Après le coup de massue dû à la décision du tribunal de commerce entérinant la cession de Vencorex à BorsodChem / Wanhua, la CGT tire la sonnette d’alarme sur les risques en matière de sécurité et d’environnement pour le site (classé Seveso seuil haut) de Pont-de-Claix. Les élus syndicaux ont lancé, mardi 15 avril, un « danger grave et imminent » et un « droit d’alerte santé publique et environnement« . Ils ne comprennent pas comment un jugement a pu ordonner une cession alors que l’organisation de la sécurité n’est pas effective sur la plateforme Seveso seuil haut, ils en ont informé la préfète de l’Isère, la Dreal, l’inspection du travail et le maire de Pont-de-Claix.
Par ailleurs, représentant les syndicats (CGT, CFDT, CFE-CGC) et des associations, l’avocat Pierre Janot a interpellé le 16 avril les industriels, sommés d’assumer la charge et le coût de dépollution de la plateforme chimique. « Cette plateforme, qui a fonctionné pendant 120 ans, qui a enfoui ses déchets sur une zone à risque, doit maintenant traiter le problème parce qu’il n’y a plus d’exploitant sur ce site, plus de sécurité ni de maintenance », estime l’avocat. « Vencorex est à la fin d’une véritable chaîne d’exploitants (…) et devient aujourd’hui le légataire, celui qui a une obligation de dépollution du site en tant que dernier exploitant, plaide-t-il. C’est une bombe à retardement chimique, tout simplement parce qu’on en perd le contrôle. » Il somme la société mère de Vencorex, PTT Global Chemicals, de démanteler les unités de production qui n’ont pas été reprises. Une mesure, indispensable pour que les collectivités locales n’aient pas à assumer ces charges.
Inspirés par « L’Affaire du Siècle », 14 personnes lancent une action en justice contre l’État, accompagnées par Greenpeace France, Oxfam France et Notre Affaire à Tous, pour exiger une meilleure protection. Elles l’accusent de manquer à son obligation de protéger tous·tes les citoyen·nes face aux conséquences du changement climatique.
Le gouvernement a présenté son troisième plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC-3) le 10 mars 2025. Le contenu de ce plan est largement insuffisant : il ne protège pas efficacement, ni de façon juste, les populations exposées aux risques climatiques et ne garantit pas un financement à la hauteur des enjeux. Une fois encore, les réponses apportées sont trop lentes, trop faibles et trop éloignées de la réalité des sinistré·es.
Manque d’eau potable, maisons fissurées, pertes agricoles : énormément de Français·es subissent déjà, au quotidien, les conséquences d’un État qui ne les protège pas suffisamment et manque à l’une de ses missions.
Le tribunal de commerce de Lyon a rendu son délibéré, il donne le feu vert à la proposition du groupe chinois Wanhua BorsodChem de maintenir une activité croupion d’environ 50 personnes, pour un prix de cession de seulement 1,2 M€.
Evidemment la solution de la coopérative manquait cruellement de temps pour avoir suffisamment de fonds pour reprendre plus de 270 emplois et les anciennes activités de Vencorex qui auraient permis d’éviter d’autres licenciements dans les autres entreprises de la plateforme.
Le tribunal de commerce juge irrecevable le projet de reprise des salariés, car les financements réunis ne permettaient pas de garantir la mise en sécurité du site au-delà de quinze jours.
La responsabilité de l’Etat est vraiment engagée, la lenteur de ses réactions, le désintérêt de ce qui peut se passer sur un territoire, alors qu’il lui suffisait d’avancer une somme relativement modeste pour permettre un redémarrage et attirer d’autres industriels. Il a laissé volontairement pourrir la situation depuis septembre 2024.
L’inauguration du nouveau Lycée Mounier a eu lieu le 10 avril 2025 en présence du maire de Grenoble, de la vice-présidente de la Région chargée des lycées, du recteur de l’Académie nouvellement arrivé et du proviseur du lycée. Une visite détaillée des bâtiments a permis de découvrir un lycée moderne, aux normes environnementales actuelles et de plus avec des équipements modernes et en nombre permettant aux enseignants et aux élèves d’étudier dans de bonnes conditions.
De nombreuses personnes ayant participé à la lutte qui a permis d’éviter la disparition du lycée ont découvert avec beaucoup d’émotion le résultat de leur combat débuté en 2010, qui a été rappelé par le maire de Grenoble, Eric Piolle, qui au début de cette histoire était conseiller régional.
Pour lire un court rappel de cette histoire, où l’ADES a apporté un efficace soutien, voir ici.
Il faudra attendre quelques jours pour connaitre la décision du tribunal de commerce de Lyon sur l’avenir de Vencorex, l’audience a eu lieu jeudi 3 avril et le tribunal a mis en délibéré, le jugement sera rendu public le 10 avril.
