Rapport 2023 sur l’état du sexisme en France : le sexisme perdure et ses manifestations les plus violentes s’aggravent. Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE) a rendu son rapport le 23 janvier. Le sexisme ne recule pas en France. Au contraire, il perdure et ses manifestations les plus violentes s’aggravent. Tel est le constat alarmant du rapport annuel 2023 du HCE sur l’état du sexisme en France, qui s’appuie à la fois sur les derniers chiffres officiels et sur les résultats du baromètre réalisé par l’institut Viavoice auprès de 2500 personnes représentatives. Ce sondage rend compte des perceptions de la société face aux inégalités entre les femmes et les hommes, évalue le degré de sexisme de la population, restitue le vécu des femmes et mesure l’adhésion aux outils de lutte existants.
Un arrêt important pour les libertés individuelles de la cour de Justice européenne. La collecte systématique des données biométriques et génétiques de toute personne mise en examen aux fins de leur enregistrement policier est contraire à l’exigence (posée par la Directive (UE) 2016/680 du Parlement européen et du Conseil, du 27 avril 2016) d’assurer une protection accrue à l’égard du traitement de données sensibles à caractère personnel, vient de trancher la CJUE par un arrêt du 26 janvier 2023.
7 propositions du Groupement des Autorités Responsables de Transport (GART) en faveur de la mobilité 2022-2027 : engager l’État à hauteur de 5 Milliards d’Euros en faveur de la mobilité du quotidien avec un nouveau plan d’investissement, rétablir la TVA à 5,5% pour augmenter la capacité d’investissement des AOM, transformer en subventions les avances de trésorerie versées dans le cadre de la crise sanitaire, garantir la pérennité du versement mobilité, développer un titre unique pour toutes les mobilités à l’échelle nationale, créer un bureau des temps et engager une réflexion globale sur les horaires et les usages, intégrer le bio GNV dans les énergies à très faibles émissions.
L’étude « Ice velocity and thickness of the world’s glaciers”, publiée le 7 février 2022 dans Nature Geoscience, par des chercheurs de l’Institut des géosciences de l’environnement (CNRS/Université Grenoble Alpes/IRD/Grenoble INP) et du Dartmouth College (États-Unis). Elle permet de mesurer le volume des glaciers du monde entier, leur évolution et les conséquences concernant l’alimentation en eau des populations. Elle est basée sur les images des satellites Sentinel (ESA) et Landsat (NASA) traitées sur les serveurs de l’Université Grenoble Alpes (plus d’un million d’heures de calcul), elle a été soutenue par le CNES.
Le chercheur du Cerdap2(Centre d’Etudes et de Recherche sur la diplomatie, l’Administration Publique et le Politique) voulait répondre à la question très simple et utile : La vidéosurveillance aide-t-elle à élucider des enquêtes ? Guillaume Gormand avait soutenu une thèse en 2017 sur l’utilisation de la vidéosurveillance à Montpellier.
Résultat de l’enquête : sur 1 939 cas étudiés, 22 enquêtes élucidées ont bénéficié du concours d’images de caméras, soit 1,1 % des cas du panel. Si l’étude ne peut tirer des conclusions générales sur la vidéosurveillance, l’enseignant-chercheur souhaite voir ces évaluations se multiplier en France. Une gageure selon lui, tant la vidéosurveillance s’enlise dans un débat idéologique : « On n’écoute pas les scientifiques. Les défenseurs de la vidéosurveillance ne veulent pas entendre des discours comme le mien».
Menée par l’Université Grenoble Alpes, la vaste étude « Mobilair » démontre qu’il est possible de réduire drastiquement la pollution aux particules fines dans la cuvette, à condition de mener conjointement une diminution d’un tiers des déplacements en voiture et de changer l’intégralité des systèmes de chauffage au bois.
Il s’agit d’une vaste évaluation interdisciplinaire liant environnement, économie, chimie et santé en soutien aux politiques publiques. La partie de l’étude effectuée pour la métropole a été présentée aux maires de l’agglomération le 15 juin 2021 par Mme Sandrine Mathy (CNRS, GAEL) et M. Rémy Slama (INSERM, IAB). Ils ont rappelé que chaque année 145 personnes meurent prématurément dans la Métro du fait de la pollution aux particules fines.
Mobilair regroupe sept laboratoires de l’université Grenoble Alpes depuis plus de 3 ans, elle s’est fixée sur un objectif ambitieux : diminuer de 67% d’ici 2030 la mortalité due aux particules fines.
Voilà un nouveau rapport scientifique qui confirme et qui démontre que le dérèglement climatique entraine et entrainera de plus en plus de catastrophes dans le monde entier.
