En France il y a 7,3 millions d’immigrés (dont 2,5 millions qui sont naturalisés français) soit 10,7 % de la population totale et 5,6 millions d’étrangers (dont 0,8 millions nés en France) soit 8,2% de la population totale.
À Grenoble les chiffres pour le recensement de 2021 sont nettement supérieurs aux chiffres nationaux : 18,9% d’immigré-es et 14,5% d’étrangers.
Les nationalités les plus importantes à Grenoble : Algériens, Italiens, Marocains, Tunisiens, Portugais, Espagnols…
Les quartiers IRIS où la proportion d’immigré-es est la plus faible (moins de 10%) : Trois Cours, Ile Verte-Maréchal Randon, Préfecture, Eaux Claires-Painlevé.
Suivant l’article L 5211-6-1 du Code général des collectivités territoriales, ce sont les chiffres des populations municipales qui seront utilisés avant le 31 août 2025 par la préfecture de l’Isère pour arrêter la composition des conseils des EPCI de l’Isère.
Pour la métropole grenobloise, les 80 postes répartis à la proportionnelle à la plus forte moyenne vont faire apparaitre trois changements par rapport à la situation actuelle fondée sur les populations connues au 1er janvier 2019.
Grenoble dont la population a diminué perd 2 postes passant de 36 à 34 sièges ; ces deux postes sont attribués à Meylan et Saint Egrève qui passent de 3 à 4 sièges.
L’ADES est pour un changement du mode de scrutin pour l’élection au conseil de métropole, avec un scrutin de liste à la proportionnelle, ce qui permettrait une juste représentation des courants politiques et obligerait les listes à proposer un projet politique pour la gestion de la Métro. Mais ce ne sera pas le cas pour le prochain mandat.
Selon les chiffres du recensement de 2021, il y a 13,8% de chômeurs par rapport au nombre d’actifs de 15 à 64 ans, soit 10 527 personnes au chômage.
Parmi les chômeurs 17,8% sont sans diplôme ou CEP, ce qui est la même proportion parmi les actifs. Les titulaires du brevet des collèges ou DNB sont 15,2% des actifs parmi les chômeurs, alors qu’ils ne représentent que 3,6%. Il y a beaucoup moins d’offres d’emplois pour ce niveau de diplôme sur notre territoire.
Par contre les titulaires de CAP ou BEP sont moins impactés par le chômage.
Un simple bac ou brevet professionnel ne protège pas beaucoup contre le chômage.
A partir de bac + 2, la proportion d’actifs est supérieure celle des chômeurs.
L’activité professionnelle des personnes entre 15 ans et 64 ans est divisée en 6 catégories socioprofessionnelles dans les données du dernier recensement : Agriculteur ; Artisans, commerçants, chefs d’entreprise ; Cadres, professions intellectuelles supérieures ; Professions intermédiaires ; Employés ; Ouvriers. Les définitions plus précises de ces catégories sont précisées en fin d’article.
A Grenoble il n’y a que 20 personnes dont l’activité est l’agriculture, nous ne les avons pas mis dans les présentations qui suivent.
La grande différence entre Grenoble et la France métropolitaine, c’est le peu d’ouvriers et un grand nombre de professions intellectuelles supérieures.
Les passe-droits dans l’éducation nationale à Grenoble. La nouvelle préfète obtient pour son fils un passe-droit dans le collège le plus élitiste de Grenoble. Tout juste nommée préfète de l’Isère, Catherine Séguin a inscrit son fils à la Cité scolaire internationale de Grenoble. Sans passer les tests obligatoires pour intégrer cet établissement convoité. Au mépris des textes en vigueur, le rectorat assure que le procédé est « conforme à l’usage ». Voir article de Médiapart du 3 décembre 2024. Le 4 mars 2024, Marianne titrait : Gabriel Attal accusé d’être intervenu pour favoriser une enseignante… sœur d’une députée Renaissance. Déjà à la Cité internationale, un professeur d’espagnol a reçu l’ordre d’échanger une de ses classes avec une collègue, « sans aucune justification ». Cette dernière est la sœur d’une députée Renaissance proche de Gabriel Attal. Les syndicats enseignants dénoncent une décision qui ne serait pas passée par les services du rectorat, mais viendrait directement du ministère de l’Éducation nationale, au moment où l’actuel Premier ministre était encore en poste.