Il y a toujours seulement deux offres ; soit le tribunal décide la liquidation de Vencorex soit il choisit l’une des deux offres :
Celle du groupe chinois Wanhua BorsodChem qui propose de reprendre très peu de salariés, une cinquantaine.
Celle de la SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) portée par des salariés de Vencorex, la Fédération nationale des industries chimiques (FNIC-CGT) et plusieurs collectivités locales, dont la métropole, des communes et prochainement la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ce projet envisage la reprise totale des actifs corporels et incorporels de Vencorex, ainsi que 273 employés sur les 301 que compte désormais l’entreprise, après une première vague de licenciement en mars. Les salariés proposent un prix symbolique de 2 euros pour cette reprise.
Le système mis en place à la préfecture de l’Isère était dénoncé par les associations de soutien aux étrangers car il était conçu pour les décourager lors du renouvellement des titres de séjour.
L’ADA (Accueil des demandeurs d’asile), l’APARDAP (Association de parrainage républicain des demandeurs d’asile), l’ODTI (Observatoire des discriminations et des territoires interculturels, l’Institut de défense des droits de l’homme (IDH) et la Cimade ont déposé un référé pour que soit notamment suspendu le système de téléservice mis en place par la préfecture de l’Isère sans qu’aucune modalité alternative ne soit prévue. Les interventions du Groupe d’Information et de Soutien aux Immigrés et du Syndicat des Avocats de France sont admises par le juge.
Le Tribunal administratif de Toulouse annule ce jeudi 27 février l’autorisation environnementale du chantier de l’autoroute A69, autorisation délivrée par la Préfecture. Il suit l’avis de la rapporteuse publique qui a requis l’annulation en raison de « l’absence de raison impérative d’intérêt public majeur ».
Enfin la justice administrative prend la mesure des torsions, raccourcis et faux-semblants avancés par les aménageurs, avalisés par les Préfectures pour justifier à tout prix bétonnages et bitumages attentant gravement au monde agricole, à la ruralité et à notre territoire, à l’opposé des engagements formels de la France.
La justice tranchera à son tour pour le projet RD1075 dans le Trièves.
Depuis des mois le collectif « Bouge ta pref » se mobilise pour que la préfecture arrête d’empêcher les sans-papiers de pouvoir accéder au service pour demander ou renouveler leur titre de séjour.
Le 24 mars 2025 à 11h aura lieu l’audience au tribunal administratif de Grenoble, concernant le référé suspension à propos du « défaut d’accès au service public » constaté par les associations. Le même jour à 10h est prévu un rassemblement place de Verdun pour soutenir cette action.
Cette pression sur la préfecture a eu pour conséquence que la préfète de l’Isère a publié un communiqué le 14 mars 2025, qui annonce une nouvelle organisation des rendez-vous, pour chercher à éviter une suspension imposée par le tribunal administratif.
Manifestation à Grenoble le samedi 08 mars 2025, rendez-vous à 14h à l’arrêt de tram B Cité internationale (rue Félix Esclangon).
Voici l’appel intersyndical national signé par la CFDT, la CGT, FO, la CFE-CGC, la CFTC, l’UNSa, Solidaires et la FSU.
Nous voulons enfin des actes ! L’égalité entre les femmes et les hommes n’est toujours pas une réalité dans nos entreprises et administrations.
L’égalité professionnelle s’inscrit dans un projet de société et nécessite une volonté à la fois politique et budgétaire. Les législations successives et la mise en place de l’index égalité pour tenter de corriger les écarts ne suffisent pas.
Ce constat que nous posons, année après année est largement admis et pourtant il n’y a aucune réelle volonté du patronat et des gouvernements successifs pour appliquer et faire appliquer la Loi et aboutir à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
Le 6 mars, le tribunal de commerce de Lyon a étendu la période d’observation de Vencorex, placée en redressement judiciaire le 10 septembre dernier. Le délai supplémentaire est de six mois avec une audience intermédiaire programmée le 3 avril.
Pour le tribunal, une seule offre viable est sur la table : celle des salariés, regroupés en SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif). L’offre de l’entreprise hongroise BorsodChem, qui appartient au groupe chinois Wanhua, n’est pas pour l’instant jugée assez aboutie, elle doit être finalisée, elle ne proposait de reprendre que 50 salariés sur 450.
La SCIC, portée par la CGT, est une réponse au désastre social que représenterait la fermeture de Vencorex pour tout le bassin d’emploi avec l’effet domino sur toute la plateforme chimique. La SCIC serait portée par les salariés et la Fédération nationale des industries chimiques (FNIC-CGT) avec le soutien de plusieurs collectivités locales et territoriales.
Six mois c’est court et Sylvie Dejoux, élue CGT au CSE de Vencorex a déclaré à la sortie du tribunal : « On aurait aimé un peu plus longtemps, mais on va mettre à profit ce temps pour concrétiser notre offre ».
