Suite aux attaques violentes
du gouvernement contre les bailleurs sociaux qui doivent baisser les loyers
pour permettre au gouvernement d’économiser sur les APL des locataires du
logement social, les organismes HLM ont vu leurs recettes fortement baisser.
Les locataires payent des loyers diminués mais voient leur APL baissée
d’autant. Cette baisse de loyer n’est pas une politique d’aide aux locataires
mais une punition contre les organismes. Comme l’Etat s’est désengagé des
financements du logement social, les recettes des bailleurs sont dominées (à
plus de 85%) par les loyers, ici la solidarité s’opère par les plus modestes
pour les plus modestes ! Et tous les services apportés par le bailleur
social sont payés par les locataires.
Un organisme à loyer modéré
comme ACTIS se trouve en grandes difficultés car très présent dans les
quartiers prioritaires de la politique de la ville, où les APL représentent une
forte proportion des loyers. Ses fonds propres ont fondu d’où une diminution de
certaines prestations et il ne peut plus construire sauf à vendre du
patrimoine. Il n’est plus en état de participer efficacement à la construction
de nombreux logements sociaux dans l’agglomération. Or la demande de logements
sociaux y est très forte.
Le Rouge et le Vert suspend sa parution pendant la fin
de l’année et reprendra le 8 janvier 2021. Espérons que la crise sanitaire ne
va pas encore exploser après cette période car son contrôle n’est toujours pas
acquis. Une troisième vague serait dramatique, notre système de soins n’y
résisterait pas ainsi que de nombreux services publics qui sont à la peine par
manque de personnels disponibles. Soyons très prudents.
Dans
certaines situations de crise majeure, il convient d’agir en appliquant les
consignes du ministre de la Santé, alors que celui-ci a participé à la
détérioration des moyens de notre santé publique.
C’est
ainsi qu’alors que nous sommes très critiques sur les compromissions passées de
M. Olivier Véran, il faut constater qu’il est bien seul à alerter et
à agir en connaissance de cause pour faire ce qu’il peut pour la santé de la
population dans un gouvernement à la solde des Macron, Le Maire et autres
patrons soucieux principalement de maintenir les activités économiques coûte
que coûte.
Samuel Paty, professeur
d’histoire-géographie dans un collège est mort sauvagement assassiné par un
terroriste se revendiquant d’un islamisme politique radical et sectaire.
A Grenoble, dimanche 18
octobre un hommage lui a été rendu place de Verdun par plus d’un millier de
personnes dont de
nombreux enseignants. Ce rassemblement a témoigné de la solidarité avec la
victime et sa famille, affirmé un soutien à l’ensemble de la communauté
éducative et assuré de la mobilisation pour défendre la liberté d’expression et
la primauté de la laïcité dans l’organisation de la République.
C’est l’occasion de rappeler
encore et toujours les valeurs qui fondent notre République notamment
résumées dans les 17 articles de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen
de 1789 qui débutent par ce préambule :
Le Rouge et le Vert prend ses quartiers d’été, après une année très agitée par l’apparition de l’épidémie qui rode toujours et par une campagne électorale qui n’en finissait pas. Et une élection qui sent mauvais d’un président de la métropole élu avec les voix des tenants de la politique gouvernementale de la droite, des pro-corruption et de l’extrême droite. Les articles de ce numéro traitent de ce qui s’est passé le 17 juillet 2020.
Il reprendra sa parution vers
la fin du mois d’août.
Un
témoignage d’une militante de l’ADES et de sa fille, ce sont 2 voix et 2
générations de femmes noires (mère et fille) qui ensemble ont réagi et ont mêlé
leurs voix, leurs souvenirs et leurs peines :
Je suis NOIRE.
Pas
« black » mais NOIRE.
Une femme noire
en colère. Pas en colère comme l’étiquette de « Angry black woman », le
stéréotype de la « femme noire agressive » qu’on nous colle à la
peau, mais en colère car la pigmentation de ma peau a été, est et sera ce qui
conditionnera ma vie ainsi que celle de mes enfants et petits-enfants.
