L’association Vivre à Grenoble a déposé ses 17 000 signatures contre le projet de l’Esplanade. La Mairie a fait savoir qu’elle organiserait un débat sur cette question au conseil municipal, mais sans préciser dans quel cadre. Le groupe des élus « Ecologie et Solidarité » a déposé une question orale au prochain Conseil municipal du 18 février pour demander au maire comment va être organisé ce débat. L’association Vivre à Grenoble a demandé que ce débat ait lieu lors d’un conseil extraordinaire et dans un lieu permettant aux nombreux habitants d’y assister et non lors d’un conseil municipal habituel. A suivre …
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Dépôt des 17 000 signatures contre le projet de l’Esplanade
Urbanisme : la Propagande au rouleau compresseur
Pas contents les Grenoblois de tous ces projets immobiliers qui ces dernières années étouffent la ville ? Pas contents de cette frénésie des promoteurs soutenus et encouragés par la majorité municipale ? Qu’a cela ne tienne.
Campagne d’affichage dans toute la ville, occupation intempestive de l’espace public place Victor Hugo pour drainer un public que l’on espère nombreux jusqu’à la Plate-Forme place de Verdun, ajoutons le hors série des « Nouvelles de Grenoble » et voilà l’opération « Grenoble Factory ». Faute de véritable dialogue avec la population, la majorité municipale utilise ainsi sa force de frappe, la communication, jusqu’à l’écœurement, avec les deniers publics ouvrant ainsi sa pré-campagne électorale.
Lesdiguières, encore un projet monté en coulisses !

Projet Lesdiguières, janvier 2013
On y voit un peu plus clair dans le projet caché autour du stade Lesdiguières. Le maire et la majorité municipale ont donc décidé une très grande opération de rénovation et d’extension du stade Lesdiguières dédié au FCG, le club de Rugby qui est remonté en top 14. Au moment où le maire et son adjoint à l’immobilier ne jurent que de politique d’urbanisme d’agglomération, voila encore une décision de principe prise par un petit cercle, sans débat public, qui oublie l’existence un grand stade d’agglomération vide qui ne verra pas d’équipe de football de haut niveau avant de longues années. Bien sûr, le club du FCG a forgé son identité à Lesdiguières, mais l’intérêt général commande en cette période difficile d’économiser les derniers publics. La Métro se tait alors qu’elle devrait parler haut et fort et demander à Grenoble de revoir sa copie.
Le Président du FCG n’exprime pas d’opposition de principe à ce que le FCG devienne le club résident au stade des Alpes à condition qu’on ne le chasse pas dans quelques années. La tradition rugby est plus forte que la tradition football à Grenoble. Si à l’a venir le GF38 redevenait professionnel, il pourrait alors profiter d’un stade Lesdiguières bien adapté à un club de niveau de national ou de 2ème division. Rappelons tout de même que les stades sont des équipements publics et que les clubs professionnels n’en sont que locataires et n’ont pas à être aidés par les collectivités publiques. S’ils veulent être libres, ils doivent financer eux-mêmes leur stade. En général les loyers sont très faibles, trop faibles et la Métro a déjà été sanctionnée par le Tribunal administratif lorsque le GF38 était le club résident du Stade des Alpes
Menaces sur la qualité de l’eau de Grenoble ? Suite
Le 17 janvier, nous lancions une alerte sur une potentielle menace sur la qualité de l’eau de Grenoble par une éventuelle remise en eau du Drac au droit du puits de pompage PR4 de l’eau de Grenoble.
Les défenseurs de cette remise en eau, qui est écologiquement positive, ont peut-être lu un peu trop rapidement cette alerte en l’interprétant comme une hostilité de l’ADES au principe de cette remise en eau. La plupart de l’alerte était au conditionnel et le titre se terminait par un point d’interrogation. Voici donc quelques compléments d’information.
