Archives pour le mot-clef ‘Municipales 2020’

Politique politicienne

Publié le 1 février 2020

La liste menée par O. Noblecourt est un raccourci local du « en même temps » macronien gauche-droite. On y trouve des « en marche » patentés, des militants de gauche et de vrais représentants de la droite locale comme M. De Longevialle. C’est un remake de la liste qui a géré la ville de 2008 à 2014 avec le succès que l’on connait. En 2008, la liste « écologie et solidarité » conduite par Maryvonne Boileau avait évidemment refusé une quelconque fusion au deuxième tour avec un tel attelage. Cette situation se reproduira à l’identique en 2020, une fusion entre la liste « Grenoble en commun » avec la liste de O. Noblecourt est impensable, c’est une question de simple clarté politique. De plus, le programme de cette liste est irréaliste car non finançable : il y a forte augmentation des dépenses de fonctionnement mais pas des recettes…

Rappel de quelques caractéristiques de la carrière politique de M. De Longevialle.  Il a bourlingué depuis le cabinet de l’ancien maire corrompu, puis élu à Meylan avec l’UMP, puis au Modem avant d’en être exclu pour avoir usurpé l’identité d’un conseiller général du Rhône pour tenter de déstabiliser la campagne du Modem aux élections régionales de 2010 car il n’avait pas été choisi comme tête de liste Modem dans l’Isère. Adjoint à l’immobilier (entre 2008 et 2014) il a bétonné la ville comme jamais. C’est un anti-écologiste patenté, c’est pour cela qu’il avait été choisi par M. Destot en 2008 dans sa liste gauche-droite. Il est gérant d’une petite boite dans l’immobilier et en 2018 il a créé une annexe de cette entreprise à Grenoble pour pouvoir se représenter aux élections municipales de 2020 car il habite en Savoie en fait. Du point de vue déontologique il y aurait beaucoup à dire, par exemple il s’est permis de signer des permis de construire après l’élection de la nouvelle majorité, mais avant que le nouveau maire soit élu, pour signer en urgence des permis pour des opérations contestés par la nouvelle majorité.

On apprend aussi pourquoi M. Lévy a choisi la liste Noblecourt, car ce dernier « connait les hautes sphères de l’Etat, ses mécanismes et il saura porter les projets de Grenoble au plus haut niveau pour les faire aboutir ».  Voilà qui va rassurer Macron et ses partisans sur les choix qui seraient faits par la municipalité qu’il souhaite !


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La campagne de « Grenoble en commun » avec Eric Piolle

Publié le 24 janvier 2020

L’équipe de « Grenoble en commun » avec Eric Piolle propose chaque semaine un nouveau défi pour accélérer les transitions nécessaires pour que notre ville reste vivable pour toutes et tous malgré le changement climatique et les politiques ultralibérales à l’œuvre qui visent à détruire les acquis sociaux, notre système de santé, de solidarité entre les générations et la décentralisation. Jamais un gouvernement n’avait été aussi brutal. C’est pourquoi Grenoble en commun propose de relever le défi qui consiste à « Garantir toutes les sécurités » : sécurités sociales, des personnes et tranquillité publique, sécurité routière et des mobilités, sécurité alimentaire et sanitaire.

En résumé :

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Élections municipales : mieux comprendre qui sont les candidats et leurs projets

Publié le 24 janvier 2020
©Ville de Grenoble

Pour savoir si des candidat-es sont sérieux ou pas, il faut examiner comment ils prennent en compte les contraintes qui s’imposent à la gestion de la ville et de la métropole.