Regards croisés sur la précarité énergétique, exposition jusqu’au 15 décembre 2024 à l’Hôtel de ville de Grenoble. La précarité énergétique est souvent synonyme de charge mentale, d’isolement, de honte, mais c’est aussi la recherche de solutions, la débrouille, les stratégies, la ténacité. À travers cette exposition initiée par le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de la Ville de Grenoble, vous découvrirez des témoignages, des objets détournés, des quizz, des portraits et des drôles d’oiseaux. Une invitation à se saisir de notre pouvoir d’agir collectif, pour repenser ensemble les questions de précarité, d’accès à l’énergie et de maîtrise des consommations. Exposition ouverte du lundi au vendredi de 8h à 17h50 11, Boulevard Jean Pain.
L’INSEE dans ses recensements annuels présente, pour l’ensemble des personnes non scolarisées ayant 15 ans ou plus, leur répartition en fonction des diplômes obtenus. Les dernières données par quartiers IRIS sont celles du recensement de 2021.
L’Insee classe les populations de 15 ans ou plus non scolarisées en 7 catégories
titulaires d’aucun diplôme ou au plus un CEP
titulaires d’un BEPC, brevet des collèges, DNB (diplôme national du brevet)
titulaires d’un CAP, d’un BEP ou équivalent
titulaires d’un Baccalauréat, brevet professionnel ou équivalent
titulaires d’un diplôme de l’enseignement supérieur de niveau Bac + 2
titulaires d’un diplôme de l’enseignement supérieur de niveau Bac + 3 ou Bac + 4
titulaires d’un diplôme de l’enseignement supérieur de niveau Bac + 5 ou plus
La comparaison entre la ville de Grenoble et la France métropolitaine en 2021 montre qu’à Grenoble le nombre de personnes ayant le bac et plus atteint presque les deux tiers alors qu’au niveau national, c’est 50 %. A Grenoble il y a plus de 50% de bac +2 ou plus.
Analyse des besoins sociaux 2023 : observer la population grenobloise. À Grenoble, l’analyse des besoins sociaux est réalisée par la Mission Observation sociale de la Ville et du CCAS de Grenoble. Le document constitue un outil partagé de connaissance sur la population grenobloise, à l’échelle de la collectivité mais également de ses partenaires et de ses habitant-es. Ce document très riche donne de très nombreux renseignements sur la population et ses évolutions ainsi que sur les populations en difficultés sociales, notamment les familles monoparentales.
Lancement de la saison de plantations 2024-2025 à Grenoble. Présentation de la stratégie de végétalisation de la Ville de Grenoble. Bilan chiffré du patrimoine arboré pour l’année 2023 : 40317 arbres font partie du patrimoine arboré grenoblois dont 31 899 arbres individuels et 8418 arbres en bosquets boisés ; saison 2023/2024 : plantation de 1004 arbres individuels et 1535 jeunes arbres en bosquet boisé, soit 2539 arbres au total ; sur les 3 dernières années : plantation de 2652 arbres individuels et de 13 348 jeunes arbres en bosquets boisés, soit 16 000 arbres : en 2023 : 1449 interventions de soin aux arbres ont été effectuées dont 297 interventions d’abattage sur des arbres morts ; le renforcement de la vigilance apportée aux arbres se traduit par une hausse de 38 % du nombre d’arbres diagnostiqués par des expert-es indépendant-es en 2023 (8640 arbres diagnostiqués en 2023 contre 6252 arbres en 2022) ; 900 nouvelles protections du patrimoine végétal figurent au PLUI…
France, portrait social Édition 2024. Cet ouvrage, réalisé par l’INSEE, rassemble trois analyses des discriminations ressenties et vécues par différents groupes de personnes. Par ailleurs, deux dossiers analysent le niveau de vie des ménages en 2023, année encore marquée par une forte inflation. Enfin, une quarantaine de fiches synthétiques dressent le panorama social de la France.
