Quelques personnes nous ont signalé qu’elles n’appréciaient pas le fait de recevoir notre bulletin sans qu’on ne leur ait demandé leur accord, nous nous en excusons. En effet nous faisons de temps en temps des campagnes de promotion avec des adresses trouvées dans des messages reçus ou transmises par des contacts ou trouvées sur des sites internet, notamment pour des associations ou des entreprises. Notre liste d’envoi contient un peu plus de 4000 adresses mel, mais sans aucun nom ou aucune autre information, notamment comment ou quand elle a été obtenue. Il est très facile de se désabonner en le demandant par mail à contact@ades-grenoble.org .
Archives pour le mot-clef ‘Le Rouge & le Vert’
Note aux lecteurs
Le Rouge & le Vert Hebdo : numéro 150 !
Chers lecteurs et lectrices fidèles, vous avez sous les yeux le 150ème numéro de votre « feuille de chou » préférée Rouge et Verte, pour reprendre le qualificatif un brin méprisant de certains élus de la majorité municipale. Cette semaine comme d’habitude, il y en a pour tous les goûts avec cependant une particularité puisque c’est la semaine du « Bon » goût.
C’est finalement une très bonne idée d’avoir assimilé ce journal sans prétention à une « feuille de chou ». Alors que nous sommes en pleine semaine du goût, de l’alimentation équilibrée et saine, nous allons vanter les bienfaits de ce chou, légume parfois méprisé, mais oh ! Combien bénéfique pour la santé qu’il soit rouge ou vert. D’ailleurs la restauration scolaire ne s’y est pas trompée qui propose cette semaine un « duo de choux »
Pour ceux qui ont la mémoire courte et qui manquent d’humour
L’ADES a décidé il y a un quart de siècle de se doter d’un périodique local pour soutenir ses actions et celles des éluEs écologistes à la ville de Grenoble. En clin d’œil à Stendhal, né le 23 janvier 1783 à Grenoble, auteur du roman « Le Rouge et le Noir » (1830) dont le sous-titre est « Chroniques du XIXe siècle », et qui porte en épigraphe « « La vérité, l’âpre vérité. DANTON », nous avons choisi comme titre de notre périodique grenoblois : « Le Rouge et le Vert ».
Le personnage du roman de Stendhal, Julien Sorel, est condamné à la guillotine, notamment à cause d’un discours provocant dénonçant les castes et l’ordre établi, plus que pour la tentative d’assassinat pour laquelle il est jugé.
« Le Rouge et le Vert » poursuit sa vie, dans l’opposition à la politique municipale actuelle et milite pour un renouveau citoyen de l’action publique à Grenoble.
Le Rouge & le Vert : le centième numéro de l’hebdo !
En mars 2010, le bimestriel le Rouge & le Vert papier fait sa mue pour donner une lettre électronique hebdomadaire. Voici donc le 100ème numéro d’un hebdo qu’à chaque parution beaucoup attendent avec impatience et que certains redoutent. Son contenu ne figure pas dans la presse locale, le plus souvent sous influence. Une information, des faits, avec notre point de vue, notre opinion subjective totalement assumée et revendiquée à travers le tryptique qui fonde l’ADES : la Démocratie, l’Ecologie et la Solidarité….
Pour fêter ce 100ème numéro, notre illustrateur préféré Cled’12 nous a gratifié d’un dessin couleur, avec l’humour qui convient pour marquer clairement notre place dans la vie politique locale.
Votre fidélité critique est pour nous un encouragement à poursuivre. Merci pour votre soutien quelle qu’en soit la forme.
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Dessin Cled12, tous droits réservés
Le Rouge & le Vert n°117
avril – juin 2010
Téléchargez le n° en PDF (880 Ko)
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Edito
L’augmentation des impôts locaux en 2009 n’était pas nécessaire
Economie
Pour autre politique économique
Politique
La cuisine de la majorité « gauche-droite »
Déplacements
Attention, la rocade Nord n’est pas morte !
Le Rouge & le Vert n° 116
janvier-mars 2010
Lisez le n° en PDF (650 Ko)
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Edito
Pour une politique concrète écologiste et de gauche
Conseil d’amis…
La droite de plus en plus présente dans la majorité municipale
Dossier
Grenoble, un budget 2010 de droite
Humeur
Destot / Dubedout : conséquences d’une succession impossible
Urbanisme
Projet Esplanade, pourquoi aller si vite ?
Le Rouge & le Vert n° 115
Octobre – décembre 2009
Lisez le n° en PDF (820 Ko)
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Dossier spécial fiscalité locale
Une autre politique budgétaire est souhaitable et possible à Grenoble
Budget 2010 alternatif : la ville que nous voulons
Encore une augmentation de la TEOM en 2010
États généraux et généreux des associations
Hausse des impôts et baisse des services !
En début d’année, la majorité a tenu 6 réunions publiques dans les 6 secteurs de la ville sur le budget 2009, préalablement voté en décembre 2008 : comme d’habitude, on ne discute des choses importantes qu’après la décision.
