 Communiqué du Rassemblement citoyen, écologique et solidaire au lendemain du 1er tour de scrutin qui appelle à la mobilisation pour faire battre la droite et l’extrême-droite :
Communiqué du Rassemblement citoyen, écologique et solidaire au lendemain du 1er tour de scrutin qui appelle à la mobilisation pour faire battre la droite et l’extrême-droite :
« Ce dimanche 6 décembre, la liste du Rassemblement citoyen écologique et solidaire a obtenu le résultat de 6,9 %. Ce résultat n’est pas à la hauteur de nos ambitions. Nous avons pâti d’un contexte politique national difficile, et d’un déficit d’exposition médiatique injuste, qui nous a handicapé dans la défense de notre projet et de nos idées.
Ce n’était toutefois qu’une étape dans la construction et l’amplification de notre Rassemblement, qui est amené à se poursuivre. Nous remercions toutes celles et tous ceux, candidats et militants, qui n’ont pas compté leur temps pour porter le projet et les idées du Rassemblement au cours des derniers mois. Nous pouvons être fiers de notre campagne innovante et dynamique.

 Une forte abstention
Une forte abstention L’INSEE a produit une statistique par commune et par catégorie socioprofessionnelle de l’équipement des ménages en voiture. Il s’agit des voitures à la disposition des habitants de la résidence principale à l’exception de celles à usage exclusivement professionnel.
L’INSEE a produit une statistique par commune et par catégorie socioprofessionnelle de l’équipement des ménages en voiture. Il s’agit des voitures à la disposition des habitants de la résidence principale à l’exception de celles à usage exclusivement professionnel. Lors du prochain conseil de la Métro du 18 décembre, sera adopté le nouvel avenant au contrat de concession entre la CCIAG et la Métro, qui reprend les contrats des six communes : Grenoble, Echirolles, Saint Martin d’Hères, Eybens, La Tronche, le Pont de Claix. Il a été présenté au comité des usagers du chauffage urbain.
Lors du prochain conseil de la Métro du 18 décembre, sera adopté le nouvel avenant au contrat de concession entre la CCIAG et la Métro, qui reprend les contrats des six communes : Grenoble, Echirolles, Saint Martin d’Hères, Eybens, La Tronche, le Pont de Claix. Il a été présenté au comité des usagers du chauffage urbain. Le président-directeur de l’ODTI (Observatoire sur les Discriminations et les Territoires Interculturels) vient d’adresser une lettre ouverte au préfet de l’Isère pour décrire la situation de la vie quotidienne d’une association chargée d’une mission de service public qu’elle ne va plus pouvoir assumer si l’Etat continue de faire tout et son contraire. L’ODTI est une résidence sociale et un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) ayant pour mission d’assurer l’accueil, le logement, l’accompagnement et l’insertion sociale de personnes migrantes, une mission de service public déléguée par l’Etat. Premier paradoxe, l’administration décide de lui confier des migrants et ensuite place ces mêmes migrants dans une situation administrative (OQTF Obligation de quitter le territoire français) ce qui les prive de ressources, de toutes aides publiques et de tous droits sociaux, y compris ceux de rester dans le CHRS. Seul l’Etat, en mobilisant ses forces de l’ordre a le droit d’exécuter de telles décisions mais comme il est généralement dans l’incapacité de le faire, il laisse toutes les difficultés et tous les risques à la charge de l’association et de ses personnels. Deuxième paradoxe, l’Etat s’en prend donc à des personnes avec qui l’ODTI a bâti de longue date des projets d’intégration ce qui va les rejeter dans la jungle métropolitaine, mais laisse libres comme l’air, les dealers et des mafieux qui occupent nuit et jour les locaux de l’ODTI et qui mettent en coupe réglée le quartier Très-Cloîtres depuis des années. Mieux vaut s’en prendre aux illégaux inoffensifs qu’aux illégaux nuisibles et transformer ainsi ces illégaux inoffensifs en illégaux nuisibles. Pour survivre et être tranquilles, ces personnes placées en OQTF n’ont qu’à se transformer… en dealers.
Le président-directeur de l’ODTI (Observatoire sur les Discriminations et les Territoires Interculturels) vient d’adresser une lettre ouverte au préfet de l’Isère pour décrire la situation de la vie quotidienne d’une association chargée d’une mission de service public qu’elle ne va plus pouvoir assumer si l’Etat continue de faire tout et son contraire. L’ODTI est une résidence sociale et un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) ayant pour mission d’assurer l’accueil, le logement, l’accompagnement et l’insertion sociale de personnes migrantes, une mission de service public déléguée par l’Etat. Premier paradoxe, l’administration décide de lui confier des migrants et ensuite place ces mêmes migrants dans une situation administrative (OQTF Obligation de quitter le territoire français) ce qui les prive de ressources, de toutes aides publiques et de tous droits sociaux, y compris ceux de rester dans le CHRS. Seul l’Etat, en mobilisant ses forces de l’ordre a le droit d’exécuter de telles décisions mais comme il est généralement dans l’incapacité de le faire, il laisse toutes les difficultés et tous les risques à la charge de l’association et de ses personnels. Deuxième paradoxe, l’Etat s’en prend donc à des personnes avec qui l’ODTI a bâti de longue date des projets d’intégration ce qui va les rejeter dans la jungle métropolitaine, mais laisse libres comme l’air, les dealers et des mafieux qui occupent nuit et jour les locaux de l’ODTI et qui mettent en coupe réglée le quartier Très-Cloîtres depuis des années. Mieux vaut s’en prendre aux illégaux inoffensifs qu’aux illégaux nuisibles et transformer ainsi ces illégaux inoffensifs en illégaux nuisibles. Pour survivre et être tranquilles, ces personnes placées en OQTF n’ont qu’à se transformer… en dealers. Face à la dégradation des conditions de vie des sans-abris dans l’agglomération des associations poussent un coup de gueule ! Voici leur communiqué :
Face à la dégradation des conditions de vie des sans-abris dans l’agglomération des associations poussent un coup de gueule ! Voici leur communiqué : Conformément à l’engagement de la majorité municipale (n° 48), les réflexions avancent au niveau de la ville et de la Métro. La ville de Grenoble est partenaire du plan d’action « Logistique urbaine durable« , lancé officiellement début 2015 (délibération en Conseil municipal), et qui vise à améliorer et faciliter les livraisons et expéditions de marchandises à l’échelle de la Métropole. Ce plan comprend 16 actions pour optimiser les flux de marchandises au sein de la métropole grenobloise : évolution de la réglementation des livraisons, amélioration de la desserte du centre-ville via un Centre de Distribution Urbaine (CDU), optimisation du fonctionnement des aires de livraison, création d’outils d’observation…
Conformément à l’engagement de la majorité municipale (n° 48), les réflexions avancent au niveau de la ville et de la Métro. La ville de Grenoble est partenaire du plan d’action « Logistique urbaine durable« , lancé officiellement début 2015 (délibération en Conseil municipal), et qui vise à améliorer et faciliter les livraisons et expéditions de marchandises à l’échelle de la Métropole. Ce plan comprend 16 actions pour optimiser les flux de marchandises au sein de la métropole grenobloise : évolution de la réglementation des livraisons, amélioration de la desserte du centre-ville via un Centre de Distribution Urbaine (CDU), optimisation du fonctionnement des aires de livraison, création d’outils d’observation…
 
 