Le Premier ministre s’était engagé à répondre le 20 février aux demandes des syndicats et de nombreux élu-es du territoire sur l’avenir de Vencorex et d’Arkema. La réponse le 21 février est reçue comme une claque par les salariés et les élu-es.
Le gouvernement ne veut pas d’une nationalisation provisoire de Vencorex, ce qui devrait conduire à la reprise par BorsodChem de 50 salariés de Vencorex sur les 460, seule proposition qui devrait être examinée par le tribunal de commerce de Lyon le 6 mars.
Les conséquences sur les autres activités de la plateforme risquent d’être très négatives, le premier ministre renvoyant les solutions vers les élu-es locaux : « Je souhaite vivement qu’un avenir soit donné à la plateforme de Pont-de-Claix par l’intermédiaire d’un pacte territorial avec les élus locaux. Les travaux (…) permettront d’identifier précisément les actions à mener, les acteurs à mobiliser et les modalités de prise en charge des coûts de démantèlement et de dépollution ».
Pour lui il n’y a pas de menaces sur la pérennité de certaines activités de la plateforme de Pont de Claix avec la disparition de l’approvisionnement en sel et chlore par Vencorex : « des solutions existent et permettent aux entreprises concernées (Arkema, Framatome, Ariane Group, ERDF) de ne pas être confrontées à des problématiques d’approvisionnement ». Le sel viendrait d’Allemagne et le chlore d’une autre source française.
Le 21 janvier 2025, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse n’avait pas suspendu les travaux de l’A69 car le tribunal allait statuer au fond le mois prochain. L’audience du Tribunal administratif qui s’est tenue mardi 18 février dernier ne laissait que peu de doutes sur l’issue des débats. La rapporteure publique introduisant les débats a eu des mots assez durs contre la raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM) accordée par le préfet au projet d’autoroute A69 reliant Toulouse à Castres. Cette RIIPM permettait au concessionnaire de se soustraire aux obligations de préserver les espèces protégées.
Le tribunal a jugé le 27 février 2025 que le projet autoroutier est annulé faute de nécessité impérieuse à le réaliser.
Mais il peut y avoir appel, ce qui repoussera le projet et souhaitons-le, tuera définitivement cette aberration.
Voici le commentaire du tribunal et le lien pour lire ce jugement historique :
Les juges invoquent une violation de l’article 2 de la Convention européenne des droits de l’homme, concernant le « droit à la vie ».
« Le droit de toute personne à la vie est protégé par la loi. La mort ne peut être infligée à quiconque intentionnellement, sauf en exécution d’une sentence capitale prononcée par un tribunal au cas où le délit est puni de cette peine par la loi. La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire… »
Rémi Fraisse âgé de 21 ans, avait été tué par l’explosion d’une grenade offensive lancée par un gendarme, dans la nuit du 25 au 26 octobre 2014.
L’effet domino est en train de se mettre en place sur la plateforme chimique du sud grenoblois de Pont de Claix à Jarrie. Après Vencorex, à Pont de Claix, qui abandonne sa fabrication de sel en supprimant 450 postes, c’est la direction d’Arkema qui propose de licencier 154 salariés à Jarrie, sur un total de 344 et ce avant fin 2025. Donc presque 50% de suppression de postes.
Les salarié.es l’ont appris le 21 janvier lors d’un Comité Social Economique qui se tenait au siège d’Arkema France. Ils craignaient cette situation et s’étaient mis en grève.
Arkema dépend de Vencorex pour fabriquer le chlore et ses dérivés à partir du sel, mais Vencorex a décidé d’abandonner cette production et cette partie de son activité sera peut-être liquidée en mars 2025 après le jugement du Tribunal de commerce de Lyon.
Ce sont plus de 600 emplois directs qui sont menacés par les décisions des deux entreprises internationales, avec tous les drames associés à ces pertes d’emplois et les conséquences sur les activités locales.
Depuis plus de 8 mois, le SMMAG n’avait pas pris de position concernant l’avenir de ce projet. Le président du SMMAG vient d’indiquer avec un certain flou ou un flou certain, des éléments concernant un éventuel avenir à ce projet. Il renvoie à deux ans une éventuelle conclusion suite à de nouvelles études. Il n’y a pas d’enterrement mais pas d’avenir clair pour l’instant.
Première information, le SMMAG ne sollicitera pas de déclaration d’utilité publique pour le projet actuel, ce qui est effectivement prudent suite à l’enquête publique ; deuxième information, le président admet qu’il y a eu des erreurs dans ce dossier, sans préciser lesquelles.
Puisqu’Arkema n’a pas proposé de reprendre l’activité « sel » de Vencorex, l’effet domino d’une fin de production tant redoutée, était enclenchée ! De plus l’absence de politique industrielle du gouvernement sur ce secteur chimique laisse les entrepreneurs seuls face à une concurrence asiatique très efficace.
