Archives pour le mot-clef ‘logement’

En bref : M. Boileau, GF38, logement social, super-embauches

Publié le 25 mars 2011

Maryvonne Boileau, le retour…

Suite à la démission du Conseil régional de Mme Marie-Noëlle Battistel (députée PS de la 4ème circonscription de l’Isère), M. Boileau retrouve le 156ème poste d’élu. Pour autant elle maintient son recours au Conseil d’Etat contre la décision de supprimer le 157 ème poste. Si elle gagne, c’est Eric Grasset de la liste PS qui sera appelé à siéger. Décidemment les écologistes sont unitaires pour deux !

GF38, rendez-vous le 8 avril

Un nouveau repreneur, Christophe Maillol, homme d’affaires investi dans le football français et brésilien depuis une dizaine d’années, a signé un protocole d’accord avec Index pour acheter tout ou partie du GF38. Le protocole d’accord peut être annulé jusqu’au 8 avril. Le repreneur se déclare prêt à apporter 3 M€. Pour l’instant l’avenir sportif et administratif du GF 38 est plutôt sombre. A suivre.

Logement public ou logement social ?

Quand le vocabulaire essaye de camoufler les réalités. De plus en plus de voix s’élèvent pour abandonner l’appellation « logement social » au profit de « logement public ». Pourtant ce logement est attribué sur critères sociaux et n’est donc pas accessible à tous, il ne répond pas aux exigences d’un service public stricto sensu. Pourquoi vouloir camoufler la réalité ? Il faut au contraire donner toute sa noblesse à l’appellation et expliquer que les 2/3 des Français peuvent y accéder. Le logement social pourrait être un des moyens de lutter contre la spéculation immobilière s’il était massivement construit.

Vous avez dit visionnaire ?

Un de nos lecteur nous signale : « il y a environ 10 ans quand je suis arrivé à Grenoble on disait que Grenoble était tout proche des 20% de logements sociaux (19,5%). 
Aujourd’hui notre cher Maire se vante d’avoir atteint les 20% et vise les 30%. C’est là que c’est drôle car si nous augmentons la part de logements sociaux sur la ville au même rythme que ces dernières années il nous faudra 200 ans pour atteindre l’objectif ! C’est cela un maire visionnaire ! Il fixe des objectifs à 200 ans… »

Le CCAS se paye une annonce dans Le Monde

Pour embaucher un collaborateur, le Centre communal d’action sociale – CCAS se paye une annonce à 5 400 € dans Le Monde Economie (15 mars). Pourtant pour le type de poste recherché il suffit d’utiliser les réseaux habituels (Gazette des communes, lettre du cadre, CNFPT…). On peut donc faire des économies autrement qu’en supprimant les primes des personnels les moins bien payés.

Le Maire de Grenoble embauche un super membre de cabinet pour sa communication !

Vu dans Le Monde Economie du 22 mars, pour encore plus cher (il y a de la couleur). « Grenoble l’esprit d’innovation. La ville recrute le Directeur de la communication et de l’animation ». Il est recruté directement « sous la responsabilité du député-maire », pas sous celle du Directeur général des services ! Il s’agit donc bien d’un membre de cabinet qui travaillera pour le député et le maire… Il est précisé qu’il doit être « doté du sens politique », sous entendu, d’une ouïe très développée pour entendre la voix de son maître.

Vous avez dit démocratie locale à la Villeneuve…

Publié le 11 février 2011
  • L’élue du secteur 6, H. Vincent (PS) pose des lapins aux habitants en leur annonçant des permanences pour les recevoir qui ne sont pas tenues. C’est ce qui s’est passé le 21 décembre 2010 et s’est reproduit le 20 janvier 2011 au Patio à la Villeneuve, l’adjointe au logement qui devait la remplacer n’est pas venue. Des locataires du 50 Galerie de l’Arlequin se sont déplacés afin d’avoir des réponses sur leur avenir concernant leur relogement, la démolition de leur immeuble, le projet de rénovation urbaine. Alors que de nombreux locataires sont très inquiets de la décision de démolition qui leur a été annoncé, sans que celle-ci ait été votée par le Conseil municipal, les élus de la majorité les ignorent, ils doivent avoir des questions beaucoup plus importantes à traiter !
  • Certains locataires d’appartements au 130 Galerie de l’Arlequin (dont 6 pourraient être démolis pour l’aménagement d’une voirie) font remarquer à juste titre qu’il serait bienvenu de la part des élus de la majorité de prendre contact, non seulement avec le propriétaire, mais aussi avec les locataires qui occupent des logements depuis plus de 25 ans, ce qui n’a toujours pas été fait. Décidément la dimension humaine passe après les questions du bâti.

