Archives de mai 2012

Arlequin : un commerce agréable

Publié le 18 mai 2012

photo GK

Tous les habitants qui s’étaient manifestés par le biais d’une pétition pour s’inquiéter de la disparition du marché de l’Arlequin à Villeneuve, ont reçu au cours du mois d’avril dernier, une réponse du maire de Grenoble. Au-delà des phrases récurrentes des courriers types que M. Destot adresse à ses administrés comme « Soyez assuré que je suis particulièrement sensible à vos demandes et que je comprends vos craintes… », c’est l’argumentaire développé dans cette lettre qui pour tout dire, ne manque pas de piquant. A en croire le maire « la question du déplacement des commerçants non sédentaires est directement liée à la situation des commerçants sédentaires ». Traduction : le déplacement du marché s’explique parce que les commerçants installés galerie de l’Arlequin souffrent de difficultés financières dues à leur seule clientèle de proximité, insuffisante pour leur permettre de vivre. Pour valider ce raisonnement, il fallait la caution d’un expert et la ville a fait appel à EPARECA organisme spécialisé dans l’accompagnement des collectivités locales pour la réactivation des zones commerciales et artisanales de proximité (ouf !).

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L’état des finances de la Métro

Publié le 18 mai 2012

Lors du dernier conseil de Métro le Compte administratif (CA) 2011 a été adopté, il retrace l’ensemble des recettes et des dépenses de l’année 2011 et donne une photographie de l’état des finances de la communauté d’agglomération au 31 décembre 2011.

Globalement ce CA montre une situation financière plus positive que celle des années précédentes. Ceci est surtout dû à des recettes de fonctionnement en forte progression.

Alors qu’entre 2009 et 2010, les recettes n’avaient augmenté que de 4 M€ (de 320,22 à 324,24, entre 2010 et 2011 il y a eu plus de 20 M€ de recettes supplémentaires dont 7 M€ d’augmentation de la TEOM.

Les dépenses de fonctionnement on été maîtrisées, entre 2009 et 2010 l’augmentation a été de 6 M€ et seulement de 2,5 M€ entre 2010 et 2011.

Malgré une augmentation notable de l’annuité de la dette (intérêt + capital) de presque 4 M€, l’épargne nette a progressé fortement passant de 17,5 M€ en 2010 à 33,2 M€ en 2011.

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Les visions d’avenir du Président de la Métro : attention à l’indigestion

Publié le 18 mai 2012

Le Président de la Métro a fait le point sur les grands dossiers d’avenir de l’agglomération (DL du 11 mai 2012) : la ZAPA, Alpexpo, le téléphérique vers le Vercors et des nouvelles compétences. Attention à l’indigestion financière.

La ZAPA (Zone d’actions prioritaires pour l’air)

« La ZAPA, il faut y aller, mais sans pénaliser l’activité économique ni les habitants. On a un an de boulot avant de commencer à dire les choses publiquement, car il faut prendre une décision qui n’amène pas à un rejet ». Donc on prépare tout discrètement et on exposera au bon peuple les solutions qui feront son bonheur. Ce n’est pas un modèle de démocratie locale. La Métro a commandé un sondage mais le Président ne se pose même pas la question du débat public préalable à une telle expérimentation. Les 3 communes (Grenoble, La Tronche et Saint Martin d’Hères) qui vont voir l’expérimentation de la ZAPA sur une partie de leur territoire devraient pendre les devants et organiser l’information et le débat sur cette épineuse question. La Métro devrait mettre au débat public les différents scénarios et les compensations qu’elle va pouvoir apporter à ceux qui se verraient interdire de circuler dans la ZAPA.

 

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La transmission, le fait du prince

Publié le 18 mai 2012

Le 11 mai à la fin du Conseil de la Métro, un participant dit « je pars au couronnement d’Olivier ». Après une demande d’explication, le couronné est donc Olivier Noblecourt.