Evidemment le maire sortant Eric Piolle et sa nouvelle équipe « Grenoble en commun » sont totalement au fait de ces contraintes qu’ils subissent tous les jours depuis 6 ans, notamment l’obligation pour la ville et la Métro de limiter l’augmentation des dépenses de fonctionnement à 1,2% par an (au moins jusqu’en 2022) soit moins que l’inflation. En plus : ne pas augmenter la dette et avoir une épargne suffisante pour que la capacité de désendettement soit inférieure à 12 ans. Ceci impose que chaque année des économies en fonctionnement soient faites. Donc toute nouvelle dépense doit impliquer obligatoirement une économie au moins équivalente dans les dépenses de fonctionnement. L’équipe actuelle a démontré sa capacité de gérer avec parcimonie l’argent public : baisse des indemnités des élus, économies importantes dans le fonctionnement de la machine municipale et maitrise de la dette et tout cela sans augmenter les taux des impôts locaux (c’est la première équipe qui ne l’a pas fait depuis au moins 50 ans). Les propositions faites sont prudentes et qualitatives et sont dans la continuité de la gestion actuelle.

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Manifeste d’associations socio-culturelles de Grenoble

Publié le 24 janvier 2020

Un certain nombre d’associations grenobloises du secteur socioculturel ont présentés le 22 janvier à la presse un manifeste collectif pour « dresser un bilan non exhaustif de leurs actions, de leurs difficultés et des propositions pour améliorer leur impact, leurs conditions de travail et la relation partenariale avec la Ville ». Ce manifeste s’adresse aux candidats à l’élection municipale de 2020 à Grenoble.

Toute démarche collective visant à faire un diagnostic sur des réalités de travail de terrain de ce type d’associations est positif même si ce bilan est très incomplet en ne traitant dans le détail que des relations avec la ville et n’analysant pas les progrès possibles dans le fonctionnement interne de ces associations ou leur situation par rapport à des politiques nationales très défavorables depuis des années, notamment par la suppression des contrats aidés qui étaient un apport significatif pour ces associations, car 35 emplois aidés du secteur ont été supprimés en 2017 par Macron. 

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Politique politicienne

Publié le 24 janvier 2020

Un colistier de Mme Chalas, spécialiste de la sécurité, à l’issue d’une conférence de presse sur ce thème a cherché à intimider un journaliste du Dauphiné Libéré, avant de le poursuivre dans la rue et de le menacer physiquement en l’apostrophant « frappe le premier et tu verras bien ce qu’il t’arrivera ensuite » et ceci en présence d’un autre journaliste. La conception de la sécurité des biens et des personnes est très relative dans la liste macroniste. En politique ce sont les actes qui comptent et Mme Chalas n’a pas indiqué qu’elle rayait cette personne de sa liste, elle lui garde donc sa confiance. Ça craint !


La « macronie » est présente avec deux listes à l’élection municipale de Grenoble, la liste officielle de Mme Chalas et la liste officieuse de Noblecourt. Ce dernier fait tout pour brouiller les pistes comme l’avait fait Macron en 2017 pour l’élection présidentielle en se présentant comme un renouveau à gauche et surtout en ne disant rien sur la politique gouvernementale pourtant très négative pour les collectivités. Noblecourt n’a pas démissionné de son poste de membre de l’équipe gouvernementale, il s’est simplement mis en congé et a proposé lui-même la personne qui assure l’intérim de sa fonction. La lettre qu’il a envoyé à Macron le 6 janvier 2020 est un modèle du genre puisqu’elle rappelle que c’était lui qui définissait la politique anti-pauvreté du gouvernement (qui n’a pas démontré une grande efficacité) et elle se termine par : « Je ne doute pas que nos engagements respectifs permettront à l’avenir d’autres rencontres et d’autres combats communs contre la pauvreté ». Il fait une offre de service pour après le 22 mars, car il entend poursuivre son compagnonnage avec Macron.


Attention, à l’arnaque ! L’ancien maire corrompu (Carignon) veut « inventer la démocratie sociale à Grenoble » !!! Encore une opération de pure communication pour faire oublier qu’il est bien de droite (il est adhérent aux Républicains, ami de Sarkozy et de Zemmour). Chaque fois qu’il s’est intéressé au social durant ses mandats de maire (1983-1995) ça a été la catastrophe. Il suffit de se reporter à l’ouvrage de Raymond Avrillier et Philippe Descamps (http://www.lesystemecarignon.fr/) et découvrir deux dossiers sulfureux qui montrent les limites de la politique sociale du corrompu : le logement social où le bailleur de la ville (OPALE ancêtre d’ACTIS) a failli mourir financièrement (pages 413 à 432) et l’affaire de l’Animation sociale grenobloise (pages 435 à 455).