Quand Mme Fioraso ment en public…

Publié le 4 février 2011

Gilles Kuntz a relevé dans le document budgétaire distribué aux élus de la Métro (page 5), une dérive sémantique lourde de sens : au lieu du triptyque bien connu « Université, recherche, industrie » il était indiqué « Université, recherche, haute technologie ». Or l’industrie et la haute technologie ce n’est pas pareil, et cette dérive montre bien quelles sont réellement les priorités : tout pour le high tech et nous serons sauvés !

Devant cette remarque, la 1ère vice-présidente a déclaré avec sa rigueur habituelle qu’elle avait relu avec beaucoup d’attention le budget et que nulle part il n’y avait ce glissement sémantique. Pas de chance, elle s’est pris le pied dans le tapis en démontrant qu’elle n’avait pas lu le document budgétaire avant de le voter.

Autre intervention intéressante de G. Fioraso, qui a demandé instamment aux maires des communes de l’agglomération de tout faire pour ne pas construire de logements dans leurs zones d’activités économiques. C’est l’hommage du vice à la vertu, car G. Fioraso a été l’artisan de la refonte du PLU (plan local d’urbanisme) de la Presqu’île à Grenoble pour permettre de nombreuses opérations de logements, voir notamment les 11 tours sur le terrain dit Schneider.

ACTIS abandonne le trésor !

Publié le 4 février 2011

Le Conseil d’Administration d’ACTIS (opérateur de logement social de la Ville de Grenoble) a voté pour le passage en comptabilité commerciale, abandonnant ainsi la gestion par le trésor public. Ceci est prévu par la réglementation. Mais au lieu de négocier avec la trésorerie des améliorations éventuelles, la majorité du CA a préféré faire ce choix. En théorie, cette décision pourrait donner un peu plus de souplesse, mais va dasn les faits coûter plus cher à ACTIS, donc aux locataires puisque les 11 postes de fonctionnaires mis à sa disposition par l’Etat n’était pas à la charge d’ACTIS, à l’exception de la prime versée à tous les Trésoriers publics, ainsi que le fonctionnement de ce service. ACTIS va devoir considérablement renforcer son service comptable.

Autre aspect négatif : au moment où le Gouvernement détruit le service public, se désengager de la sorte d’un partenariat qui fonctionnait est une erreur politique qui affaiblit le service public. En 2003, ACTIS avait menacé de faire ce changement s’il n’y avait pas d’amélioration du service rendu par le trésor, cette pression avait donné de bons résultats, et avait entre autres permis d’améliorer le paiement des fournisseurs à 30 jours et un accueil bien meilleur des locataires. Les associations de locataires ont voté contre, ainsi que la représentante de l’opposition écologiste et ancienne présidente de l’organisme ; elle a été la seule élue municipale à le faire : le maire ayant donné son feu vert, les élu-es de la majorité se sont exécuté-es. Cette décision a été acquise d’une seule voix.

Malgré cette mauvaise décision, nous restons persuadés que les Agents d’ACTIS continueront d’assumer parfaitement leur mission de service public.

Au débit de la majorité : le débat

Publié le 7 janvier 2011

L’année 2011 commence comme a fini la précédente, c’est à dire sans surprise pour la démocratie locale. La ville avait décidé le principe de la démolition de logements à la Villeneuve. Chacun sait, et les habitants les premiers, que le quartier fait depuis plusieurs années l’objet d’un projet de renouvellement urbain sous la houlette de l’urbaniste Y. Lion. Mais pour l’heure aucun calendrier précis n’a été défini, pas même les étapes des travaux à engager. La démolition de 68 des 150 logements du 50 Galerie de l’Arlequin est prévue nous dit-on en 2013. Mais dès 2011, la ville de Grenoble et Actis (le bailleur social) « accompagneront le relogement des 60 locataires concernés ». Ainsi donc, quelqu’un, quelque part en mairie a décidé, sans qu’aucune délibération, n’ait été soumise en Conseil Municipal, d’engager les opérations. L’opportunité de démolir ou non des logements sociaux mériterait évidemment un débat, mais la question ici est la manière de procéder. Cette municipalité droite-gauche administre une fois encore la preuve de son incapacité à faire vivre la démocratie même en interne avec les élus.