Démocratie locale, un échec du mandat municipal
Le scrutin municipal est maintenant le seul horizon des élus obsédés par leur réélection. La majorité municipale de Grenoble sait bien que la démocratie locale est un des grands échecs de son mandat. Aussi s’emploie-t-elle à le faire oublier en lançant une opération d’évaluation des démarches de démocratie participative afin de démontrer qu’elle est ouverte à des améliorations ultérieures. Oubliez ce que je n’ai pas fait, je vous promets que demain ce sera différent !
Réunions sur le budget 2013
Comme d’habitude, la majorité municipale présente le budget 2013 dans chaque secteur. Il faut espérer que les interventions des élus soient plus courtes que d’habitude pour laisser du temps aux questions des habitants. Il faut aussi regretter que le projet de budget ne soit pas discuté publiquement avant le vote du Conseil municipal. Cette année il y a eu un léger progrès puisqu’il y a eu en 2012 une présentation publique des orientations budgétaires, mais avec un scénario unique ce qui enlève beaucoup de l’intérêt à ce genre d’exercice. Rappelons que la majorité municipale s’était engagée à mettre en place des formations sur le budget et que ceci n’a jamais été fait.
CCS3, vous avez dit démocratie locale ?

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La cogestion du CCS3 par les deux coprésidences élu et habitant est l’exemple à ne pas suivre.
Le coprésident habitant est aussi le président de l’Union de quartier et un soutien actif de la majorité en place. La coprésidente élue du secteur (Mme Nepi) a des pratiques indignes d’une élue de la république.
Suite à la réunion du Conseil consultatif de secteur – CCS3 du 12 décembre, J.M. Barnier qui avait accepté d’être le référent de la commission vie urbaine du CCS3, démissionne faute d’en avoir pu faire le rapport. Celui-ci était pourtant prévu à l’ordre du jour, et évoquait notamment le projet Lesdiguières (projet très contestable qui est en train d’être mis en place en catimini), mais la coprésidente a décidé de passer à autre chose. Deux autres rapports de commissions ont aussi été « oubliés ».
Le CCS3 n’est plus que l’ombre de lui-même et se délite complètement.
Démocratie locale : l’art de s’attirer les foudres
Il n’aura pas échappé aux observateurs même ponctuels que ces dernières années, la tendance s’aggrave. A chaque nouvelle séance du conseil municipal de Grenoble, la moindre rumeur d’une éventuelle protestation des habitants provoque chez les élus de la majorité une effervescence quasi irrationnelle. Pas question pour le public d’entrer dans la petite partie de la salle du conseil qui lui est réservé, sans avoir montré patte blanche (fouilles des sacs, contrôle des entrées, ouverture des portes à la discrétion des huissiers même si les débats du conseil ont commencé…).
Plus de 8000 Grenoblois demandent l’annulation du projet actuel de l’Esplanade
Depuis des mois, l’association VIVRE A GRENOBLE fait signer une pétition contre le projet actuel de l’Esplanade, elle a recueilli plus de 17000 signatures sur l’agglomération dont 8000 Grenoblois. Il s’agit de la plus importante pétition jamais réalisée à Grenoble, ce qui démontre que ce projet est très fortement contesté par les Grenoblois et les habitants de l’agglomération.
Les signataires demandent :
- l’annulation du projet actuel de ZAC sur le site historique de l’Esplanade
- une révision générale du Plan Local d’Urbanisme de la commune de Grenoble
Le Conseil municipal a voté une charte de la démocratie locale dans laquelle son article 14 dit que :
“La Ville de Grenoble s’engage à mettre en place la procédure d’alerte citoyenne qui donne accès à l’ouverture d’un débat en Conseil municipal à partir de 8000 signatures d’habitants de Grenoble, recueillies sur un sujet donné. »
VIVRE A GRENOBLE demande donc que le maire mette en œuvre l’article 14 de la Charte de la Démocratie locale en organisant un débat extraordinaire en conseil Municipal sur le projet Esplanade en prenant en compte la demande des habitants.
