Lundi 15 avril à 17 h à la mairie, conseil municipal plutôt léger. Voici quelques plats qui composent ce menu « light » :
- Mise en place d’un « machin », pour suivre et évaluer la prochaine révision du PLU. Il aurait été plus pertinent d’annuler les dernières modifications et révision simplifiée du PLU (Flaubert, Presqu’île et Esplanade) pour repartir du bon pied.
- Principe de la mise en place d’une société publique locale avec la Métro pour gérer le tourisme en remplacement de l’office du tourisme de Grenoble. Une politique d’agglomération serait certainement plus efficace. Tout dépend de sa gestion, et des relations entre responsables et personnel qui devraient changer radicalement par rapport à la situation actuelle.
- Enfin et ce n’est pas trop tôt, droit de préemption sur les fonds artisanaux, de commerce et les baux commerciaux dans le secteur Mistral. Mais pourquoi ne pas l’élargir à d’autres quartiers, sinon à l’ensemble de la ville ?
- Et malheureusement car à la fin du conseil (vers 19h au plus tard ?), un projet d’évolution de la gestion de la production et de la distribution de l’eau potable dans la région urbaine grenobloise (voir notre article du 5 avril 2013). Un dossier qui, au regard de son importance, aurait mérité un débat public sur les enjeux et les différents scénarios possibles. Mais évidemment, la charte de la démocratie locale est encore une fois oubliée…

Cette première réunion du réseau citoyen est une réussite indéniable puisque la salle de conférence de la Maison des Associations avait fait le plein.
Base Elèves était une initiative de l’éducation nationale sous le précédent mandat présidentiel pour ficher dès l’école primaire, notamment l’origine et la religion des enfants sous prétexte d’assurer un « suivi ». Il appartenait aux directeurs d’école de faire remplir ces dossiers. D’où les sanctions de l’inspectrice d’Académie de l’Isère à l’égard de ceux qui ont refusé.
Le collectif pour un audit citoyen de la dette publique – Isère (CAC 38) examine les dettes des collectivités. La Métro lui a communiqué les détails de ses emprunts en cours de remboursement. Le CAC 38 a transmis à la Métro son analyse dont voici l’essentiel.