Le service municipal de santé scolaire élabore et met en œuvre des actions de prévention et d’éducation pour la santé. Ainsi, il accompagne les enfants scolarisés dans les écoles maternelles et élémentaires de la Ville de Grenoble, publiques et privées sous contrat, de manière volontariste à travers une équipe pluridisciplinaire de médecins, infirmières, travailleurs-euses sociaux-ales, secrétaires médico-sociales et personnel-les spécialisé-es. La promotion de la santé de l’enfant dans sa globalité est l’objectif prioritaire du service de santé scolaire. Elle s’inscrit dans une orientation majeure du Plan Municipal de Santé.
Les missions de prévention médico-sociales des enfants de moins de six ans dans les écoles maternelles sont de la compétence du Département de l’Isère qui les a déléguées par convention à la Ville de Grenoble. Le projet qui est présenté fixe, pour l’année 2025, les dispositions principales concernant les obligations des deux parties. La Ville met en œuvre, par délégation du Département de l’Isère, des actions médico-sociales, collectives et individuelles, à l’égard des enfants de moins de six ans scolarisés dans les écoles publiques et privées sous contrat.
Depuis le 1er janvier 2018, dans le cadre de la réforme de la dépénalisation du stationnement, la Ville de Grenoble est en charge du traitement des Recours Administratifs Préalables Obligatoires (RAPO) adressés par les usager-es qui contestent le forfait-post stationnement émis à leur encontre pour absence ou insuffisance de paiement de la redevance de stationnement sur voirie. L’article L.2333-87 du Code Général des Collectivités Territoriales prévoit qu’un rapport annuel soit produit afin que les décisions relatives aux RAPO soient rendues publiques et transparentes, permettant ainsi au Conseil Municipal de contrôler que la mission de gestion et de suivi des RAPO est exercée correctement. Ce rapport a été présenté au conseil municipal du 19 mai 2025.
Depuis des années Nestlé et d’autres industriels ont caché au public que l’eau qu’ils pompaient et commercialisaient, était contaminée. Pour continuer de la mettre en bouteille, ils ont eu recours à des systèmes de purification interdits. Cela a été dénoncé par le Monde et la cellule d’investigation de Radio France. De nombreux articles dans différents médias ont rapporté qu’au plus haut niveau de l’Etat, cette situation était connue et acceptée au mépris des lois et règlements.
Une commission d’enquête sénatoriale analyse « les pratiques des industriels de l’eau en bouteille et les responsabilités des pouvoirs publics dans les défaillances du contrôle de leurs activités et la gestion des risques économiques, patrimoniaux, fiscaux, écologiques et sanitaires associés », vient de rendre, le 19 mai 2025, un rapport accablant qui démontre qu’un rapport sanitaire défavorable à Nestlé a été modifié par l’Etat suite aux pressions de l’industriel.
Se réapproprier la Ville et la construire ensemble : les Chantiers Ouverts au Public. Dans une époque marquée par l’urgence climatique, la montée des inégalités sociales et la remise en question des formes traditionnelles de gouvernance, Grenoble affirme un autre chemin : celui d’une ville en transition, portée par ses habitant-es. Cette dynamique se manifeste de mille manières : dans les projets solidaires, les mobilisations locales, les événements culturels partagés… et, de plus en plus, dans les Chantiers Ouverts au Public (COP). Ces chantiers participatifs, nés en 2018, ne sont pas qu’un outil d’aménagement urbain. Ils sont devenus un levier concret de transition démocratique, sociale et écologique, en redonnant aux habitant-es le pouvoir de faire la ville, de la transformer, de l’habiter autrement.
Du compost en libre-service à Murianette. Pour enrichir le sol de vos plantations, rien de mieux que du compost ! Il est désormais accessible en libre-service sur le site de compostage de Murianette. Les déchets alimentaires collectés en bac marron sont acheminés à l’usine de compostage de Murianette, où quelques mois de maturation sont nécessaires pour obtenir un compost « mûr », comparable à du terreau. Pour se procurer ce compost 100% naturel et gratuit, il suffit de se rendre sur la route qui mène au centre de compostage de Murianette, et de s’arrêter – 250 mètres avant l’entrée – pour en récupérer (Mas de l’Isle, 38420 Murianette, du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h).