Conseil municipal du 22 octobre 2012 : le courant passe avec le privé
Lors des conseils municipaux, parfois nous assistons à des débats de qualité, arguments contre arguments, mais malheureusement trop souvent le maire qui est maître des débats et sa majorité municipale dénaturent la discussion par des affirmations péremptoires qui ne sont étayées en rien. L’exemple du débat sur le service public municipal du gaz et de l’électricité et son concessionnaire la SEM GEG est de ce point de vue caricatural.
Voila une décision qui engage la Ville et les usagers des services publics du gaz et de l’électricité jusqu’en 2042, qui est prise sans aucune concertation avec les habitants et sans aucun débat public. Cela se passe à peu près de la même manière que pour la privatisation de l’eau en juillet 1989 par le maire corrompu.
On ne sait toujours pas pourquoi le conseil municipal devait voter en catastrophe la concession du gaz et de l’électricité à GEG jusqu’en 2042. Il n’existe aucune raison objective de précipiter cette décision, le contrat actuel -passé irrégulièrement par MM. Carignon et Gascon- prenant fin en avril 2016. Visiblement la majorité municipale qui ne voulait prendre aucun risque lors de l’élection de 2014, maintient son dialogue avec le groupe GDF- Suez (Lyonnaise des Eaux) introduit dans ce service public en 1986 par le maire corrompu.
Dossier GEG : le retour en régie publique était possible et souhaitable
Puisque la majorité municipale a fuit le débat sur une question d’importance, l’ADES apporte des éléments précis et fondés sur l’intérêt d’un changement de mode de gestion des services publics du gaz et de l’électricité à Grenoble. Ces réflexions valent aussi pour la Compagnie de Chauffage mais à un niveau intercommunal. Les modes de gestion des services publics ne sont pas neutres. La Compagnie de Chauffage est dirigée par un directeur salarié de l’actionnaire privé et le contrôle des actionnaires publics est inexistant. La reprise du pouvoir de la collectivité et des usagers passe par la gestion directe en régie publique dont la souplesse est bien supérieure à ce que laissent croire la majorité municipale. Pourtant l’exemple de la Régie de l’eau de Grenoble, qui est un vrai succès, devrait ouvrir les esprits sur cette question. Mais il est vrai que M. Destot n’en voulait pas et nous lui avons imposé le retour en régie contre son gré.
M. Destot, ne volez pas aux Grenoblois-es le débat sur le service public de l’énergie à Grenoble !
Communiqué de presse d’Europe-Ecologie-les Verts Grenoble, ADES, Les Alternatifs
Enorme surprise : la majorité municipale PS-PC-Modem-Divers droite de Grenoble a décidé le renouvellement du contrat de concession de distribution et de fourniture d’électricité et de gaz sur le territoire de Grenoble à la SEM-GEG pour une durée 30 ans sans aucun débat public ni mise en concurrence, la transaction se faisant de gré à gré ! Cette délibération très lourde de conséquences pour tous les Grenoblois-es sera proposée au vote lors du conseil municipal du 22 octobre.
Combien de Grenoblois-es ont entendu parler du renouvellement du contrat de Gaz et Electricité de Grenoble (GEG) ? Très peu. Trop peu !
Pourtant dans les articles 1 et 10 de la charte de la démocratie locale « La Ville de Grenoble s’engage à créer les conditions de confiance réciproque, d’échange et de respect mutuel entre les habitants et la Municipalité, en informant régulièrement les Grenoblois, en rendant lisibles et compréhensibles les projets et en motivant ses décisions. (…) la Ville de Grenoble s’engage à mettre en place une consultation des Grenoblois ». Toutes ces belles affirmations sont balayées d’un revers de main !
Tout de GO !