En colère parce
que je dois toujours faire profil bas car :
Alors que
l’exécutif gouvernemental avait soumis ses décisions aux préconisations des
scientifiques pour organiser le confinement, maintenant, de par la volonté jupitérienne
du Président de la République Macron ce sera la grande débrouille pour démarrer
un déconfinement partiel le 11 mai. Le Premier ministre a été plus prudent en
indiquant que si la situation sanitaire ne le permettait pas, il n’y aurait pas
de déconfinement le 11 mai.
Avant de
définir une politique publique du déconfinement il est nécessaire de disposer
et prendre connaissance des données sanitaires, épidémiologiques et des données
sur les moyens humains et en équipements, ainsi que des analyses du Haut Conseil
de la Santé Publique, du Conseil scientifique décidé par Macron (voir articles
à ce sujet). Il faudrait aussi avoir connaissance des données concernant les
commandes, actes de livraisons, état des stocks des masques, des lunettes, des
blouses, des tests, des respirateurs, des médicaments… C’est toujours le plus
grand flou.
La déclaration du Président de
la République contient une proposition très risquée de débuter un déconfinement
partiel par les écoles. Il nous avait
habitué à justifier plus ou moins ses décisions par les avis des comités
scientifiques qui l’entourent. Or pour l’instant, il n’y a pas eu de position publique
du comité scientifique proposant de débuter un déconfinement partiel par les
écoles, et de nombreuses interventions de scientifiques vont en sens contraire
(voir article ci-après).
Dans le discours présidentiel,
le déconfinement des écoles est présenté comme le préalable au redémarrage de l’activité
économique, on entend ici comme un parfum des propositions du Medef qui demande
à ce que les forces productives des parents soient libérées sans référence aux
exigences de santé.
Les contraintes du confinement et la paralysie des
institutions démocratiques qui en résultent ne permettent pas d’apporter la
transparence nécessaire à des décisions d’une telle importance. La dérive
présidentialiste, très 5ème République, continue de s’accroître avec
ces « oracles » jupitériens qui, sans aucun dialogue politique
préalable construit avec les parlementaires, partis, syndicats et collectivités
locales… décident d’inflexions fortes des politiques publiques. Or il faudrait
que soient mises en place, en toute clarté, des procédures de concertation pour
la définition de règles qui concernent directement et immédiatement la vie
quotidienne et l’avenir de 67 millions de citoyens. Il en va du respect de nos
principes fondamentaux comme de l’efficacité des mesures annoncées
Jusqu’à
ce que l’épidémie soit jugulée, l’ADES suspend toutes ses activités à part
l’édition de ce journal hebdomadaire qui va poursuivre l’information et les
réflexions politiques nécessaires à la vie démocratique. Il n’y a aucune raison
que le débat démocratique disparaisse sauf à gêner la mise en place des
solutions efficaces pour lutter contre l’agression du virus.
Le
confinement doit être scrupuleusement respecté, c’est selon les experts médicaux
notre seule arme efficace contre cette agression, il nous protège et protège
les autres.
Durant
cette dure épreuve nous constatons que ce qui compte le plus pour la vie en
société ce sont nos biens communs essentiels que sont les services publics.
Nous
saluons l’ensemble des personnels de services publics qui ont à cœur de remplir
leurs missions malgré les difficultés et tout particulièrement l’ensemble des
personnels soignants qui sont en première ligne pour sauver des vies et
soulager les malades, alors qu’ils ont été particulièrement malmenés ces
dernières années.
Les élections municipales sont
le moment où l’on choisit une équipe pour administrer durant 6 ans, avec l’aide
des agents salariés de la ville, du CCAS
et des
satellites, l’ensemble des services publics dont la ville a la compétence et aussi
les 36 élus grenoblois qui gèreront la Métropole avec les 83 autres conseillers
communautaires issus des 48 autres communes.