En 2021, la moitié des résidences principales à Grenoble dataient d’avant 1970. L’autre moitié a donc moins de 50 ans. Grenoble a vu une expansion très rapide après la deuxième guerre mondiale jusqu’en 1990.
Il y a eu autant de constructions en 19 ans entre 1971 et 1990 qu’entre 30 ans entre 1991 et 2021.
Il y a peut-être un biais dans cette présentation des chiffres depuis 2006 des seules résidences principales, puisqu’environ 10 000 résidences principales se sont transformées en résidences secondaires ou en logements vacants, et nous ignorons si elles sont sorties du dénombrement de résidences principales dans cette étude.
L’INSEE produit chaque année de nombreux renseignements issus du recensement annuel sur les caractéristiques des logements par quartiers IRIS dans de nombreuses villes.
Nous choisissons d’évoquer le nombre total de logements au 1er janvier 2021, le taux de résidences principales, le taux de résidences secondaires (et des logements occasionnels), le taux de logements vacants, le taux de propriétaires habitants leur résidence principale, le taux de locataires de résidence principale et le taux de locataires HLM (attention à ne pas comparer avec le taux SRU de logements sociaux).
Alors qu’il y avait la même population en 2006 qu’en 2021, il y a 15 300 logements de plus en 15 ans, mais seulement 4800 résidences principales de plus, 3400 résidences secondaires de plus et 7100 logements vacants de plus.
En 2006 il y avait en moyenne 2,03 personnes par habitation principale, en 2021 c’est seulement 1,91.
Le taux de propriétaires occupants n’a reculé que de 0,5 point.
En 15 ans il y a eu une diminution notable (21%) du nombre de voiture détenu par les ménages grenoblois, soit 13 800 voitures en moins. L’augmentation du nombre de parkings privés est aussi significative, environ 4 000 places de parkings privés de plus. On peut donc estimer qu’il y a eu de très nombreuses places de parkings sur voiries non utilisées par les ménages grenoblois depuis 15 ans.
Les quartiers IRIS dont les ménages ont le moins de parkings privés (moins de 25%) : Cours Berriat, Gabriel Péri, Jean Jaurès, Grenette, Saint André, Notre Dame (6,1%), Génissieu, Hoche, Mistral, Alpins, Teisseire, Les Trembles, Arlequin, Village Olympique Nord et Sud.
Là où il y en a le plus (plus de 55%) : Drac-Ampère, Eaux Claires-Painlevé, Reyniès, Beauvert, Poterne, La Bruyère, Helbronner (76,7%), Vigny-Musset.
A Grenoble, en 15 ans il n’y a pas eu de bouleversement dans le nombre et la structure de la population en fonction des âges, c’est ce qui ressort de la comparaison dans la pyramide des âges entre 2006 et 2021.
Par contre l’analyse par quartiers IRIS montre des évolutions très importantes de la population dans certains quartiers dues aux différentes opérations de constructions notamment dans de grandes ZAC.
Grenoble
Habitants
0-14 ans
15-29 ans
30-44 ans
45-59 ans
60-74 ans
75 ans ou plus
2006
156107
13,92%
32,62%
19,01%
15,42%
10,85%
8,17%
2021
157477
15,00%
30,80%
19,90%
14,60%
11,50%
8,20%
Dans le tableau suivant sont présentés le nombre d’habitants fourni par le recensement de 2021, la structure par âge de la population 2021, l’âge moyen du quartier et l’évolution de la population de 2021 par rapport à celle de 2006.