Le terme monarchique de couronnement est très juste, puisque visiblement on se transmet les postes électifs, à l’instar des rois, selon leur bon plaisir. «Pourquoi j’ai choisi Olivier Noblecourt comme suppléant » s’explique en majesté M. Destot dans l’hebdomadaire électronique Grenews. Où l’on découvre qu’au parti socialiste, le choix des candidats ne relève pas des militant-es après un vote démocratique et sur les projets proposés, mais de la décision des seul-es baron-nes.

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Analyse 2ème tour des présidentielles à Grenoble

Publié le 11 mai 2012

Avec 64,3 % des suffrages exprimés, F. Hollande réalise un très gros score à Grenoble, S. Royal n’avait réuni que 58 % des suffrages en 2007. C’est un des meilleurs résultats de toutes les grandes villes, derrière Rennes (67%). A contrario, la droite s’effondre par rapport au scrutin de 2007, passant de 42% à 35,7%. Globalement ces évolutions sont beaucoup plus fortes qu’au niveau national.

Participation

Contrairement au niveau national, Grenoble a légèrement moins voté au 2ème tour qu’au 1er (0,4 point de moins soit 140 électeurs en moins).

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Le maire de Grenoble essaye de se (re)caser

Publié le 11 mai 2012

Depuis des mois, M. Destot fait des pieds et des mains pour se faire reconnaitre comme personne indispensable au niveau national dans l’optique d’une victoire de F. Hollande aux présidentielles et d’une majorité de gauche à l’assemblée nationale. Il délaisse progressivement la ville et organise déjà ses éventuelles successions, tout en briguant pour la sixième fois consécutive un mandat de député en juin 2012. Un mandat qu’il n’a exercé depuis le début qu’en dilettante et qui n’honore ni la fonction ni l’homme. Classé parmi les 150 « derniers » parlementaires de l’hémicycle, il compte 18 semaines de présence quand d’autres en totalisent 36, et n’est crédité d’aucune proposition de loi portée par lui pas plus que d’un rapport écrit depuis mars 2010.

Il joue sur de nombreux tableaux pour tenter de s’attirer les bonnes grâces du nouveau pouvoir. Mais il souffre d’un handicap : celui d’avoir choisi successivement Strauss Kahn puis M. Aubry comme champions pour les présidentielles.

Il est l’ami des grands groupes du CAC 40 et se rêve peut être en dirigeant d’un grand groupe public ou semi-public. Alors, il passe le plus clair de son temps à rencontrer les patrons du CAC 40 en se présentant comme ancien chef d’entreprise. Il oublie de préciser que son aventure de chef d’entreprise a failli très mal se terminer. Il doit sa chance à un certain désintérêt de la justice qui n’a pas poussé plus loin ses investigations sur la fin de son entreprise (Corys) avant qu’il ne devienne maire de Grenoble.

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Urbanisme, la contestation se poursuit

Publié le 11 mai 2012

L’association Vivre à Grenoble, qui vient de fédérer de nombreux collectifs d’habitants opposés aux projets immobiliers délirants de la majorité municipale, s’est intensément mobilisée contre le projet de l’Esplanade en faisant signer une pétition protestant contre ce projet. Des milliers de signatures ont déjà été obtenues et il faut continuer. Vous pouvez signer par internet

Une autre pétition circule actuellement, lancée par un collectif du quartier Abbaye-Chatelet pour protester contre un projet d’immeuble qui va dénaturer le site et qui illustre bien la politique d’urbanisme actuelle. Voici le texte de cette pétition que vous pouvez également signer en ligne :

Pour une urbanisation cohérente et durable du quartier Abbaye – Chatelet

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Quant un sénateur ne connaît pas la loi…

Publié le 11 mai 2012

J. Chiron a « tchaté » récemment avec quelques personnes sur la politique des déplacements. A la question : « Pourquoi a-t-on cédé sur ce projet de rocade nord » ?, le sénateur répond : « C’est la commission d’enquête publique qui, par son vote défavorable à l’unanimité, a bloqué le projet de rocade Nord. ! »

Ceci est évidemment totalement faux, puisqu’une commission d’enquête ne donne qu’un avis et le maître d’ouvrage peut tout à fait passer outre. Une commission d’enquête est incapable de bloquer un projet.