Comment ne pas être admiratif devant tant d’audace, de détermination, de convictions profondes développées par le mouvement politique local (appendice du PS) appelé GO Citoyenneté. Pour s’en convaincre il faut lire l’article du quotidien régional daté du 16 octobre dernier, intitulé « GO Citoyenneté prépare 2014 » ce qui constitue en soi un scoop, et sous titré « vers un projet municipal ». Où l’on constate à quel point la préposition « vers » marque une réelle détermination. Quant au projet, il pourrait prôner « l’organisation de l’urbanisation et des services lui étant dédiés à l’échelle de l’agglomération ». On en frissonne ! L’emploi du conditionnel dit tout de l’audace de ce mouvement dont les élus qui sont dans la majorité droite-gauche municipale, ont toujours voté sans mot dire (et surtout sans maudire) toutes les délibérations.
Services publics de l’énergie : une atteinte grave à la démocratie
Question : êtes vous d’accord pour qu’une municipalité décide de l’évolution de services publics essentiels jusqu’en 2035 et 2042, sans débat public préalable ?
Evidemment non, puisque vous connaissez par cœur la charte de la démocratie locale votée par le conseil municipal de Grenoble et qui l’engage.
Comme l’indique le site internet de la Ville : « La Charte de la démocratie locale affirme que chacun, sur la base d’une information régulière et de qualité, peut contribuer à améliorer la vie locale en participant à la conception des politiques publiques municipales. » En voici quelques articles :
Article 1 : La Ville de Grenoble s’engage à créer les conditions de confiance réciproque, d’échange et de respect mutuel entre les habitants et la Municipalité, en informant régulièrement les Grenoblois, en rendant lisibles et compréhensibles les projets et en motivant ses décisions.
Article 8 : La Ville de Grenoble s’engage à associer la population à toutes les étapes de la réalisation d’un projet, de la conception à la mise en œuvre et à l’évaluation, en assurant la continuité des démarches de concertation. Les moyens de la concertation sont proportionnés à l’importance du projet.
Article 10 : Sur chaque « grand projet » relevant de sa compétence, la Ville de Grenoble s’engage à mettre en place une consultation des Grenoblois, ainsi qu’un comité de suivi et d’évaluation composé des acteurs locaux concernés.
Etc,etc…
Or on apprend que le 22 octobre prochain le Conseil municipal est appelé à voter la prolongation de la concession à GEG (Gaz Electricité de Grenoble) pour la distribution d’électricité et de gaz à Grenoble, jusqu’en 2042 ! Mais ce n’est pas tout, la même formule sera appliquée un peu plus tard pour la concession du chauffage urbain à la Compagnie de chauffage – CCIAG jusqu’en 2035.
Les Unions de Quartier se rebiffent
Une initiative suffisamment rare pour être signalée. Cinq Unions de Quartier (Centre-Gares, Championnet-Bonne-Condorcet, Foch-Libération, Centre Ville et Berriat-St Bruno-Europole) viennent d’envoyer le 20 juin, une lettre au maire et à l’adjoint aux déplacements à propos du maintien de places de stationnement sur le cours Jean Jaurès. La question du stationnement des résidents au centre ville est une question qui n’est pas prise en compte avec suffisamment d’attention par la majorité municipale. Voila encore un projet d’aménagement (les contre-allées du cours Jean Jaurès) qui n’a pas été élaboré avec les habitants. Vous avez dit : charte de la démocratie locale !
Décès de Maurice Fournier
« C’est d’ailleurs là le rôle des élus, d’être à l’écoute des habitants »
C’est un pilier des Unions de Quartier et du CLUQ qui disparait. M. Fournier a été durant 15 ans le président de l’Union de quartier Arago-Jean-Macé, Martyrs. Pour lui rendre hommage, nous reproduisons l’interview qu’il nous avait donné en mars 2009 où il exposait sa vision de l’avenir de son quartier :
Mais pourquoi la relance des CSS a échoué ?
La mairie a fait un très gros effort de relance des conseils consultatifs de secteur – CCS (affiches, distributions de tracts…) et pourtant peu de nouveaux postulants se sont déplacés dans les réunions publiques.