A Grenoble sept listes se
présentent aux suffrages des 86 400 électrices et électeurs.
L’ADES a dès le début de la
campagne électorale fait le choix de soutenir la liste « Grenoble en
commun » avec Eric Piolle, qui propose un fort renouvellement avec des
renforts politiques de toute la gauche, de l’ensemble des écologistes et de
nombreux citoyennes et citoyens qui s’engagent pour rendre leur ville plus
vivable pour toutes et tous. La liste comprend moins de la moitié d’anciens
élus (24 sur 61).
L’Association
pour la Démocratie, l’Ecologie et la Solidarité (ADES) présente ses meilleurs
vœux aux habitants de Grenoble et de l’agglomération en souhaitant que tout le
travail entrepris depuis 2014 à la Ville de Grenoble, à la Métropole et par les
citoyennes et les citoyens soit poursuivi et amplifié afin de préparer un
avenir vivable pour toutes et tous dans notre beau territoire.
Malgré
les grandes difficultés dues aux politiques nationales successives qui ont
appauvri et continuent d’appauvrir fortement les collectivités, les politiques
publiques locales menées à Grenoble et à la Métro ont permis d’éviter le pire
en tenant bon sur les solidarités envers les plus en difficulté par la défense
et la promotion des biens communs gérés en bonne intelligence par les services
publics contrôlés de près par les assemblées délibérantes (mobilités, logement
social, équipement et cantines scolaires, eau, assainissement, gaz,
électricité, chauffage urbain…) et les différents comités des usagers quand ils
existent. En développant les tarifications sociales quand c’est possible et en
résistant contre les fermetures à Grenoble des bureaux de poste imposées par le
gouvernement, en soutenant les personnels soignants contre la détérioration du
système de santé notamment dans les hôpitaux et contre la destruction du
système de retraite du plus grand nombre.
Le Rouge et le Vert suspend sa parution durant les congés de fin d’année et reprendra sa publication début janvier 2020, il souhaite à toutes et tous de profiter au mieux de cette période de fête, malgré les très mauvais coups assénés par le gouvernement Macron. Il y aura déjà à subir la loi de finances 2020 qui poursuivra les attaques graves et continues contre notre système de santé (en particulier les hôpitaux), le logement social, les finances des collectivités et les plus pauvres. L’attaque frontale contre le régime des retraites veut remettre en cause notre système de solidarité entre actifs et retraités ; il est essentiel que les résistances multiples bloquent ce très mauvais coup.
Le Rouge et le Vert suspend sa parution hebdomadaire pendant la période des vacances. Si des évènements locaux importants se déroulaient, une courte information sera faite. Bonnes vacances (pour celles et ceux qui peuvent en prendre) et rendez-vous à la rentrée qui sera studieuse et importante, notamment avec la préparation du budget 2020 de la ville de Grenoble et des réunions d’information et de formation citoyennes comme les années précédentes depuis 2014. Aussi la préparation des élections municipales qui va s’accélérer. On en saura plus sur les prétendants à la mairie, qui ont dû lire le sondage indiquant que les électeurs étaient plutôt favorables à conserver le maire en place…
A partir de
septembre 2019, la campagne électorale pour les élections municipales de mars
2020 va prendre de l’importance. C’est donc le moment de porter notre regard
sur les actions publiques locales, de la Ville de Grenoble et de la Métropole,
pour faire le point sur le chemin qui a été parcouru depuis mars 2014. Nous
mesurerons les grandes ruptures effectuées par rapport aux gestions passées et
elles sont nombreuses. Ces ruptures montrent que l’action publique n’est pas
vaine et qu’elle a des impacts sur nos vies quotidiennes beaucoup plus
importants que ce que l’on croit généralement. Ces politiques publiques
solidaires, écologiques et démocratiques valent d’être défendues et
développées, mêmes si quelques-unes n’ont pas été menées au bout.