Campagne municipale : « Grenoble en commun » avec Eric Piolle

Publié le 17 janvier 2020

Chaque semaine, la liste « Grenoble en commun » relève un défi pour accélérer les nécessaires transitions sociétales, environnementales et sociales pour que la ville et l’agglomération soient vivables pour toutes et tous.

Il y a eu les défis contre les violences sexistes et sexuelles ; pour la gratuité (totale ou partielle) des mobilités en commençant par la gratuité des transports en commun les week-ends ; pour des écoles où il fait bon vivre et préparées au changement climatique ; pour une politique du logement plus solidaire et plus régulée, notamment par le développement du logement social qui est durement attaqué par la politique de Macron. Pour les détails lire ici.

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Politique politicienne

Publié le 17 janvier 2020

Ça y est, ça devait arriver, A. Carignon se met à dérailler ; grisé par la campagne électorale il promet tout et n’importe quoi. Il propose que Grenoble organise des Jeux Olympiques d’été !!! C’est juste quelques milliards d’euros, mais pour un corrompu l’argent ne compte pas ! Mais ce n’est pas tout : il veut aussi lancer une exposition universelle de l’intelligence artificielle et un grand parc naturel international de Monaco à la Slovénie qui ferait de Grenoble la capitale des Alpes internationales. Qu’est-ce qu’il va encore inventer pour faire parler de lui et détourner l’attention sur ses pratiques politiques des plus douteuses ? Et E. Chalas qui trouve qu’il est brillant et qu’il a beaucoup fait pour la ville, démontrant par là qu’elle ne connait pas ce qui s’est passé durant le mandat du maire corrompu, qui a cassé les services publics et surendetté la ville : c’est grave pour quelqu’un qui voudrait gérer la ville.


Maintenant c’est la mode pour certains candidats aux élections de camoufler leur appartenance. Pour l’élection municipale il est nécessaire de rappeler les appartenances partisanes ou les compagnonnages des candidat-es qui veulent remplacer le maire actuel, puisqu’ils se camouflent toutes et tous en gommant leurs vraies appartenances. M. D’Ornano est d’extrême droite (ancienne du FN et adhérente des Patriotes) ; E. Chalas est adhérente et députée du parti « En marche » de Macron ; A. Carignon est adhérent et un responsable du parti « Les Républicains » ; O. Noblecourt est un compagnon de route (qui essaye de s’en cacher) de Macron après avoir été adhérent du PS et qui a réussi à vendre au PS qu’il est encore de gauche.

Vœux de l’ADES pour 2020

Publié le 10 janvier 2020

L’Association pour la Démocratie, l’Ecologie et la Solidarité (ADES) présente ses meilleurs vœux aux habitants de Grenoble et de l’agglomération en souhaitant que tout le travail entrepris depuis 2014 à la Ville de Grenoble, à la Métropole et par les citoyennes et les citoyens soit poursuivi et amplifié afin de préparer un avenir vivable pour toutes et tous dans notre beau territoire.

Malgré les grandes difficultés dues aux politiques nationales successives qui ont appauvri et continuent d’appauvrir fortement les collectivités, les politiques publiques locales menées à Grenoble et à la Métro ont permis d’éviter le pire en tenant bon sur les solidarités envers les plus en difficulté par la défense et la promotion des biens communs gérés en bonne intelligence par les services publics contrôlés de près par les assemblées délibérantes (mobilités, logement social, équipement et cantines scolaires, eau, assainissement, gaz, électricité, chauffage urbain…) et les différents comités des usagers quand ils existent. En développant les tarifications sociales quand c’est possible et en résistant contre les fermetures à Grenoble des bureaux de poste imposées par le gouvernement, en soutenant les personnels soignants contre la détérioration du système de santé notamment dans les hôpitaux et contre la destruction du système de retraite du plus grand nombre.