Diffusé le 31 août 2021, le rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) explique qu’une catastrophe d’origine météorologique, climatique ou hydrologique a été enregistrée en moyenne par jour au cours des 50 dernières années, entraînant quotidiennement le décès de 115 personnes et des dégâts se chiffrant à 202 millions de dollars.
Le nombre de catastrophes a été multiplié par cinq durant cette période de 50 ans, sous l’effet du changement climatique et de la multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes. Grâce à une amélioration des systèmes d’alerte précoce et de la gestion des catastrophes, ces catastrophes ont entraîné presque trois fois moins de décès.
Le 9 août 2021, le GIEC a rendu un nouveau pré-rapport très inquiétant sur l’avenir du changement climatique. Il explique que si des réductions immédiates, rapides et massives d’émissions de gaz à effet de serre ne sont pas actées, la limitation d’augmentation de températures de 1,5°C ou même de 2°C ne pourront pas être atteint.
Pour la première fois les 195 gouvernements se sont mis d’accord pour affirmer que ce sont bien les activités humaines qui sont responsables du réchauffement climatique, il s’agit d’une certitude scientifiquement prouvée. Le GIEC avertit qu’il reste à peine vingt ans pour limiter le pire.
Voici des extraits du communiqué du 9 août sur le changement climatique généralisé et rapide, d’intensité croissante : IPCC_WGI-AR6-Press-Release_fr.pdf
« Les scientifiques observent l’évolution du climat dans toutes les régions de la planète et dans l’ensemble du système climatique, selon le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) publié aujourd’hui. Nombre des changements relevés sont sans précédent depuis des milliers, voire des centaines de milliers d’années, et certains phénomènes déjà en cours – comme l’élévation continue du niveau de la mer – sont irréversibles sur des centaines ou des milliers d’années. Toutefois, des réductions fortes et soutenues des émissions de dioxyde de carbone (CO2) et d’autres gaz à effet de serre limiteraient le changement climatique. Alors que la qualité de l’air en bénéficierait rapidement, la stabilisation des températures mondiales pourrait prendre 20 à 30 ans, selon le rapport du Groupe de travail I du GIEC intitulé Changement climatique 2021 : les éléments scientifiques…
L’Institut des Politiques Publiques (IPP) vient de rendre publique l’évaluation à grande échelle du programme Parler Bambin menée par les laboratoires J-PAL (Ecole d’économie de Paris – ENS) et Dynamique du Langage (Lyon II). 94 crèches, plus de 1000 professionnelles de la petite enfance et familles parmi les plus précaires ont participé à ce rigoureux protocole d’évaluation, afin d’estimer les effets de la méthode à court et plus long terme.
Ces dernières années, Parler Bambin était soutenu à fond par O. Noblecourt qui pensait avoir trouvé la pierre philosophale, c’est raté. Alors que l’ANSA, porteuse du projet, comptait sur cette étude d’envergure pour booster l’implantation du dispositif, le rapport conclue que « PARLER Bambin ne semble pas avoir d’effet sur le développement langagier des enfants mais produit un léger impact positif à court terme sur leur développement socio-affectif (…) Cet effet ne se maintient pas à long terme. » Du côté de la formation, « les professionnelles des crèches formées à PARLER Bambin adoptent de façon plus systématique les postures et les stratégies qui favorisent des interactions langagières riches et plus stimulantes avec les enfants. Cependant cette évolution ne semble pas affecter leur développement langagier à court terme comme à moyen terme. »
Avec une enveloppe annuelle de plus de 6 milliards d’euros par an, le crédit d’impôt recherche est devenu la deuxième plus grande niche fiscale. Un rapport de France Stratégie tente d’évaluer son efficacité.
La Commission nationale d’évaluation des politiques d’innovation (CNEPI) a réalisé en juin une étude intitulée :« Évaluation du crédit d’impôt recherche ».
« Estimer précisément les effets d’une politique publique est un exercice délicat, mais concernant le crédit d’impôt recherche (CIR), c’est déjà trouver son effet qui s’avère complexe. Le CIR est devenu au fil des années un outil de politique publique majeur et coûteux. Depuis qu’il a été renforcé en 2008, il n’a cessé de faire l’objet de critiques régulières. Les rapports se sont succédé sans que l’on puisse pousser de cocoricos en matière de recherche et développement (R&D).
Une équipe du CNRS, a mis en ligne le 7 avril la nouvelle version du « Mobiliscope » qui intègre 49 agglomérations françaises, dont Grenoble. Il permet de suivre visuellement l’évolution de la composition sociale d’une ville ou d’un quartier au cours de la journée à partir des données de déplacement du Cerema,
« LES POPULATIONS
PRÉSENTES ET LEURS MOBILITÉS AU COURS DE LA JOURNÉE
Les habitants d’une ville
ne sont pas immobiles. Leurs déplacements quotidiens occasionnent des
modifications dans l’organisation sociale et spatiale des villes.