L’action
publique locale, dans l’intérêt général, doit être défendue contre les intérêts
privés, contre le clientélisme et contre la corruption. Nous refusons un
certain défaitisme ambiant qui tend à laisser croire que l’action politique est
inefficace : ce qui a été réalisé par la majorité plurielle depuis 2014 à
Grenoble démontre clairement son efficacité. Des oppositions se sont contentées
du « Grenoble bashing » au
lieu de proposer des alternatives possibles.
Créé en 1983, au moment où le nouveau maire, qui va
devenir corrompu, prend en main la mairie de Grenoble. « Le Rouge et le
Vert » n’a cessé de porter les valeurs de démocratie, d’écologie et de
solidarité dans l’action publique à Grenoble et dans l’agglomération. Il a
porté l’idée, actuellement trop mise en cause, que l’action publique n’est pas
vaine lorsqu’elle s’attache à défendre les biens communs et qu’elle le fait
pour tous et que les élu-e-s sont formés à être les défenseurs de l’intérêt
général qui est rappelé dans les textes fondamentaux de notre République,
notamment la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.
Durant ces longues années, l’ADES à travers le Rouge et le Vert et ses
diverses actions, a accompagné de nombreux élu-e-s en les aidant durant leur
mandat. Lieu de réflexion, de formation et d’action, l’ADES poursuit son chemin
et participe aux mobilisations actuelles pour construire un avenir acceptable
pour tous dans notre agglomération. Elle sera vigilante pour que les
pratiquants de la corruption ne reviennent pas aux affaires publiques.
Le débat est toujours nécessaire dans une démocratie, mais pour qu’il serve à quelque chose il faudrait qu’il précise à quoi il va servir et c’est là où le bât blesse : la manière dont il est organisé et le contenu même du débat en fera un grand défouloir dont il ne sortira pas grand-chose ; sauf un grand catalogue non hiérarchisé.
Le pouvoir, dans la lettre du Président de la République, a clairement expliqué que le fond de sa politique économique et sociale ne changera pas mais qu’on peut discuter de tout ! Si des millions de personnes participent, ce sera quasi impossible de retracer correctement la diversité des opinions.
Si c’était pour connaitre dans le détail l’opinion de la population, un grand sondage (sur plusieurs dizaines de milliers de personnes) aurait été beaucoup plus intéressant en tenant compte de la diversité des situations géographiques, sociales, professionnelles, d’âges, de sexe, de conditions familiales, de formation, d’activités, de ressources, de convictions politiques… Cela aurait permis d’avoir une grande photographie à l’instant t de la population française, très utile pour réfléchir aux politiques efficaces et ciblées pour améliorer la vie de toutes et tous.
Mais en fait il s’agit seulement de trouver un moyen pour éteindre le mouvement des gilets jaunes et permettre au gouvernement de reprendre la main.
Pour tout savoir sur l’organisation du grand débat voir ici.
L’autorité administrative indépendante, la Commission national du débat public (CNDP) a été éliminée de l’organisation. C’est une reprise en main par l’exécutif.
Le Rouge et le Vert ainsi que l’ADES, présentent aux lecteurs leurs meilleurs vœux pour cette année 2019 qui promet d’être très particulière.
Face à une politique gouvernementale qui ne sait plus quoi faire, il faut espérer que les énergies citoyennes arrivent à trouver des débouchés positifs pour notre société démocratique, républicaine et laïque. La reconstruction de la cohésion sociale ne pourra se faire que par des politiques de justice sociale, en remettant en cause la fiscalité très injuste qu’elle soit nationale ou locale et en modernisant les services publics notamment de proximité qui sont à l’abandon, notamment notre système hospitalier qui est au bord de l’explosion.