LOCA++ une bonne idée, mais…

Publié le 6 novembre 2010

Permettre à des bailleurs privés de louer leur logement dans des conditions financières équivalentes ou proches de celles du logement social est une bonne idée qu’avait lancée et expérimentée l’association “ Un Toit pour tous ” en 2009 avec le soutien financier de la Métro et la Ville de Grenoble. Ces collectivités viennent de relancer cette opération à plus grande échelle mais en confiant la gestion à l’ensemble des agences immobilières et non aux opérateurs spécialisés dans l’accompagnement social des locataires comme le fait “ Un Toit pour tous ”. Du coup, la région ne participe pas au soutien financier de l’opération car la condition de l’accompagnement social, notamment des plus défavorisés était une des conditions mises à sa participation. LOCA++ risque donc de ne pas s’ouvrir à la frange la plus défavorisée de la population qui a le plus de mal à se loger, c’est dommage.

“ Un Toit pour tous ” a donc choisi de ne pas être opérateur de cette opération et s’en explique dans un communiqué que nous reproduisons ci-dessous :

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La nouvelle politique de la majorité pour le logement social, à droite toute !

Publié le 8 septembre 2010

Le bailleur social ACTIS projetait la construction de 34 logements rue Marbeuf, près de l’école Painlevé dans le quartier des Eaux Claires à la place du petit immeuble de logement de fonction des instituteurs. Les opposants à ce projet ont réunis 1400 signatures sur une pétition.

Le 24 juin 2010 s’est tenue une réunion publique à l’initiative de la mairie pour débattre de cette question, et face à l’hostilité des participants, l’adjoint à l’urbanisme -qui est surtout l’adjoint à l’immobilier- a décidé de suspendre le projet. Pour conclure et se défausser, il a demandé aux associations opposées au projet de lui faire des propositions pour une autre solution !

Plusieurs leçons peuvent être tirées :

  • La majorité montre une fois de plus son incapacité à élaborer des projets avec une concertation véritable ou une co-élaboration avec les habitants en amont des décisions, créant ainsi les conditions d’une opposition radicale et souvent fondée. La majorité présente ses projets les uns derrière les autres sans stratégie globale pour un quartier. Elle est incapable d’une vision cohérente sur le moyen terme, ce qui empêche un vrai débat citoyen sur différentes options. Au fil des mois on ne peut que constater que la charte de la démocratie locale n’est qu’un chiffon de papier.
  • Il n’est pas sain que le vice-président du CCS3 soit en même temps le président de l’Union de quartier et de plus proche du maire. Cette absence de pluralisme nuit à la qualité du débat citoyen.
  • La position de la majorité municipale montre bien quelles sont ses priorités sociales. Quand il s’agit de logements privés, l’adjoint à l’immobilier les défend bec et ongle, même face à une forte opposition des habitants (voir l’opération sur le terrain Schneider à Jean Macé ou l’hôtel 4 étoiles au quartier de Bonne), défendant les profits des promoteurs ; par contre quand il s’agit de logement social, c’est laissé à l’appréciation des habitants. Les bons terrains sont promis aux opérations privées et ACTIS doit se contenter des bas morceaux. N’y a-t-il plus que les cours d’écoles pour implanter du logement social dans la ville ?

C’est bien le symbole de cette majorité droite-gauche, à gauche en parole, à droite dans les actes.

Le corrompu ferait mieux de se taire !

Publié le 23 juillet 2010

A . Carignon réapparait en essayant de faire croire qu’entre 1983 et 1995 tout allait bien à Grenoble. Effectivement tout allait bien pour les affaires ! Les Grenoblois ont durement payé cette période où les caisses de la Ville ont été vidées et où la dette a explosé. Les services publics locaux se sont dégradés, ACTIS qui s’appelait l’OPALE a été mis en quasi faillite ce qui a obligé à un redressement douloureux au détriment de l’accompagnement social des familles fragilisées. La politique d’attribution des logements sociaux a consisté à mettre au même endroit les familles à problèmes sans accompagnement. Le personnel municipal a été fortement réduit et démobilisé…

Il a fallu des années à la majorité de gauche et écologiste pour redresser la situation. Et la droite UMP à la mairie se ridiculise lorsqu’elle critique des manques de la politique sociale de la mairie, elle qui vote toujours contre les propositions, mêmes insuffisantes, de la majorité municipale.