Le revenu disponible est le revenu à la disposition du ménage pour consommer et épargner. Il comprend les revenus d’activité, indemnités de chômage, retraites et pensions, revenus fonciers, les revenus financiers et les prestations sociales reçues (prestations familiales, minima sociaux et prestations logements). Au total de ces ressources, on déduit les impôts directs et les prélèvements sociaux (CSG et CRDS)
Les revenus sont présentés par Unité de Consommation (UC).
Pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage ; 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus ; 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans.
Le taux de pauvreté correspond à la part de la population dont le niveau de vie est inférieur au seuil de 60% du niveau de vie médian de France métropolitaine (23 080 € en 2021). Soit 13 848 € pour le seuil à 60 % ou 1154 € mensuel.
Le terme de « populations légales » regroupe pour chaque commune sa population municipale, sa population comptée à part et sa population totale qui est la somme des deux précédentes.
La population municipale est celle qui est utilisée à des fins statistiques ; la population totale est la plus souvent utilisée pour l’application de dispositions législatives ou réglementaires.
Voir plus bas les définitions de ces deux populations légales.
Pour chaque commune, l’INSEE fait la comparaison entre les années 2010, 2015 et 2021. Le décalage de 6 ans entre 2021 et 2015 s’explique du fait de la crise sanitaire de la Covid-19, l’enquête annuelle de recensement qui devait se tenir en 2021 a été reportée en 2022.
L’INSEE donne les chiffres pour l’année 2020 pour les actifs de 15 à 64 ans dans les quartiers IRIS et par six catégories professionnelles : Agriculteurs exploitants ; Artisans, Commerçants, Chefs d’entreprises ; Cadres et Professions intellectuelles supérieures ; Professions intermédiaires ; Employés ; Ouvriers.
A Grenoble il y a très peu d’agriculteurs exploitants (24 soit 0,03%) nous ne donnons pas leur répartition dans les quartiers IRIS.
Pour obtenir le détail des définitions des 6 catégories professionnelles : La PCS 2020 | Insee
La particularité de Grenoble est la très forte présence des Cadres et Professions intellectuelles supérieures et la minoration des employé.e.s et des ouvriers par rapport à la situation de la Métro et encore plus de la France.
Grenoble est en tête pour les déplacements domicile/travail en vélo. En 2020 18,7 % des déplacements domicile travail qui ont été réalisés en vélo, la voiture utilisée par seulement 36% des grenoblois et les transports en commun 28 %.
L’évolution depuis 2014 montre la forte pénétration du vélo, la diminution de la voiture mais la stagnation des transports en commun.
Pas de transport
Marche à pied
Deux roues
Voiture
Transport en commun)
Grenoble 2014
2,7%
14,3%
15,0%
39,9%
28,1%
Grenoble 2020
3,2%
13,3%
19,4%
36,1%
27,9%
Noter que 57 % des actifs grenoblois travaillent à Grenoble et pour le reste essentiellement dans d’autres communes de l’Isère.
L’INSEE recommande de comparer les données issues des référendums tous les 5 ans et non année après année. Mais en raison de perturbations dues au Covid, l’INSEE a demandé de retenir 2009, 2014 et 2020 pour les comparaisons.
Alors que la population de Grenoble évolue assez peu, il y a par contre des évolutions importantes dans de nombreux quartiers.
Entre 2009 et 2014 : les quartiers qui ont augmenté leur population de plus de 10 % : Jean Macé, Lustucru, Ile Verte Saint Roch, Aigle, Championnet, Drac-Ampère, Eaux Claires-Painlevé, Peretto, Alpins, Valmy, Jeanne d’Arc, Jouhaux, Paul Cocat, Teisseire, Vigny-Musset.
Les quartiers qui ont diminué de population de plus de 10 % : Esplanade, Grenette, Mistral, Reyniès, Poterne, Malherbe, Les Trembles, Baladins, Village Olympique Sud.