Il y a aussi l’urgence écologique puisque les dégâts du changement climatique vont s’amplifier inexorablement si la transition énergétique vers une société décarbonée, n’est pas très rapidement mise en œuvre au niveau mondial. Les communes et la métropole ont de grandes responsabilités à ce sujet et les efforts développés depuis quelques années doivent être amplifiés et la mobilisation des habitants sollicitée pour accélérer. De même il faut militer pour que des tarifications sociales puissent être mises en route dans l’ensemble des services publics notamment locaux, pouvant aller jusqu’à la gratuité pour l’usager ; ceci exige d’importantes évolutions législatives, mais le gouvernement actuel ne s’y intéresse pas.
2019 va voir se dérouler les élections européennes en mai, ce sera l’occasion d’un grand débat sur l’avenir de l’Europe, puis à partir de septembre s’ouvrira la campagne des élections municipales de mars 2020 qui fixeront les politiques publiques au niveau communal et métropolitain. Nous militerons pour une accentuation d’une politique solidaire, écologique et démocratique qui a, depuis 2014, accéléré les changements nécessaires pour l’amélioration des services publics et l’adaptation au changement climatique dans une situation très difficile due à des politiques gouvernementales successives très négatives.
La crise révélée par les gilets jaunes est la conséquence d’années de refus de regarder la réalité en face : un très grand nombre de personnes vivent de plus en plus mal dans notre société et les inégalités se creusent inexorablement. Tout est fait pour favoriser les plus riches et laisser sur le bord du chemin de plus en plus de personnes. Et comme « les corps intermédiaires » ont disparu ou se sont délités, c’est l’explosion des colères individuelles, avec des revendications qui partent dans tous les sens, mais avec un point commun, la souffrance sociale d’une grande majorité des citoyens qui ont le sentiment d’être abandonnés et broyés par un système totalement injuste, bon pour les riches, dur pour les autres.
Les politiques suivies depuis longtemps mais fortement accélérées par la politique de Macron ont organisé le détricotage systématique de tous les filets qui empêchaient de sombrer dans la grande misère et le déclassement. Le mal est profond et un changement de cap est urgent et le gouvernement n’est pas à la hauteur des réponses exigées.
Depuis les acquis de la révolution de 1789 on sait que les dépenses des administrations doivent être payées par les citoyens en fonction de leurs ressources financières : c’est le fondement même de l’acceptation de l’impôt. Or ce n’est plus le cas et de loin ; le ras le bol fiscal est à la hauteur des impositions très injustes.
Chaque semaine, l’ADES envoie « le Rouge et le Vert » électronique, à de nombreux lecteurs. Les retours sont en général positifs, même si cette « newsletter » fait grincer les dents de celles et ceux qui ne partagent pas nos valeurs et choix politiques. Le Rouge et le Vert hebdomadaire offre des informations qui ne sont, pour la plupart, pas accessibles dans les médias locaux.
Au moment où un corrompu veut revenir aux affaires à Grenoble, il y a besoin de défendre et promouvoir une action publique locale qui respecte les valeurs de notre République, comme s’efforce de le faire la majorité municipale dans une période d’austérité imposée par les différents gouvernements de ces dernières années.
L’ADES s’efforce aussi de renseigner les citoyens sur le fonctionnement des collectivités locales, des services publics locaux et sur l’impact des politiques nationales sur la gestion des collectivités locales, en particulier sur la Ville de Grenoble et la Métropole.
Si vous trouvez cet effort d’information important, si vous souhaitez qu’il continue, vous avez plusieurs façons d’exprimer votre soutien, en faisant parvenir à l’ADES 12 rue Voltaire 38000 Grenoble :
Le Rouge et le Vert suspend sa parution hebdomadaire pendant la période de vacances pour environ un mois. C’est pourquoi ce numéro est un peu plus copieux que d’habitude. Si des évènements locaux importants se déroulaient, une information sera faite. Bonnes vacances et rendez-vous à la rentrée qui sera studieuse et importante, notamment avec la préparation du budget 2019, avec des réunions d’information et de formation citoyennes comme les années précédentes depuis 2014.