La ville laissée aux mains des promoteurs

Publié le 25 juin 2010

Nous avions déjà dénoncé l’implantation d’un hôtel 4 étoiles dans le quartier de Bonne à la place d’un édifice public « structurant ».

C’est au tour du terrain de la clinique du Mail (à la Villeneuve près de Grand Place) où un promoteur propose une densification extrême de logements. Des recours contre le permis de construire ont été déposés, pointant notamment la trop grande hauteur des immeubles par rapport à la réglementation du PLU. Evidemment il ne s’agit pas de logements sociaux. Décidément la majorité municipale ouvre grand la porte à la spéculation immobilière.

Vers du logement social « bas de gamme », suite

Publié le 10 juin 2010

Nous indiquions récemment que l’adjoint à l’action sociale (Olivier Noblecourt) avait déclaré lors d’une intervention à l’université qu’il était favorable à mettre en place des logements sociaux peu chers (donc abandonnant la qualité actuelle notamment au niveau thermique) pour en multiplier le nombre. Estimant que nous déformions ses propos il nous écrit :

« Sur la forme, je m’étonne que vous publiez une information sans vérification : il est probable que les propos rapportés aient été mal interprétés ou mal compris alors qu’il aurait été très simple de vérifier.

Sur le fond, je ne défends en aucun cas le « logement social bas de gamme » et je considère que ses normes de qualité doivent être les mêmes que pour le parc privé. Par contre, je mets en garde, comme beaucoup d’acteurs sociaux, face à l’inflation des normes, qui renchérissent considérablement le coût des logements… et amènent les bailleurs sociaux à limiter leur production neuve.  Je considère que le parc public, qui est d’une qualité thermique bien supérieure au parc privé, ne doit pas porter seul l’émergence de nouvelles normes de construction et que nous devons en permanence chercher à concilier l’intérêt social et l’impératif écologique. Ainsi, je suis défavorable aux mesures normatives qui aboutissent à des prix augmentés de 10, 15 ou 20%, sachant qu’au final, c’est toujours le locataire qui paie. A force d’opérations exemplaires qui ne sont accessibles qu’à la partie la moins fragile des locataires sociaux et aux plus riches dans l’accession libre, nous risquons d’aggraver une tendance inquiétante des grandes villes : celle de n’être accessibles qu’aux plus riches ou aux plus pauvres,  poussant la classe moyenne à accentuer l’étalement urbain et la périurbanisation. Les enjeux sociaux de la mutation écologique en cours, à laquelle j’adhère pleinement, sont suffisamment complexes pour mériter d’autres débats que la caricature proposée par votre article ».

O. Noblecourt confirme ce que nous indiquions, puisqu’il se dit défavorable aux normes actuelles sur la qualité thermique des nouveaux bâtiments, qui impliquent des coûts de construction un peu plus chers. Mais il faut savoir si on veut vraiment limiter au maximum les dépenses d’énergie dans le bâtiment, sachant que c’est un des points importants pour diminuer les gaz à effet de serre et les charges locatives. Il est urgent de mettre en place des filières industrielles et artisanales qui acquièrent la compétence pour réaliser ces chantiers,et il y a là une responsabilité publique évidente pour aider à cette mise en place. Les marchés publics sont les leviers les plus efficaces pour le faire, et les normes l’imposent.

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Vers du logement social bas de gamme !

Publié le 4 juin 2010

L’adjoint à l’action sociale a déclaré lors d’une intervention à l’université qu’il était favorable à mettre en place des logements sociaux peu chers (donc abandonnant la qualité actuelle notamment au niveau thermique) pour en multiplier le nombre. Cette proposition avait été faite par certains élus lors du mandat précédent, mais la présence des écologistes dans la majorité avait barré la route à cette dérive qui est une illusion sur le long terme. Attendons de voir ce que la majorité va décider à ce sujet.

La crise du logement s’amplifie

Publié le 5 mai 2010

De nombreuses personnes sont sans logement, les sans papiers ne sont pas accueillis dignement, l’agglomération n’est toujours pas dans la légalité pour l’accueil des Gens du Voyage, les ROMS attendent toujours l’installation d’un espace d’accueil… Ces derniers jours dans le parc de l’Alliance des familles demandeuses d’asile ont été hébergées dans des tentes déployées par les associations Médecins du Monde, et transformé l’accueil demandeurs d’asiles en un véritable camp de réfugiés.

