
A la Métro, il n’est pas politiquement viable qu’une large majorité politique de gauche, écologiste et citoyenne soit mise de coté au profit d’un conglomérat politique mêlant des voix du PS et apparentés aux voix d’En Marche, de la droite, des carignonesques et même de l’extrême-droite ! C’est le résultat du vote du 17 juillet obtenu par Ferrari pour se faire réélire.
L’assemblée délibérante de la métropole n’est pas une assemblée des 49 maires des communes, mais une assemblée d’élu-es dans chaque commune suivant à peu près leur poids démographique pour 19 communes et pour les 30 communes trop petites pour avoir une représentation à la proportionnelle, elles sont représentées par un élu qui n’est pas forcément le ou la maire. En général les représentant des grandes communes sont élus sur des critères politiques, ce qui est parfois moins vrai dans les petites communes.
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