Le Mobiliscope est un outil de géovisualisation qui donne à voir l’évolution de
la population présente dans les villes françaises et canadiennes au cours des
24 heures de la journée. Il permet ainsi d’étudier les changements de
composition sociale des quartiers au fil des heures…
Remplacé depuis le 1er janvier 2019 le fameux Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) mis en place par le gouvernement de F. Hollande au 1er janvier 2013, est évalué régulièrement par de nombreux rapports depuis sa création.
France Stratégie, organisme gouvernemental, mène depuis quelques années une évaluation du CICE, notamment en nombre de créations d’emplois qui était l’objectif initial du gouvernement Hollande.
Il
ressort de toutes les études menées que les objectifs en matière
de créations de postes de ce dispositif n’ont pas été atteints.
Le 22 mai 2020, la revue
scientifique internationale The Lancet publiait une étude
suggérant une inefficacité et même une nocivité de
l’hydroxychloroquine pour soigner les malades du coronavirus.
Immédiatement
les médias s’en sont emparés et malgré des réactions et interrogations de
certains scientifiques sur la qualité de l’étude qui leur paraissait très discutable,
les responsables des services de santé et l’OMS ont bloqué les essais en cours
sur les effets de ce médicament sur le Covid-19.
Dès le 23 mai, face à la
pression médiatique, le ministre de la Santé, Olivier Véran, annonce qu’il
demande un avis sur ce sujet au HCSP (Haut conseil en santé publique). Ce
dernier répond le lendemain s’appuyant notamment sur l’article de The Lancet
en déclarant: « Le
groupe de travail a conclu de manière collégiale à l’absence d’étude clinique
suffisamment robuste démontrant l’efficacité de l’hydroxychloroquine dans le
Covid-19 quelle que soit la gravité de l’infection…Le HCSP
recommande : de ne pas utiliser l’hydroxychloroquine (seule ou associée à un
macrolide) dans le traitement du Covid-19 ».
Heureusement des critiques de scientifiques
concernant l’article de The Lancet se développent obligeant certains des
auteurs de l’article à retirer leur signature contraignant l’éditeur à retirer
la publication. Il s’avère au fur et à mesure des critiques adressées à l’article
qu’il s’agit d’une manipulation qui profite à des intérêts privés.
L’IGE est une unité
mixte de recherche du CNRS, de Grenoble INP, de l’IRD et de l’Université
Grenoble Alpes. « L’IGE
mène des recherches sur le climat, le cycle de l’eau, la cryosphère et les
environnements naturels et anthropisés. Ces recherches visent à mieux
comprendre les processus qui régissent le fonctionnement des différents
environnements géophysique. »
Grâce à la détection du carbone 14 (période radioactive d’environ 5700 ans) dans des glaces du Groenland, les chercheurs concluent que la quantité de méthane (puissant gaz à effet de serre) émise vers l’atmosphère par les combustions de fuels fossiles dues aux activités humaines a été jusqu’à maintenant largement sous-estimée. Et comme le méthane a une durée de vie dans l’atmosphère d’environ neuf ans seulement, les chercheurs estiment qu’une réduction des émissions humaines de méthane pourrait avoir un impact rapide sur les concentrations atmosphériques de ce gaz à effet de serre.
La direction de la recherche,
des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) des ministères sociaux
et l’Inserm lancent une enquête épidémiologique de grande ampleur : « EpiCOV ».
Il s’agit de connaître le statut immunitaire de la population pour guider la
décision publique. Cette enquête associe également d’autres acteurs de la
statistique et de la santé publique : l’Insee, Santé publique France, le CNRS,
l’Ined (Institut national d’études démographiques) et l’Université
Paris-Saclay.
L’étude va porter sur un échantillon représentatif de 200.000 personnes
volontaires. Il s’agit de fournir une cartographie du statut immunitaire
de la population et de sa dynamique, sur l’ensemble du territoire. Cela quantifiera
la part de personnes exposées et documentera les effets de l’épidémie sur les
conditions de vie. Les collectivités pourront avoir accès aux résultats les
concernant.
Une
équipe d’épidémiologistes de l’Ecole
des hautes études en santé publique (EHESP) ont simulés l’effet de l’épidémie
en France s’il n’y avait pas eu la mise en place du confinement. Ils ont estimé
l’impact durant un mois de cette mesure sur le nombre de décès évités qu’ils
chiffrent à 61 739 à l’hôpital seul…
Les
épidémiologistes estiment que près de 23 pour cent de l’ensemble de la
population, soit 14,8 millions de personnes, auraient été infectés par le virus
le 19 avril si le pays n’avait pas introduit les mesures strictes de
confinement un mois auparavant.