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La stratégie de Macron pour les municipales à Grenoble en 2020

Publié le 10 janvier 2020

Aux élections présidentielles et aux élections législatives de 2017, la stratégie de conquête du pouvoir de Macron a parfaitement fonctionné en jouant sur le rejet des appareils sclérosés de la gauche et de la droite traditionnelles. A Grenoble comme dans les grandes villes, les scores de Macron à la présidentielle et aux législatives étaient très élevés. Mais la découverte par un grand nombre d’électeurs que la politique de Macron virait rapidement à droite, a entrainé que son assise politique s’est fortement réduite.

Pour éviter que les élections municipales ne soient un échec, les tenant du macronisme soit s’allient avec des équipes sortantes, soit proposent plusieurs listes au premier tour pour ratisser large et voir quelles alliances passer au deuxième tour pour gagner ou limiter les dégâts. C’est le cas de Grenoble où deux listes pro-Macron sont proposées, car la majorité sortante, menée par Eric Piolle, est très opposée à la politique de Macron et de son gouvernement, il n’y a donc aucune possibilité d’alliance pour les pro-Macron avec les sortants.

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Un intrus au Conseil municipal

Publié le 21 décembre 2019
©Ville de Grenoble

Il y a deux raisons très claires pour ne pas reconnaitre à M. Carignon une légitimité à participer aux délibérations du Conseil municipal, même si la légalité le lui permet, sauf s’il est intéressé à l’affaire en débat ce qui peut arriver.

La première raison que tout le monde connait et qui a été rappelé avec précision par Claude Coutaz lors d’un vœu aux parlementaires (voir ci-dessous) qui devrait éloigner les corrompus de leurs victimes. Avoir fait l’acte le plus grave qu’un élu puisse commettre devrait le disqualifier définitivement.

La deuxième qui a été révélée avec clarté au Conseil municipal du 16 décembre, c’est de découvrir un élu qui tourne le dos à l’intérêt général en pratiquant exclusivement du pur clientélisme, en profitant de toutes les délibérations pour alimenter sa propre campagne électorale et non les intérêts de la collectivité. Peu importe que ce soit des séries de mensonges, la fin justifie les moyens.

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Politique politicienne

Publié le 21 décembre 2019

Tout un symbole ! C’est en tant que délégué du gouvernement Macron qu’O. Noblecourt a déclaré sa candidature à l’élection municipale de Grenoble. Il n’a même pas pris la précaution de démissionner avant de candidater ! La fausse gauche est de retour. D’ailleurs la candidate officielle d’« En marche » a immédiatement déclaré son rapprochement avec Noblecourt. Le PS va devoir faire d’importantes contorsions, lui qui au niveau national se situe clairement dans l’opposition à Macron ; à Grenoble il va devoir soutenir un pur produit du macronisme ambiant. Et GO citoyenneté se trouve aussi piégé, croyant aller à gauche alors que dans « Nouvel air » tout est organisé en soutien au gouvernement puisqu’il n’y a aucune critique de la politique de Macron.


Lors du conseil municipal du 16 décembre, M. Chamussy a fait de nombreuses déclarations d’amour à la politique gouvernementale. Pour l’instant il n’a pas choisi avec qui il va faire campagne, mais il a le choix car il y a deux listes « macronistes ». C’est une position très confortable, il peut faire monter les enchères. Il aime tellement pérorer au Conseil municipal qu’il va avoir du mal à décrocher.