Entre 2014 et 2020 : les quartiers qui ont augmenté de population de plus de 10 % : Jean Macé, Esplanade, Préfecture, Gustave Rivet, Reyniès, Beauvert, Village Olympique Sud.
Les quartiers qui ont diminué de population de plus de 10 % : Gare, Lustucru, Saint Laurent-Lavalette, Jean Jaurès, Hubert Mutualité, Clinique Mutualiste, Mistral, Abry, Alpins, Les Trembles, Arlequin.
Les demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) sont les personnes inscrites à Pôle Emploi et qui ont une demande en cours au dernier jour du mois. Ces demandeurs sont enregistrés à Pôle Emploi dans différentes catégories de demandes d’emploi en fonction de leur disponibilité, du type de contrat recherché et de la quotité de temps de travail souhaitée
L’INSEE vient de publier des données au 31 décembre 2022 concernant les demandeurs d’emploi en fin de mois par quartiers IRIS.
Pour comparer la situation entre les différents quartiers, le taux de demandeur d’emploi est calculé par rapport à la population des 15 à 64 ans de chaque quartier (source : le dernier recensement).
Dans la liste des quartiers, il manque les données pour le quartier « Trois Cours » n°208, ce qui semble être une habitude.
Rappel de la définition des 5 catégories de demandeurs d’emploi (INSEE) :
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) et l’Insee, ont mis à jour les indicateurs sociaux départementaux (ISD). Les ISD désignent un ensemble d’environ 50 indicateurs, et de nombreux sous-indicateurs, déclinés au niveau départemental, régional et national, et en série chronologique quand cela est possible.
Par exemple on apprend que le département de l’Isère (majorité bien à droite) fait partie des 25 % des départements qui dépensent le moins en dépenses totales par habitant pour les aides sociales départementales. L’Isère dépense seulement 547 €/h alors que pour la France métropolitaine c’est 621 €/h et le premier quartile (les 25% des départements les moins dépensiers) est en dessous de 562 €/h.
Il manque presque 100 millions d’euros dans le budget social du département pour être dans la moyenne des départements !
l’ensemble des logements, conventionnés ou non, des bailleurs des catégories suivantes : Organisme public de l’habitat (OPH), Entreprise sociale pour l’habitat (ESH) ou associations agréées ;
les logements conventionnés des Sociétés d’économie mixte (SEM) agréées
Le logement conventionné est un logement ayant fait l’objet d’une convention entre l’État et le propriétaire bailleur du logement. Cette convention donne droit à l’aide personnalisée au logement (APL) pour les locataires qui remplissent les conditions d’octroi.
Selon l’INSEE, à Grenoble au 1er janvier 2021, il y avait 17 471 logements dans le parc locatif social avec 527 constructions en 2021. Le taux de vacance est très faible 3,2% et le taux de vacance à 3 mois de seulement 1,7%. Les bailleurs font particulièrement attention à la vacance notamment à cause de son coût financier. Le taux de rotation est de 7,2 %.
Sur le territoire de la métropole, on compte 42920 logements dans le parc locatif social et 1438 logements mis en service en 2021.Le taux de vacance est de 3%, le taux de vacance à 3 mois de 1,5% et le taux de rotation de 8,1%.
Pour comparer les niveaux de vie des ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu du ménage par le nombre d’unités de consommation (UC) : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus et 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans.
Le revenu déclaré (ou revenu fiscal) du ménage est constitué des ressources mentionnées sur la déclaration des revenus n°2042. Il comprend les revenus d’activité salariée ou non salariée, les indemnités de chômage, de maladie, les pensions d’invalidité ou de retraite ainsi qu’une partie des revenus du patrimoine. Il s’agit du revenu avant déductions et abattements accordés par la législation fiscale. Ces revenus sont nets de cotisations sociales et de la contribution sociale généralisée (CSG) déductible.