Le Conseil constitutionnel valide le scrutin de liste paritaire aux municipales dans toutes les communes. Le Conseil constitutionnel a jugé que la proposition de loi étendant le scrutin de liste aux communes de moins de 1.000 habitants, adoptée définitivement le mois dernier par l’Assemblée nationale, est conforme à la Constitution. Dans une décision du 15 mai 2025, il a jugé conformes à la Constitution, toutes les dispositions de la proposition de loi visant à harmoniser le mode de scrutin aux élections municipales sur lesquelles il avait été saisi après le vote en seconde lecture de l’Assemblée nationale. Décisions n° 2025-883 DC et n° 2025-882 DC
Prisons : les activités de nature à porter atteinte au respect dû aux victimes peuvent être légalement interdites, mais pas les activités « ludiques ». Saisi par des associations et des syndicats, le Conseil d’État juge que l’interdiction posée par le ministre de la justice d’organiser des activités « provocantes », est légale dès lors que ce qualificatif vise des activités de nature à porter atteinte au respect dû aux victimes. En revanche, il annule l’interdiction par principe de toute activité à caractère « ludique » car elle est contraire au code pénitentiaire. Heureusement que la justice freine les dérives du ministre de la justice qui veut augmenter les peines en rendant la vie carcérale encore plus dure.
Le groupe majoritaire à la mairie de Grenoble, Grenoble en commun, vient d’éditer un document synthétique intitulé : « Assurer la tranquillité, coopérer pour la sécurité à Grenoble »qui insiste sur la coopération entre toutes les institutions du territoire qui peuvent agir pour assurer la tranquillité et la sécurité des populations. Un chapitre est consacré spécifiquement aux actions de la police municipale qui est formée et équipée pour le service aux Grenoblois-es. Dans sa lutte contre la délinquance et les incivilités, Grenoble déploie notamment des dispositifs de prévention et de réinsertion, montrant une autre voie que le tout répressif. Désireuse d’aller encore plus loin, la Ville appelle régulièrement l’État à rebâtir une vraie politique de prévention de la délinquance pour créer une cohérence avec la stratégie locale bâtie sur les compétences communales.
Un chapitre traite en particulier de la police municipale dont les différentes interventions qui ne sont pas toujours bien connues du public.
Grenoble compte l’une des polices municipales les plus importantes de France, avec 100 policiers et policières et 56 ASVP (Agent de Surveillance de la Voie Publique). Cette « PM » mène des actions ciblées, depuis la prévention routière aux violences intra-familiales. Pour ce faire, elle est une des plus avancées de France en matière de formation des policiers.
En 2025, la France fait face à une crise profonde de son système de santé. Alors que les Français-es restent attachés à un modèle fondé sur l’accès universel aux soins, les inégalités territoriales et sociales se creusent. Les déserts médicaux gagnent du terrain, les délais pour consulter s’allongent, et l’hôpital public souffre d’un manque chronique de moyens et de personnel, assortis d’une organisation en recherche permanente de rentabilité qui devrait être revue.
À Grenoble, sont mis en œuvre depuis 10 ans des politiques et des actions sur tous les volets pouvant améliorer la situation sanitaire. Que ce soit sur la qualité de l’air, l’alimentation, l’accès aux soins, ou encore la santé mentale, faire du bien être et de la bonne santé des Grenoblois-es une priorité.
Un communiqué du 13 mai 2025 de la Ville de Grenoble, suite à une entrave à la circulation Cours Berriat et à des violences contre des agent-es publics ou des élu-es. Pour prévenir de futurs troubles à l’ordre public, la Ville saisira dans les prochains jours les autorités compétentes pour signaler ces actes et infractions répétés.