Le nombre de mensonges concernant les finances de la ville et du CCAS devient très important. Les élus des oppositions ainsi que des candidats aux élections qui colportent ces mensonges font preuve de paresse intellectuelle car ils n’ont pas lu les documents budgétaires qui expliquent dans le détail les transferts financiers entre la Ville et la Métro, entre la Ville et le CCAS, documents qui sont sur le site de Grenoble. C’est un peu austère mais tout est dit. Donc globalement les investissements sont restés à peu près constant et les subventions au CCAS ont été très faiblement diminuées car il y a eu quelques économies de faites, sans mise en cause de son activité. Donc les fausses informations colportées démontrent que leurs auteurs ne font que de la politique politicienne de bas étage.

A propos des élections municipales de mars 2020

Publié le 21 décembre 2019

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) lance une plateforme pour signaler les pratiques non conformes au Règlement général sur la protection des données (RGPD). La CNIL répond ainsi aux inquiétudes d’électeurs quant aux conditions d’utilisation de leurs données par les candidats en campagne.

L’utilisation de la plateforme est très simple : l’électeur délivre son identité, renseigne le nom du candidat et éventuellement celui du parti politique concerné ainsi que la manière dont il a été contacté (SMS, mail, téléphone fixe ou mobile, réseaux sociaux, courrier, porte à porte…) et décrit enfin la pratique à laquelle il a été confronté.

Pour écarter tout risque de non-conformité au RGPD, la Cnil rappelle que sont inscrites, parmi les obligations des candidats ou des partis politiques, celles d’informer les électeurs sur l’identité et les coordonnées du responsable du traitement des données, les finalités du traitement, les destinataires des données et la durée de conservation des données ».

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L’acte 1 de la démarche « Grenoble en commun » va se terminer

Publié le 13 décembre 2019

Samedi 14 décembre, en deux manifestations, va voir se clôturer l’acte 1 de la démarche citoyenne de Grenoble en commun animée par Eric Piolle et soutenue par la quasi-totalité des organisations de gauche écologistes et citoyennes, formant un très large arc humaniste.

La première réunion de 14 à 17 h à la Plateforme (ancien musée de peinture) place de Verdun, verra l’élaboration de la synthèse des très nombreuses propositions à mettre dans un programme municipal et métropolitain. Depuis le 5 octobre, plus de 700 Grenobloises et Grenoblois ont participé aux 8 Fabriques en ville. Près de 150 ont participé aux trois Apéros Philo organisés en soirée. Au total, plus de 600 propositions ont été déposées sur la Fabrique en ligne.

Le deuxième temps du samedi 14 aura lieu de 18 h à 20 h, pour l’inauguration du local de campagne de « Grenoble en commun » au 8 rue Brocherie. Il sera notamment proposé de découvrir la bière artisanale et locale « Grenoble en Commun » ainsi qu’une limonade bio. Un bal populaire animé par un DJ. La convivialité et le partage sont les deux piliers pour bâtir ensemble l’avenir de Grenoble ! Voir une vidéo ici.

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Municipales 2020, la campagne de « Grenoble en commun » monte en gamme

Publié le 6 décembre 2019

Les militants de « Grenoble en commun » ont participé en nombre à la grande manifestation du 5 décembre à Grenoble qui demandait le retrait du projet gouvernemental sur les retraites et protestait contre les attaques multiples contre les services publics, nos précieux biens communs.

Le travail d’élaborations des propositions bat son plein dans les fabriques en ville et en ligne ainsi que dans les groupes de travail et des premières propositions font l’objet de présentations régulières aux médias. On retrouve ces propositions sur le site sous l’onglet « Défis ».

Les thèmes suivants sont déjà traités lors de conférences de presse, en voici quelques extraits :

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Le retour du corrompu aux affaires…

Publié le 6 décembre 2019

Nous avons demandé au dessinateur Cled’12 de faire quelques illustrations concernant le retour du corrompu au Conseil municipal du 16 décembre. Pour se rappeler ce qu’était le système politique qui a régné sur la ville de 1983 à 1995 et qui a fait des dégâts considérables aux services publics (et qui durent encore…), il faut lire l’ouvrage en ligne « Le système Carignon  » et la brochure de l’ADES ici

Il revient avec toutes ses casseroles qui vont faire une drôle de musique. Nous sommes pour la réinsertion des délinquants, mais pas au milieu de leurs victimes…Donc il s’agit de lui barrer la route et punir sa démagogie à outrance.