S’étant fait élire sur la ligne « je n’augmenterai pas les impôts », le maire aurait pu avoir la décence d’expliquer avant le vote du budget pourquoi il avait subitement changé d’avis. Ce serait donc à cause de la crise et du désengagement de l’Etat qu’il faudrait augmenter violemment les impôts locaux et, même si ces derniers sont très injustes, ce serait pour le bien de tout le monde. Et de nous expliquer que la Ville, avec ses petits bras, va maintenir un fort investissement en soutien à l’activité locale.
En fait les écologistes avaient proposé un contre budget sans augmentation des taux d’impôts qui ne diminuait l’investissement productif d’emploi local qu’à la marge.
L’investissement public local (Ville + satellites) atteignant 180 M€, ce n’est pas une variation de 1% à 2% sur cette somme qui perturbera la réalité économique locale.
Quant au désengagement de l’Etat qui se poursuit depuis des années, il est chiffré par la majorité à 4,5 M€ entre 2008 et 2009. Or il s’agit d’une estimation inexacte : le désengagement de l’Etat a surtout été fort entre 2007 et 2008 (3,4 M€) ; il est presque nul entre 2008 et 2009 (environ 0,5 M€).
Conclusion : maintenant que la plupart des chiffres sont connus, il n’y a aucune justification pour faire supporter aux Grenoblois une augmentation de leurs impôts en 2009 et par temps de crise. En fait et cela a été clairement exposé, ce choix est fait pour la durée du mandat, c’est-à-dire que pendant cette période les contribuables vont avec alimenter la cagnotte du maire ; dès cette année 2009, la Ville se constitue de confortables économies ; et pourtant elle réduit les subventions à de nombreuses associations, diminue certains services de proximité importants (bibliothèques, culture…), etc.
Notre refus de voir augmenter les taux vient du fait que nous savons que le maire gaspille l’argent, et que plus on lui en donnera plus il le jettera par les fenêtres (voir les Jeux de neige, fin 2008, au parc Paul Mistral). Durant 13 ans, de 1995 à 2008, la gestion financière de la ville a été sérieuse et a permi de ne pas augmenter les taux des impôts ; maintenant les gaspillages sont repartis, les Grenoblois vont souffrir durement avec la nouvelle majorité.
Le Rouge & le Vert n°109 : jeu de l’été
Parmi les délégations à la mairie de Grenoble, une seule existe réellement dans la liste ci-dessous, laquelle ?
Répondez en laissant un commentaire !
Vous avez d’autres idées de vraies-fausses délégations : laissez un commentaire !
Lisez Le Rouge & le Vert n° 109
- Finances, contrôle de gestion, prévention, sécurité et caméras de surveillance.
- Limitation de personnel, questure.
- Urbanisme et décroissance sylvicole soutenable
- Politiques intergénérationnelles, personnes âgées et bureaux de vote.
- Patrimoine municipal et braderie au privé.
- Animation et repas dansants.
- Habitat et expulsions.
- Economie, université, recherche, Minatec, nanotechnologies, Giant et économie solidaire.
- Développement durable et jeux Olympiques.
- Santé et infrastructures routières.
- Action sociale , CCAS et restos du coeur.
- Insertion, formation professionnelle et radiation des fichiers ANPE.
- Education et base élèves.
- Tourisme et reconduite aux frontières.
- Sports et paillettes.
- Culture intermittente et GF38.
- Démocratie locale et propagande.
- Europe et cause identitaire.
- Jeunesse et fichage génétique.
- Administration générale et foutoir organisé.
Le Rouge & le Vert n°109
Avril – juin 2008
RV 109 –
Comme tout magazine que se respecte, nous vous proposons le jeu de l’été !
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Dossier Crolles 3
détail de l’article paru dans Le Rouge & le Vert n°109
Rappel historique
L’histoire de l’économie grenobloise est marquée par le fameux triptyque « Université recherche industrie ». L’ordre des termes n’est pas quelconque :
C’est abord la formation universitaire qui irrigue la recherche publique, en premier lieu la recherche académique (fondamentale et appliquée) et ce dans tous les domaines. La diversité des thématiques de recherche a toujours été une caractéristique de la région grenobloise, même si certaines disciplines se sont plus développées que d’autres (exemple la physique avec les grands instruments européens). Grenoble a été en pointe pour les transferts de technologies de la recherche vers l’industrie. Les collectivités locales se sont contentées jusqu’aux années 2000 de permettre le développement des université et l’implantation des laboratoires. L’Etat pilotait la formation et la recherche amont en apportant d’importants crédits de fonctionnement et d’équipement. Grenoble a su, mieux que d’autres agglomérations attirer les financements publics par l’implantation de l’ILL puis de l’ESRF.
La présence du CEA et de son évolution (dénucléarisation) avec le développement du LETI a accéléré les potentialités de R et D dans certains secteurs, notamment la microélectronique.
La rupture
Le financement par les collectivités locales, de Minatec a présenté une rupture avec ce modèle grenoblois. Pour la 1ère fois, les collectivités se sont substituées à l’Etat pour financer massivement des constructions de laboratoires et même une entreprise de location de salles blanches (SEM Minatec).
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