« Un groupe d’opposants politiques et de commerçant-es remet en cause depuis plusieurs années l’ensemble des projets portés par la municipalité et la métropole concernant la rénovation et la végétalisation des espaces publics sur la commune de Grenoble. Les revendications sont les mêmes sur l’ensemble des projets : le maintien d’une place prépondérante de l’automobile dans l’espace public au détriment des piétons, des personnes à mobilité réduite, de la sécurisation des cyclistes ou encore des espaces verts et de la plantation d’arbres nécessaires pour adapter la ville au réchauffement climatique.
Après des violences et une tentative d’intrusion au sein du conseil municipal le 30 septembre 2024 pour protester contre le projet d’aménagement de l’avenue Jeanne d’Arc, après un blocage des élu-es et services métropolitains lors du conseil métropolitain du 8 novembre 2024, après deux blocages de la circulation cours Berriat et avenue Jeanne d’Arc en date du 22 mars 2024 et le 19 septembre 2024, certains ont annoncé récemment publiquement qu’ils souhaitaient «employer la manière forte» et «en découdre» avec les institutions sur plusieurs autres projets, dont l’embellissement de la place de Metz et le prolongement du projet de la Chronovélo Grenoble-Fontaine.
Les 48h de l’agriculture urbaine est l’événement vitrine de l’agriculture urbaine dans une trentaine de villes en France (et en Europe : Suisse, Luxembourg, Belgique, République Tchèque, Roumanie).
Coordonné à l’échelle nationale par l’Association Française d’Agriculture Urbaine Professionnelle (AFAUP), le festival propose au grand public chaque année le temps d’un weekend, de nombreux événements autour de l’agri- culture urbaine et de l’alimentation durable : opérations de végétalisation, créations de jardins-potagers, ateliers pratiques, visites, ciné-débats, conférences et tables rondes, banquets populaires et soirées festives…
Impliquant plus d’une centaine d’associations et de collectivités, l’organisation de ce festival est un moment fédérateur pour les acteur-ices de la transition écologique des villes.
Quelle est le degré de satisfaction de leur vie quotidienne, des résident.es des quartiers populaires du Territoire de la Métropole grenobloise ? Comment a évolué leur perception de leurs espaces de vie en 5 ans ? Une nouvelle fiche propose une comparaison des enseignements de deux enquêtes, conduites en 2018 et en 2023. L’objectif de cette comparaison est d’apprécier les différences de profils des répondants, de ressentis et expériences vécues vis-à-vis de leur cadre de vie (quartier, logement…) et de leurs modes de vie.
« Répétant l’exercice de 2018, la comparaison des enquêtes IBEST (indicateur de bien-être soutenable et territorialisé) et VQH (Vie quotidienne des habitants) en 2023 apporte des résultats révélateurs. La composition des échantillons reflète la définition même des quartiers prioritaires de la politique de la ville, constituée à partir des revenus. Au-delà de ces disparités économiques attendues, leur rapprochement met en exergue des ressentis plus profonds chez les résidents à l’égard de leur cadre de vie et de leur mode de vie.
Les quartiers populaires sont caractérisés par une plus grande proportion de locataires et une satisfaction moindre de leur logement par rapport aux enquêtés IBEST. Les habitants des QPV déclarent une satisfaction en hausse vis-à-vis de leur quartier de résidence par rapport à 2018, même si elle demeure inférieure par rapport aux réponses dans l’IBEST. Globalement, ils se rendent également moins dans les espaces verts que leurs homologues.
Le 24 avril 2025, la commission d’enquête a rendu un avis favorable au projet de réhabilitation du secteur de l’Esplanade à Grenoble sans aucune réserve : « la commission d’enquête reconnaît l’intérêt général du projet, et émet un avis favorable au projet de requalification de la Grande Esplanade et du boulevard de l’Esplanade, emportant la mise en compatibilité du PLUi, avec la recommandation de ne tracer aucune piste cyclable sur ce boulevard. ». Les travaux devraient donc débuter cet été.
L’offensive politicienne du SMMAG et de nombre de maires de l’agglomération s’est terminée en eau de boudin, ces derniers se trompant complètement sur le fond du dossier et focalisant leurs attaques sur la politique de stationnement en essayant de revenir 15 ans en arrière.