En fait, le dossier du Conseil général était très mal ficelé ; et le Président A. Vallini n’était pas du tout sûr qu’il passerait les recours déposés (et toujours non jugés), de plus il ne savait pas financer le projet…

Il faudra que le sénateur révise son code de l’environnement.

La claque du CLUQ

Publié le 4 mai 2012

A force de faire la sourde oreille, d’être condescendant ou pire méprisant, on finit par exaspérer même ceux que l’on n’attendait pas là, comme ces « dangereux agitateurs » qui composent le CLUQ (Comité de Liaison des Unions de Quartiers). Le bureau du CLUQ n’a pas beaucoup apprécié la petite phrase de M. Destot qui, dans le quotidien régional du 17 avril dernier estime qu’ » il faut avoir une vision globale et raisonner en termes de secteurs, plutôt que de quartiers  » autrement dit et tout le monde l’a compris ainsi : exit les unions de quartiers nées à Grenoble voilà plus de 100 ans. Mais le bureau du CLUQ ne s’arrête pas là et prend fait et cause pour l’association « Vivre à Grenoble » qualifiée par l’adjoint à l’immobilier de « tout petit collectif autoproclamé ». Ainsi dans une lettre intitulée   » Les Unions de Quartiers et les collectifs de proximité sont et resteront le socle de base du processus de participation des habitants de la décision publique !  » et adressée au maire, aux conseillers municipaux et à toutes les unions de quartiers, le bureau du CLUQ retrace l’histoire et le rôle des unions de quartiers et déplore entre autres, que ces mêmes unions de quartiers (UQ) soient peu entendues : « …la place qui leur est donnée lors des concertations est semblable à celle d’un habitant isolé. Lorsque des lettres sont envoyées par les UQ ou des habitants, les réponses tardent et consistent le plus souvent en un « copier-coller » du discours officiel. Les UQ ont le sentiment d’être utilisées, pour « faire bien » dans une ville soi-disant pionnière en matière de participation des citoyens à la décision publique.

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Plurielle que jamais

Publié le 4 mai 2012

Bien malin celle ou celui qui pourrait retrouver ses petits dans le louvoiement politique, spécialité de Ph. Falcon de Longevialle, ci-devant adjoint au maire de Grenoble. Après avoir quitté le Modem, puis appelé à voter Bayrou au premier tour de la présidentielle, et alors que ce dernier a décidé de soutenir Hollande à titre personnel, Ph. Falcon de Longevialle, M.C. Népi et C. Plet tous trois membres de la majorité municipale viennent d’adopter une position extrêmement courageuse en appelant les électeurs à voter selon leur conscience. A propos de majorité municipale, quelles sont donc les consignes de vote de J. Thiar (ancien président des Amis de Sarkozy) et de B. Betto ancien adjoint au maire corrompu ?! C’était notre rubrique « majorité plurielle »

L’enquête publique sur le SCOT est ouverte

Publié le 4 mai 2012

Entre le 4 mai et le 4 juillet 2012 se déroule l’enquête publique sur le Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) de la Région Grenobloise qui va remplacer l’ancien Schéma Directeur datant de 2000. Une enquête conjointe se déroule sur le Document d’Aménagement Commercial (DAC) qui accompagne le SCOT.

Le SCOT est un document d’urbanisme important puisqu’il impose sa compatibilité à de nombreux plans et opérations d’urbanisme (PLU, PDU, ZAC…).

Tous les documents du SCOT sont consultables en mairie et sont consultables et téléchargeables sur le site internet de l’Etablissement Public du SCOT, maître d’ouvrage de ce document.