Sans le sel de Vencorex, la direction d’Arkema étudie l’abandon de la production de chlore, soit environ 120 licenciements en fermant la partie sud de la plateforme.
Les personnels des deux entreprises sont en grève illimitée, les salariés d’Arkema ont rejoint ceux de Vencorex
Face à cette destruction de toute une filière les salariés demandent une nationalisation partielle et temporaire de cette branche industrielle de la chimie. Cela coûterait plusieurs centaines de millions d’euros, mais ce serait tellement moins destructeur envers les salarié.es et moins coûteux financièrement que des fermetures et des dépollutions.
Les gouvernements successifs n’ont rien fait pour éviter ce drame et les destructions d’emplois industriels se multiplient dans tout le pays.
Reste à réfléchir à l’avenir à moyen et long terme de la chimie grenobloise, qui n’a pas que des bons côtés. Historiquement elle a beaucoup pollué l’environnement et encore actuellement ses rejets dans la Romanche et le Drac dans le voisinage des champs de captage de Rochefort, ne sont pas acceptables.
Les cheminots sont en lutte pour la défense du fret ferroviaire. Il y a eu une action le 21 novembre, et il y a un appel à la grève pour le 11 décembre 2024. C’est un combat important qu’il faut soutenir très largement. Il y a un enjeu à la fois social et écologique.
Le projet gouvernemental de division de Fret SNCF en deux entreprises distinctes, qui sera mis en œuvre dès janvier 2025, est en réalité un projet de casse industrielle visant à liquider le fret SNCF. C’est un affaiblissement considérable du fret ferroviaire qui est programmé, avec des capacités réduites de moitié, alors que sa part dans le transport de marchandises est déjà très faible (10 % en France contre 17 % dans l’Union européenne). Il faudrait au contraire donner des moyens à la SNCF pour doubler la part du fret ferroviaire d’ici 2030 et respecter les engagements environnementaux pris au niveau international.
La casse programmée du fret ferroviaire au profit du privé signifie un accroissement important du nombre de camions, c’est à dire plus de pollution, de gaz à effet de serre, d’encombrement des routes et des autoroutes, et donc d’accidents graves. La casse du fret ferroviaire va forcément nuire au développement du train, alors que les déplacements en train doivent être au cœur d’une politique de transports à la fois sociale et respectueuse de l’environnement.
Samedi 16 novembre à partir de 14 h : 10 heures pour la Palestine à la Bourse du travail de Grenoble 32 Avenue de l’Europe. A l’initiative de l’AFPS et d’autres associations. Voir le programme : Rencontres : 10 heures pour la Palestine
La situation de l’emploi s’assombrit de plus en plus avec les nouvelles annoncent de nombreux plans sociaux dans l’industrie. Les appels à la grève se multiplient pour novembre et décembre en France. Les estimations de pertes d’emploi vont atteindre des chiffres importants comme l’indique l’étude de l’OFCE évaluant l’augmentation du taux de chômage de 7,3% à 8% en 2025 c’est-à-dire 220 000 pertes d’emploi supplémentaires.
La CGT recense déjà 200 plans sociaux partout dans l’hexagone, et estime à pas moins de 150.000 emplois détruits ces prochains mois, tant les restructurations vont s’accélérer dans de très nombreux secteurs : l’automobile, la chimie, le commerce…Il s’agit de la même stratégie des industriels : toujours augmenter les marges pour distribuer toujours plus aux actionnaires.
Dans ce contexte général, le tribunal de commerce de Lyon a décidé de prolonger la période d’observation de Vencorex jusqu’au 6 mars 2025. Une prochaine audience aura donc lieu, il ne peut pas y avoir de licenciements jusqu’à cette date. Pour rappel, la seule offre déposée vient du principal concurrent chinois de Vencorex et prévoit de reprendre seulement 25 personnes sur les 450.
Cette 29ème COP pour le climat se tiendra à Bakou en Azerbaïdjan, ce petit pays de moins de 10 millions d’habitant.es dirigé par une famille autocrate depuis 31 ans. Il n’y a pas de démocratie dans ce gouvernement, qui gère une nation devenue indépendante en 1991 après la chute du mur de Berlin, mais encore très liée à la CEI. Lae liberté d’expression n’y existe pas, Reporters sans Frontières classe l’Azerbaïdjan en 164ème position, sur 180 pays.
Le gaz et le pétrole sont ses principales ressources qu’il ne cesse de vouloir augmenter en forant à tout va.
Après 2020, l’Azerbaïdjian s’est emparé par la force du Haut Karabakh rattaché à l’Arménie et ainsi s’est facilité une liaison de transport souterrain du gaz et du pétrole vers une partie de son territoire séparée par l’Arménie.