant ainsi à renouveler la façon dont le développement durable est aujourd’hui envisagé. Ainsi, coopération versus concurrence, Biens communs et nouveau modèle social, crise de la verticalité de la Ve République, soutenabilité, gestion municipale de l’eau, du chauffage urbain, de la distribution de l’électricité, monnaie locale, droit d’usage versus droit de propriété… font partie des quelques questions parmi tant d’autres que pose la thématique des communs.
Le rassemblement politique qui compte 42 élu-es au Conseil municipal de Grenoble vient de créer un nouveau site internet.
Dorénavant pour suivre les activités du Rassemblement, il faut aller sur le site rassemblement-grenoble.org
Pour suivre les activités du groupe des 42 élu-es : unevillepourtous.fr
Rappel, le Rassemblement est soutenu par les mouvements politiques : Réseau citoyen, ADES, EELV, Parti de Gauche, Nouvelle Donne, Ensemble !
Le Rassemblement vient de répondre aux « fausses vérités du PS grenoblois» :
Six mois après la « journée sans services publics » du 25 novembre 2015 qui faisait suite à l’annonce de la baisse violente des dotations de l’Etat, l’équipe municipale a présenté « le Plan de sauvegarde des services publics locaux (2016-2018) », élaboré par les élus et les services durant 6 mois. Nous reviendrons prochainement sur l’analyse de ce plan qui comporte une multitude de décisions très importantes qui vont dessiner l’avenir de la ville dans les prochaines années.
Nous avons demandé à Vincent Comparat qui a beaucoup travaillé sur la gestion financière de la ville depuis des années, quelles était ses réactions par rapport à ce plan ?
Samedi 4 juin: la deuxième Fête des tuiles, cours Jean Jaurès et Libération. En espérant une météo un peu clémente, notamment pour le grand défilé des Tuiles. Le défilé partira du nord du cours Jean Jaurès à 17h15 (au croisement avec le cours Berriat) et descendra jusqu’ aux Alliés.
Le programme complet de 6 h à 22 h se trouve sur le site de la ville .
Mardi 14 juin 2016, Les Amis du Monde Diplomatique invitent à une rencontre publique sur le thème : à Grenoble, 2 ANS DE MANDAT ET MAINTENANT ? A 20 h à la Maison des Associations 6 rue Berthe de Boissieux à Grenoble. La rencontre sera animée par Victor Guilbert, journaliste.