Cet échec était malheureusement prévisible car la majorité municipale n’a pas su faire vivre ces conseils consultatifs par peur de ne pouvoir les contrôler. On a même pu constater que la majorité avait à plusieurs reprises essayé d’utiliser des avis de CCS pour justifier ses décisions.
Les habitants ne sont pas persuadés que ces conseils peuvent être un lieu de propositions, de réflexions et que la majorité les écoutera et leur donnera les moyens de travailler. Pourquoi les habitants se précipiteraient et se mobiliseraient en ayant le sentiment qu’ils seront instrumentalisés ? C’est dommage car les lieux de débat sur les grands projets sont rares et les CCS peuvent être des lieux de formation, d’information et même de création de bonnes idées. Il y a ici ou là quelques exemples positifs, mais ils sont trop rares.
Les sophistes du boulevard J. Pain
L’aventure, car c’en est une, commence un beau jour du mois de juin 2012 à la mairie de Grenoble. Des habitants, dont certains membres de l’association « Vivre à Grenoble » sollicitent après une première tentative des élus du groupe « Ecologie et Solidarité », des documents auprès du service Urbanisme de la ville. Ils souhaitent en effet, obtenir une copie des rapports rendus par le commissaire enquêteur sur la modification n°2 du PLU (Plan Local d’Urbanisme) et la Révision Simplifiée du PLU, secteur Esplanade. Enorme tâche pour cet homme qui a dû travailler sur deux dossiers d’urbanisme majeurs qui l’ont inévitablement conduit à retarder le dépôt de ses rapports au 31 mai 2012.
Se fondant sur l’article 123-21 du code de l’Environnement qui stipule entre autres : « …copie du rapport et des conclusions est également adressée à la mairie de chacune des communes où s’est déroulée l’enquête et à la préfecture de chaque département concerné pour y être sans délai tenue à la disposition du public pendant un an à compter de la date de la clôture de l’enquête », nos requérants sont alors parfaitement confiants. Nous sommes début juin et il n’y a aucune raison pour que ces rapports ne soient pas mis à disposition du public conformément à la loi. Mais c’est compter sans le refus opposé par quelques fonctionnaires qui invoquent les ordres d’une hiérarchie apparemment plus politique qu’administrative. Zélés ces fonctionnaires n’ont pas hésité à fourbir un argument, repris et confirmé par le directeur de cabinet du maire de Grenoble, qui, s’il ne relève pas de l’absurde, du surréalisme ou de l’abracadabrantesque pour reprendre une formule célèbre, a quelque chose à voir avec le sophisme.
Les enquêtes publiques sur le PLU, enfin accessibles !
Le mardi 12 juin dans l’après midi (soit avec 12 jours de retard !), les Grenoblois ont pu enfin accéder aux rapports et conclusions du commissaire enquêteur sur les transformations du PLU (Plan Local d’Urbanisme) concernant une très grande surface de la ville : Esplanade, Presqu’île, Flaubert et Châtelet. Comme on pouvait l’imaginer, le commissaire enquêteur a mis deux mois de plus que prévu pour rédiger ses rapports et conclusions. En effet, malgré leur importance les dossiers ont été confiés au même commissaire par la volonté de la ville. Ce dernier a donné des avis favorables sans aucune réserve, mais quelques recommandations. Le conseil municipal du 25 juin va arrêter les transformations du PLU suite à ces enquêtes. Ce n’est qu’à l’automne que le conseil municipal mettra en chantier la révision générale du PLU imposée par la loi. Mais comme toutes les grandes opérations d’urbanisme auront été lancées, il ne s’agira que d’un simple toilettage, sauf si les habitants imposent la mise en place de véritables ateliers populaires d’urbanisme pour un travail de fond sur le PLU afin de dessiner une ville à visage humain, pour tous et débarrassée de la spéculation et de l’emprise des promoteurs avides de gros profits comme trop souvent actuellement.
Mais pourquoi avoir bloqué pendant 12 jours l’accès aux rapports du commissaire enquêteur au mépris de la loi ?