Vu l’épaisseur des dossiers, pour celles et ceux qui veulent aller à l’essentiel c’est le DOO (Document d’orientation et d’objectifs) qu’il faut examiner de près, c’est tout de même 270 pages ! Le DOO sera le document juridiquement opposable aux plans et opérations d’aménagement, donc c’est de lui que viendront les conséquences concrètes les plus importantes.

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ALPEXPO, dernières informations

Publié le 4 mai 2012

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Voila une société d’économie mixte dont les actionnaires principaux sont la ville de Grenoble et la Métro qui a été mise en état de quasi-faillite sans que les mécanismes de contrôle aient fonctionné. Jamais une telle situation n’aurait pu se développer dans une gestion en régie. Dans ce cadre, le trésorier public n’aurait jamais accepté de payer des dépenses sans savoir qui les avait décidées et quand ! Les mécanismes de contrôle de l’argent public sont parfois contraignants mais ils permettent d’éviter les dérives trop faciles de certaines gestions privées entre les mains d’individus incompétents ou peu scrupuleux (pour ne pas dire plus). Le Conseil municipal de Grenoble a mis en place une mission d’information et d’évaluation (MIE) pour tenter de faire la lumière sur la situation financière d’ALPEXPO. La Métro y participe. La majorité municipale a décidé d’accorder une avance en compte courant d’associés de 1 M€ à la SEM. En revanche la Métro, sollicitée à hauteur de 0,8 M€, a refusé de verser immédiatement cette somme faute d’avoir obtenu les assurances escomptées. Pour éclairer son choix, elle a donné à un cabinet d’experts mission de l’informer sur la réalité de la gestion comptable 2011 et sur le budget prévisionnel 2012 de la SEM. L’analyse du cabinet n’a visiblement pas permis d’apporter les réponses attendues par la Métro en raison d’un manque inquiétant d’informations fiables.

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L’UMP Isère raconte n’importe quoi…

Publié le 4 mai 2012

Le Dauphiné Libéré du 30 avril 2012 rapporte des extraits d’une lettre ouverte de l’UMP 38 au maire de Grenoble et à son premier adjoint au sujet de dépenses injustifiées de la société anonyme sportive professionnelle (SASP) gérant le club de foot professionnel GF38 durant la saison 2009/2010 (exercice clos le 30 juin 2010).

Il n’y a là, rien de bien nouveau : charges salariales lourdes et un prêt accordé à la société Index Asia Pacific Ldt de 1,76 M€. Et l’UMP fait croire que le GF38 aurait prêté cette somme au lieu de payer ses dettes à la Métro. Ceci est inexact puisqu’au 30 juin 2010, le GF38 avait payé toutes les factures émises par la Métro pour la location du stade. Le déficit de la société GF38, au 30 juin 2010, atteignait 3 M€. Ce n’est qu’à partir d’août 2010 et surtout d’octobre 2010 que le GF38 n’honore plus les factures émises par la Métro, le trou financier sera alors de 851 000 € fin 2010.

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Coopération : public-privé ?

Publié le 4 mai 2012

Dans le cadre de ses actions de coopération décentralisée la Région Rhône Alpes entretient des relations avec la ville d’Annaba en Algérie. Or le 5 avril dernier le Tribunal administratif de Lyon qui avait été saisi par une association et un particulier, a annulé la délibération des 21 et 22 octobre 2010 par laquelle la Région approuvait une convention de financement pour la restauration de la Basilique St Augustin d’Hippone à Annaba en Algérie.