Il débute son mandat de conseiller municipal par ne s’intéresser qu’à l’argent, comme d’habitude, il n’a participé qu’à une seule commission municipale, celle des finances pour faire ensuite des propositions assez débiles. Il ne s’intéresse ni au social, ni à l’urbanisme, ni à la jeunesse, ni à la culture…

Politique politicienne

Publié le 6 décembre 2019

Qu’est ce qui se passe quand on n’a pas suivi l’activité municipale ces dernières années et qu’on a préféré partir à Paris soutenir la politique du Président Macron ? Et bien on propose des âneries et des bêtises… La liste du délégué interministériel contre la pauvreté O. Noblecourt se lance dans des propositions concernant la démocratie participative qui débutent par un gros bug ! Ils veulent ouvrir la voie au referendum local « en respectant le cadre légal » au niveau municipal ou métropolitain. C’est leur premier engagement concernant la démocratie participative. Sauf que tout le monde sait bien que ceci est interdit au niveau métropolitain puisque la métropole n’est pas une collectivité territoriale (contrairement à celle de Lyon). Autre proposition qui interroge sur son sérieux, « redéfinir la posture de l’élu, davantage à l’écoute sur le terrain aux cotés des acteurs et des habitants »portée par un candidat qui a quitté son mandat d’élu pour aller dans les sphères parisiennes du pouvoir… Et que dire de son affirmation dans les colonnes des Affiches de Grenoble et du Dauphiné : « je n’ai pas besoin de la politique pour vivre ». Lui qui n’a que vécu de la politique ! Faites ce que je dis, pas ce que je fais !


L’ancien maire corrompu essaye d’innover en politique. Il va proposer que le Conseil municipal ne dépense pas d’argent pour réparer les dégâts de l’incendie et continue de se tenir dans la salle du Conseil métropolitain. Cela veut dire qu’il ne veut pas réparer les dégâts et laisser l’Hôtel de Ville en l’état ! Il avait démontré dans le passé qu’il n’entretenait pas le patrimoine municipal, il veut donc continuer. La nouvelle majorité a mis fin au précédent contrat d’assurance des bâtiments municipaux qui coutait 1,26 millions d’euros par an avec une franchise de 1,5 millions d’euros. Le nouveau contrat coute seulement 0, 25 M€ par an et la franchise a diminué à 0,75 M€. Voilà de vraies économies et non des propositions débiles et démagogiques qui ne mènent à rien. Réparer les dégâts ne coûtera donc que 0,75 M€, il faut évidemment réparer et retrouver la salle des mariages, une salle du Conseil et l’accès aux nombreux bureaux actuellement inaccessibles et qui seront dépollués.

La campagne municipale de « Grenoble en commun » se développe activement

Publié le 22 novembre 2019

Après des militants et sympathisants du PS, le Parti Communiste de Grenoble a décidé de rejoindre la démarche de « Grenoble en commun » animée par Eric Piolle. C’est une initiative à souligner car c’est la première fois que le PC rejoint les écologistes lors d’une élection municipale à Grenoble. C’est aussi la signature que l’ensemble des sensibilités politiques, citoyennes, de gauche et écologistes se retrouve unis. Cet arc politique inédit va regrouper toutes celles et ceux qui rejettent les propositions de l’extrême droite, de la droite, notamment celle qui accueille les tenants de la corruption et les ultralibéraux qui partagent les idées de Macron et qui se présentent à l’élection municipale sur des listes menée d’une part par une députée « En Marche » et d’autre part par un faux socialiste, membre associé au gouvernement, soutenu par le PS qui à Grenoble n’arrive pas à faire sa mutation politique et reste sur les vieux schémas qui ont mené à ses échecs.