La situation sociale se dégrade à toute vitesse. L’Etat ne fait pas son travail et au contraire développe des politiques d’exclusion. Au lieu de donner la priorité au logement social qui manque cruellement dans le pays, il se défausse sur les collectivités locales dont certaines tournent le dos à la solidarité la plus élémentaire, utilisant l’absence de législation contraignante pour défendre de véritables ghettos de riches, renforçant l’existence des ghettos de pauvres.

L’agglomération grenobloise est à cet égard une agglo à deux vitesses.

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La majorité municipale va mal

Publié le 29 avril 2010

Depuis quelques semaines et surtout depuis le mauvais score du PS à Grenoble aux régionales, ça s’agite dans la majorité municipale à Grenoble.

Les groupes politiques se multiplient dans la majorité (7 pour l’instant), le site de la mairie n’est pas du tout à jour, par exemple, M. De Longevialle est toujours président du groupe Modem !

Certains élus de la majorité avaient demandé la démission du directeur général d’Alpexpo, ce dernier s’était exécuté, mais il a été remis en selle par le maire qui lui renouvelle toute sa confiance !

L’adjointe au logement qui tacle (à juste titre) les conseillers généraux socialistes de Grenoble qui ont voté l’abandon par le CGI des subventions pour la construction de logements sociaux (PLUS). Les deux conseillers généraux PS présents à ce moment là n’ont pas du tout apprécié cette mise en cause publique en conseil municipal le 26 avril.

Le PC râle dans la presse (mais pas au conseil municipal…) parce qu’il n’y a pas eu de débat dans la majorité sur la vidéo-surveillance et qu’il apprend les décisions d’implantation de caméras par la presse.

Le groupe GO tente, via son site internet, de mettre en cause la politique municipale appliquée pour les repas dans les cantines scolaires, en soutenant les demandes d’un groupe de pression exigeant des repas sans viande pour des motifs religieux. Mais évidemment il n’y a pas de débat sur cette question au conseil municipal.

Programme Local de l’Habitat (PLH)

Publié le 31 mars 2010

Le conseil de Métro a voté à une très large majorité (un seul contre, M. Chamussy représentant une partie de la droite grenobloise), le PLH 2010-2015 qui propose des engagements de la Métro et des communes en ce qui concerne les constructions et les réhabilitations de logements pour les 6 ans à venir. Les débats ont fait ressortir les désengagements de l’Etat et aussi malheureusement du Conseil général de l’Isère qui a décidé de diminuer ses aides à la construction du logement social lors du vote de son budget 2010. Globalement le PLH est positif, même si les efforts de certaines communes de l’agglomération ne sont pas à la hauteur des besoins et des exigences de la loi SRU – Solidarité et renouvellement urbain (minimum de 20 % de logements sociaux dans la plupart des communes).

Un toit pour chacun

Publié le 18 mars 2010

Des dizaines de personnes, dont des mineurs étrangers et de familles n’arrivent plus à s’abriter la nuit !!! Le centre municipal (capacité : seulement 55 places), les centres d’hébergement d’urgence sont soi disant saturés. Le principal responsable de cette situation : l’ÉTAT, et donc le Préfet de l’Isère qui refuse d’user de son droit de réquisition.

Pour exiger de l’État, de la Préfecture un TOIT POUR CHACUN, été comme hiver, et alors qu’arrive la fin de la trêve hivernale…

Un collectif d’associations appelle à VENIR AVEC UNE COUVERTURE devant la Préfecture- Place De Verdun MERCREDI 24 MARS 2010 à partir de 17H

Télécharger le tract en PDF (1Mo)

ACIP Asado- ADA- ADES- Afric’Impact- Alternatifs (Les)-AGSPA- Apardap – CADTM- CIIP- Collectif de soutien aux réfugiés algériens- Comité de soutien échirollois de soutien aux sans papiers- Comités Ras l’Front Grésivaudan et du Voironnais- Coordination iséroise de soutien aux sans papiers- Fournil (le)- Ligue des Droits de l’Homme- Lutte Ouvrière- NPA- PAG 38- PAS 38- PCF Isère- PS 38- RESF 38- RUSF 38- Solex- Solidaires- Sud Education- Verts Isère

Le Rouge & le Vert n° 106

Publié le 17 octobre 2007

Juillet septembre 2007

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RV 106 – Au sommaire…

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