Le Tribunal administratif stipule que : « …les conventions de coopération décentralisée ne peuvent être conclues qu’avec des autorités locales étrangères… la convention de financement de la restauration de la Basilique St Augustin d’Annaba…comprenait comme cocontractants, pour la partie algérienne, outre la Wilaya et la commune d’Annaba, l’association diocésaine d’Algérie, personne morale de droit privé qui ne saurait être regardée comme une autorité locale algérienne. » Par ailleurs le tribunal administratif considère que « La Région… n’ établit pas l’existence d’un intérêt régional suffisant, se bornant à évoquer d’hypothétiques marchés, le développement culturel ou l’héritage universel de la culture méditerranéenne. » Bien que ne s’appuyant pas spécifiquement sur la Loi 1905 de séparation des églises et de l’Etat, cette décision du Tribunal Administratif de Lyon devrait inciter certaines collectivités qui ont tendance à s’affranchir facilement des principes de laïcité à la plus grande prudence.

« Manger malin » continue… comment donner 1 euro pour en gagner 10, 20…

Publié le 4 mai 2012

Rectificatif le 7/5/12 : contrairement à ce que nous écrivions dans une première version de cet article, Martin Hirsch n’était pas à la Fondation Abbé Pierre mais président d’Emmaüs France, nous avons corrigé en conséquence

Tous droits réservés (photo DR)

Cette histoire pourrait être drôle, si elle n’était grotesque. Rappelons le contexte :  » Manger malin  » est un projet initié par le Vice président du CCAS, qui a recruté une salariée issue du cabinet de Martin Hirsch (ex. du gouvernement Fillon aux Solidarités Actives). Le profil de poste de cette contractuelle de la fonction publique était d’aller chercher des aides financières pour le CCAS, en dehors des financeurs habituels que sont aujourd’hui la Ville, le Conseil général et l’Etat pour l’essentiel. Elle devait entre autres débusquer tous les fonds européens qui pouvaient apporter des aides aux programmes sociaux initiés par le CCAS.

Au lieu de l’Europe, cette chargée de mission très spéciale trouve des idées et des fonds auprès d’un groupe international de l’alimentaire du CAC 40 pour mettre en place le désormais célèbre programme « manger malin ». Ce programme consiste à fournir du lait en poudre et des petits pots commercialisés par ce même grand groupe.

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M. SARKOZY a dirigé l’Etat en état d’ivresse sondagière, de délire d’opinion

Publié le 2 mai 2012
Raymond Avrillier

Raymond Avrillier (photo tous droits réservés)

Conférence de presse « Révélations sur les sondages commandés par l’Elysée dont un certain nombre viennent d’être obtenus par Raymond Avrillier après injonction par la justice administrative à la présidence de la République de les communiquer » Lundi 30 avril 2012

Mettre fin à l’immunité d’un président de la République, son conseiller d’extrême-droite [1], et son conseiller corrompu, qui ne respectent pas la loi.

M. SARKOZY a dirigé l’Etat en état d’ivresse sondagière, de délire d’opinion.

Une conduite de l’Etat à la petite semaine qui a coûté 6 351 238,40 euros pour 264 sondages de juin 2007 à juillet 2009 (dont seulement 134 ont été communiqués à Raymond Avrillier).

Raymond Avrillier vient de recevoir une partie des contrats des cabinets conseils de M. SARKOZY et des sondages que l’Elysée est obligé de lui communiquer par jugement du 17 février 2012 du tribunal administratif de Paris (Tribunal administratif de Paris, 17 février 2012, Avrillier c/ Présidence de la République, n°0920763), à la suite des demandes engagées dans la nuit du 4 août 2009.

Le contenu des courriers de l’Elysée qui accompagnent ces envois montre que M. SARKOZY et ses conseillers ne respectent pas la loi et cherchent à jouer la montre. Nous ne sommes pas étonnés puisque M. SARKOZY a réinséré comme son proche conseiller M. CARIGNON, le corrompu, dont nous connaissons les pratiques à Grenoble.

Des documents jusqu’alors communiqués, il s’avère que M. SARKOZY a fait payer par la présidence de la République (notre argent public) 6 351 238,40 euros de juin 2007 à juillet 2009 pour les prestations de conseils et sondages de l’Elysée (dont 264 sondages de juin 2007 à juillet 2009).

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