Samedi 30 Avril, ménage de printemps dans Grenoble. Une ville propre et agréable, c’est d’abord une ville dont on prend soin et qu’on ne salit pas ! Journée d’actions organisée par la Ville, pour l’embellissement de Grenoble, la « Belle Saison » est un événement construit et préparé avec les agents des services de la propreté urbaine et des espaces verts de la Ville de Grenoble, qui vont faire découvrir leur travail mené au quotidien pour rendre Grenoble propre et belle.
10h – 12h : Grand nettoyage de printemps dans tout Grenoble. Accompagnés des agents de la Ville, les Grenoblois sont invités à nettoyer une ou plusieurs rues de leurs quartiers. La Ville fournit les gants et les sacs. Points de départ : voir ici.
13h – 17h : Rencontres et animations – Place Victor Hugo. Avec au programme : revue des véhicules de service, atelier tri (avec Grenoble Alpes Métropole), démonstrations de plantations, jeux pour enfants, démonstrations de techniques de nettoyage…

Le contrat de concession datant de 1983 entre les communes et la CCIAG prendra fin le 30 juin 2018. C’est à la métropole de décider quelle va être l’organisation du service public du chauffage urbain après cette date.
Il aura fallu plus d’un mois pour trouver l’agent pathogène qui a pollué l’eau de Vif fin mars. Il s’agit d’un virus d’origine humaine, de type norovirus et non de l’exploitation agricole qui était d’abord visée. Ce sont donc des habitants qui avaient une gastro-entérite qui ont pollué le réseau dont la chloration était défectueuse. Il y a donc eu une défaillance technique du système de chloration mais il faudrait comprendre comment la pollution d’origine humaine a pu atteindre le réseau d’eau potable ? Il y a visiblement un défaut de protection des zones de captages, d’ailleurs des épisodes de pollution se sont déjà déclarés dans le passé. La question d’alimenter ces communes par l’eau de Rochefort est posée.
Alors qu’on pouvait espérer pour 2017 un relâchement de l’austérité imposée aux collectivités locales, c’est l’inverse qui pointe à l’horizon. Lors du Conseil des ministres du 13 avril 2016, le gouvernement prévoit de couper encore plus les crédits aux collectivités locales puisqu’il parle d’un milliard d’euros de plus que les 3,6 milliards prévus en 2017. Soit pour Grenoble cela pourrait conduire à une diminution de 7,5 M€ sur les dotations de 2017 par rapport à 2016 si cela est confirmé !!!
« Un accident nucléaire majeur comme ceux de Tchernobyl ou de Fukushima, ne peut être exclu nulle part dans le monde, y compris en Europe. » déclare le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) dans le Monde du 26 avril. Il ajoute : « Face à ces enjeux, l’ASN et son appui technique (IRSN) n’ont actuellement pas les ressources nécessaires pour assurer pleinement leurs missions de contrôle. Nous avons demandé au gouvernement 150 postes supplémentaires… Faute d’avoir obtenu ces moyens nous sommes contraints d’arbitrer entre nos priorités, en privilégiant les installations en activité par rapport à celles en construction. Cette situation n’est pas satisfaisante… Par principe, la culture de la sûreté nucléaire n’est jamais acquise. Je précise que ce sont les investigations demandées par l’ASN qui ont permis de découvrir des anomalies sur la cuve de l’EPR de Flamanville (Manche) forgée par Areva, ce qui montre que les contrôles internes n’ont pas fonctionné. »
– Surprenant ! Voilà l’opposition municipale de droite qui trouve qu’il n’y a pas assez de bio dans les cantines scolaires ! La mairie compte le nombre de composantes bio par rapport au nombre total de composantes d’un repas pour annoncer qu’il y a 50 % de bio dans les cantines. La droite estime qu’il y a moins de 50 % de repas bio donc accuse de mensonge la mairie, mais ce qui compte au final, c’est bien la quantité de bio dans les assiettes. Que l’opposition se rassure la quantité de bio va continuer à progresser, c’est l’essentiel.
Depuis le 1er janvier 2015, c’est la métropole qui a la compétence sur l’élaboration des Plans Locaux d’Urbanisme des communes et sur le PLU intercommunal (PLUi). Elle a lancé l’élaboration du PLUi dont le PADD (Projet d’aménagement et de développement durable) devrait être débattu fin 2016. Pour faire participer les habitants de l’agglomération à cette élaboration, la Métro a mis en place
Le calendrier du travail sur l’avenir de l’Esplanade est maintenant précisé avec les différentes phases d’élaboration du projet avec l’aide du concepteur urbain HDZ qui a été retenu en décembre 2015. Cette équipe pluridisciplinaire rassemble des architectes, des urbanistes, des paysagistes, des sociologues et des ingénieurs. Ce qui est positif, c’est que HDZ élaborera divers scénarios d’aménagement, ce qui tranchera avec la méthode précédente où un seul projet tout ficelé avait été proposé.
Juste avant le redémarrage des négociations sur le TAFTA à New-York le 25 avril, une quarantaine de collectivités locales au niveau européen, dont Grenoble, ont signé une déclaration commune à Barcelone, le 21 avril. Elles demandent la suspension des négociations actuelles et une modification des mandats, afin qu’elles soient associées aux discussions. Après cette première rencontre à Barcelone, la ville de Grenoble s’est proposée pour accueillir les deuxièmes rencontres paneuropéennes sur ce sujet d’importance.