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Municipales 2020 : « Grenoble en commun » au travail

Publié le 15 novembre 2019

L’élargissement du périmètre politique de la démarche « Grenoble en commun » emmenée par Eric Piolle, se poursuit à gauche. Il y a quelques semaines, la décision nationale du mouvement « Génération.s », créé par Benoit Hamon après sa sortie du PS, de soutenir la candidature d’Eric Piolle, avait fait quelques remous localement dans le mouvement. Le comité local « Génération.s Grenoble Métropole » a décidé de rejoindre la démarche de « Grenoble en commun » suite au vote des adhérents grenoblois.

De même, le mouvement Place Publique (animé nationalement par Raphaël Glucksmann) vient aussi de décider localement sa participation à cette démarche.

Le 13 novembre, des militants, des élues et sympathisants socialistes ont décidé de rejoindre « Grenoble en commun » car ils tiennent à affirmer leur appartenance à la gauche, en opposition à la politique de Macron, en conséquence ils ne peuvent pas se retrouver dans la liste initiée par O. Noblecourt. L’ancien co-président de la section PS de Grenoble, Maxence Alloto et deux élues encore dans l’opposition à la mairie ont fait ce choix, M.J. Salat (qui est dans la majorité à la Métro) et A. Agobian.

Les soutiens citoyens se multiplient aussi (bientôt 500). La signature de l’appel citoyen à construire ensemble l’avenir de Grenoble et de la Métropole se fait sur le site : https://www.grenobleencommun.fr/.

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Politique politicienne

Publié le 15 novembre 2019

Voilà une première victime de la liste pilotée par O. Noblecourt membre associé au gouvernement Macron. En effet, P. Bron se dit écartelé, lui qui a signé le soutien à la liste « Grenoble en Commun » animée par Eric Piolle et qui est membre de GO Citoyenneté. Ce mouvement vient de rallier la liste Noblecourt. Il y a de quoi être écartelé puisque le positionnement politique de la liste Noblecourt est macronien pur jus. Dans l’appel de lancement, il n’y a aucune critique sur la politique gouvernementale qui amplifie les inégalités, qui recentralise la vie institutionnelle en étouffant les collectivités… Et GO de rejoindre cet attelage qui penche à droite ; d’ailleurs ce mouvement s’inquiète en demandant que la liste « s’inscrive bien à gauche et clarifie définitivement ses rapports éventuels avec LREM. » Le simple fait de s’inquiéter démontre où se situe réellement cet attelage de fausse gauche et de vraie droite. Avant de signer un contrat, il vaut mieux le lire attentivement, et saisir ce qui est sous-entendu. Il ne pourra donc pas y avoir d’alliance au deuxième tour entre la liste citoyenne de gauche écologiste et humaniste d’Eric Piolle et une liste animée par O. Noblecourt étroitement associé au gouvernement de droite. Il s’agit de clarté politique élémentaire.

Grenoble en Commun, le rassemblement s’étoffe pour les élections municipales

Publié le 1 novembre 2019

Suite à l’appel citoyen pour construire ensemble l’avenir de Grenoble et de la métropole, les soutiens se multiplient pour proposer une liste de vaste rassemblement citoyen, de gauche, écologiste et humaniste avec Eric Piolle comme animateur de ce nouveau collectif. Il y a déjà plus de 400 citoyens qui ont déclaré publiquement leur soutien et en ce qui concerne les organisations politiques de plus en plus soutiens se déclarent, le dernier en date est celui de la France Insoumise qui s’engage exclusivement dans cette nouvelle aventure, puisqu’aucune autre liste ne pourra se réclamer de son soutien. On retrouve les soutiens de l’ADES, du Réseau citoyen, d’EELV, d’Ensemble Grenoble Métropole, Nouvelle Donne, Génération Ecologie et d’autres organisations vont décider dans les semaines qui viennent de participer à la construction d’un nouveau projet pour Grenoble et l’agglomération.

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