L’étude a estimé que les
mesures empêchaient environ 590 000 hospitalisations et plus de 140 000
admissions aux soins intensifs à travers le pays nécessitant plus de 100 000 lits de réanimation. Rien qu’en
Ile-de-France, plus de 30 000 lits auraient été nécessaires. Ce qui aurait submergé le système hospitalier en
quelques semaines.
Pascal Marichalar est chercheur au CNRS (Institut de recherche
interdisciplinaire sur les enjeux sociaux). Il étudie de manière sociologique
et historique les questions de santé, de travail, d’environnement et de
justice. Il vient de publier le 25 mars un article intitulé « Savoir et
prévoir – Première chronologie de l’émergence du Covid-19 » à
partir de la lecture attentive du journal « Science » et des
déclarations de l’OMS. Cet article va donner des précisions utiles à celles et
ceux qui font actuellement des recours contre le gouvernement.
Suite à l’augmentation scandaleuse des
droits d’inscription à l’université pour les étudiants étrangers, des
associations d’étudiants ont déposé une QPC (question prioritaire de
constitutionnalité) en estimant que cette augmentation violait le préambule de
la Constitution de 1946 qui fait partie du bloc constitutionnel.
Le 11 octobre 2019, le Conseil
constitutionnel leur donne raison sur le fond en rappelant « que l’exigence constitutionnelle de gratuité s’applique à l’enseignement
supérieur public. Cette exigence ne fait pas obstacle, pour ce degré d’enseignement,
à ce que des droits d’inscription modiques soient perçus en tenant compte, le
cas échéant, des capacités financières des étudiants. »
Autant on connaissait les atteintes à la santé de la pollution atmosphérique et leurs conséquences sur l’amplification des maladies respiratoires, cardio-vasculaires, notamment pour les plus fragiles, mais c’était moins connu que cela entrainerait aussi des troubles liés à l’atteinte du système nerveux.
Depuis quelques années, des publications scientifiques indiquent que les particules très fines PM 2,5 (inférieures à 2,5 microns de diamètre) pénètrent dans le cerveau et sont susceptible de créer des inflammations et entrainer des troubles psychologiques et des dépressions.
En 2017 des chercheurs chinois ont étudié l’impact de la pollution atmosphérique sur 24 000 individus, voilà ce que déclarait un des chercheurs à ce sujet :
« Des critères à la fois physiologiques et psychologiques peuvent expliquer ce lien entre la pollution atmosphérique et la maladie mentale. À court terme, la pollution de l’air cause plus de problèmes mentaux à travers des maux de tête, des irritations oculaires, des troubles de l’attention et de la fatigue. Sur le long terme, les particules fines pénétrant le cerveau sont susceptibles d’affecter directement les échanges neuronaux, la structure et les fonctions du cerveau. En plus de cela, certains polluants, comme le monoxyde de carbone, peuvent inhiber les capacités du corps à libérer de l’oxygène, et donc affecter la santé mentale »
La Fondation Sciences Citoyenne organise sa 11ème édition de « Sciences en bobines. »
Les savoirs scientifiques et techniques ne sont pas neutres. Ils sont construits par les hommes et sont soumis, comme toute création humaine, à des enjeux politiques, économiques et sociaux. Ainsi, ceux qui affirment que les sciences sont « naturellement » porteuses de bonheur et de progrès ne visent qu’à museler la critique et à conforter leur propre pouvoir. Les crises et les scandales sanitaires, écologiques, économiques et humanitaires qui se multiplient révèlent le visage d’une science soumise aux intérêts des lobbys industriels et financiers. La Fondation Sciences Citoyennes juge essentiel de mettre en évidence une autre approche : celle d’une recherche désireuse d’affronter les grands défis de nos sociétés, de dialoguer avec des savoirs autrefois dévalorisés et la parole de citoyens qui revendiquent leur droit à participer aux choix scientifiques et technologiques qui conditionnent leur avenir.
La Faculté de droit de Grenoble innove en organisant des débats ouverts sur des sujets d’actualité. A l’initiative de jeunes professeurs diverses réunions ont lieu soit en ville soit à la faculté.
Le Centre de Recherches Juridiques organise depuis plusieurs mois, des conférences-débat en ville sur des sujets d’actualité. La première séance avait pour thème les sondages politiques avec comme témoin R. Avrillier qui a mis en cause les sondages de l’Elysée. La deuxième conférence traitait de la métropolisation avec Eric Piolle et le 18 mars à 18 h 30 à la Maison du tourisme ce sera la présentation des élections départementales (sans témoin politique, vu la campagne en cours).
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