Deux études, l’une de l’Observatoire National de la Politique de la Ville (ONPV/CGET), et l’autre de l’Insee (Insee première n°175) viennent apporter des informations intéressantes sur les conditions d’habitat des ménages les plus modestes
L’étude de l’ONPV met l’accent sur les conditions de logement plus dégradées dans les quartiers prioritaires. Les logements collectifs sont en moyenne plus grands en quartier prioritaire (66 m2 contre 61 m2 dans les autres quartiers), les logements sont plus souvent surpeuplés, plus vétustes et cumulent plus de défauts graves de confort que ceux des autres quartiers des unités urbaines. 22% des ménages des quartiers prioritaires habitent un logement surpeuplé, contre 12% hors quartier prioritaire. Mais c’est encore plus le cas dans le parc locatif libre, où 32% des logements sont surpeuplés en QPV, contre 20% dans les autres quartiers.Les ménages des quartiers prioritaires consacrent une part plus importante de leur revenu au logement, et ce même si l’on tient compte des aides au logement dont ils sont le plus souvent bénéficiaires : malgré un coût du logement moindre en QPV, les revenus plus faibles des habitants engendrent un taux d’effort très supérieur à celui des ménages des autres quartiers. Le taux d’effort est de 30%, contre 20% dans les autres quartiers. Une fois pris en compte les aides au logement, les taux d’effort se rapprochent : 23% pour les habitants des QPV, contre 19% pour les autres. Et cela, quel que soit le statut d’occupation. Comme quoi « le pognon de dingue » mis dans les aides sociales est efficace et doit être maintenu et amélioré.

La ville de Grenoble a créé en 2017, le site
A l’ordre du jour de ce conseil il y a 100 délibérations dont certaines vont faire l’objet de débats politiques importants et nécessaires. La majorité municipale a décidé de mettre au débat du Conseil un plan d’action de la ville en matière de tranquillité publique en termes de prévention et de sécurité.
Appel de nombreuses organisations à manifester en solidarité avec le peuple brésilien, samedi 10 novembre 2018 à 14H30 Place Félix Poulat à Grenoble.
L’ancien maire corrompu essaye de faire croire que tous les maux dont souffrent les finances de la ville sont de la faute d’Eric Piolle, alors qu’ils datent depuis très longtemps et qu’il en est en grande partie responsable. En effet, c’est le maire corrompu qui a augmenté le plus les impôts des grenoblois depuis 1983 (+ 225%), c’est lui qui a creusé le plus la dette de Grenoble (+ 160 M€), c’est lui qui a augmenté le plus les dépenses de fonctionnement de la ville (+86%), il est le seul à avoir vu des budgets annulés par la justice administrative…
Actuellement la loi permet aux ressortissants de l’Union Européenne le droit de vote aux élections municipales et européennes se déroulant en France, mais cela ne concerne pas les résidents étrangers issus de pays n’appartenant pas à l’Union Européenne.
Le Commissariat général au développement durable du ministère de l’écologie vient de rendre public le 26 octobre, le bilan de la qualité de l’air extérieur en France en 2017. En effet, la loi impose à l’État de publier chaque année un rapport portant sur la situation et l’évolution de la qualité de l’air sur son territoire ainsi que ses effets sur la santé et l’environnement.
La population de la ville de Grenoble change fréquemment de logements. Les chiffres du dernier recensement de 2015, indiquent qu’il y a 10 % des habitants qui habitaient, un an auparavant, dans une autre commune et qui ont déménagé à Grenoble et 8,7 % qui habitaient à Grenoble mais qui ont changé de logement
Chaque année le Conseil d’Etat fait une étude sur des thèmes très différents ; en 2015 il a traité de l’action économique des personnes publiques, en 2016 de la simplification et la qualité du droit, en 2017 de la puissance publique et des plateformes numériques : accompagner l’ubérisation. En 2018 il traite de « la citoyenneté – être (un) citoyen aujourd’hui».
L’association FERUS (qui signifie « ce qui est sauvage » en latin) s’est donné pour objectifs de favoriser : la réussite du retour naturel du loup, le maintien et le renforcement des populations d’ours et le retour et le maintien des populations de lynx. Depuis plus de 20 ans FERUS milite pour la cohabitation grands prédateurs / troupeaux domestiques. Elle a mis en place une politique de concertation et de dialogue avec des éleveurs qui reconnaissent aux prédateurs le droit de vivre. FERUS est ainsi présent sur le terrain afin de faciliter cette coexistence.