L’information est parue ce mercredi 30 avril au Journal officiel. Lilian Dejean, l’agent municipal tué par balle à Grenoble le 8 septembre 2024, a été fait chevalier de la Légion d’honneur à titre posthume.
« Par décret du Président de la République en date du 29 avril 2025, pris sur le rapport du Premier ministre et du ministre de l’aménagement du territoire et de la décentralisation, et visé pour son exécution par le grand chancelier de la Légion d’honneur, vu la déclaration du conseil de l’ordre en date du 16 avril 2025 portant que la présente nomination est faite en conformité des lois, décrets et règlements en vigueur, et notamment de l’article R. 26 du code de la Légion d’honneur, de la Médaille militaire et de l’ordre national du Mérite, est nommé : Au grade de chevalier.
Avec effet du 27 mars 2025 Dejean (Lilian), employé municipal de la ville de Grenoble, 30 ans de services, décédé dans l’exercice de ses fonctions, peut-on lire sur le décret.
Quelques semaines après le meurtre, le maire de Grenoble Éric Piolle avait annoncé que le gouvernement avait « donné suite à notre demande de rendre Lilian Dejean mort pour le service de la Nation ».
Les démarches administratives, l’accès à l’emploi, à la santé, et à l’information passent de plus en plus par des outils numériques, le risque d’exclusion est alors réel.
L’ampleur de la fracture numérique touche de plein fouet les publics les plus précaires : personnes âgées, jeunes en décrochage, familles éloignées de l’emploi ou de la langue française, femmes isolées, personnes en situation de handicap, etc.
La Ville a œuvré avec l’État via le plan France Relance et recruté des conseiller-es numériques, déployé-es au sein des MDH, ces structures de proximité où le numérique devient un levier d’émancipation. Le plan France Relance ne sera pas éternel, la ville se prépare à maintenir ce service essentiel au public.
Les Place(s) aux enfants (PAE) sont de nouveaux espaces piétonnisés, végétalisés et accessibles à toutes et tous aux abords des écoles. De nouvelles places pour transformer les quartiers, permettre la rencontre, quels que soient les âges et les lieux de vie. Un projet porté par la Ville de Grenoble et Grenoble Alpes Métropole, en partenariat avec l’association Rue de l’avenir.
Depuis la rentrée 2021, la Ville et la Métropole travaillent à la transformation des abords d’école en place(s). Le déploiement des PAE est co-construit, avec les habitant-es, les enfants et les personnels des écoles.
Le projet se scinde en deux phases : l’aménagement transitoire et l’aménagement définitif.
Où en est-on aujourd’hui ?
13rues qui ont été piétonnisées et aménagées de manière transitoire dès le démarrage du projet.
10rues qui ont été réaménagées ou sont en cours de travaux.
6rues, dont les études sont en cours, sont programmées pour un démarrage de travaux prochain.
4 sites sont à l’étude pour des travaux dans les années à venir.
Le commissaire enquêteur devrait rendre, dans les jours qui viennent, son rapport et son avis sur le projet de l’Esplanade, en espérant qu’il ne se sera pas laissé entrainer par les pressions inadmissibles de certain élu-es, mettant en cause le dossier élaboré par la Ville de Grenoble et la métropole.
De nouvelles enquêtes publiques s’ouvrent prochainement, du 28 avril au 4 juin 2025, organisées par la métropole : sur le projet de révision allégée n°1 du PLUi- PPRI du Drac Aval et sur le projet de modification n°4 du PLUi.
Suite à l’approbation du Plan de Prévention du Risque d’Inondation (PPRI) du Drac Aval le 17 juillet 2023, la Métropole a engagé la révision allégée n°1 de son PLUi. Il s’agit d’appliquer sur le territoire métropolitain la nouvelle règlementation issue du PPRI Drac ; d’éviter les doublons et les contradictions de règlementation ; de sécuriser la délivrance des autorisations d’urbanisme par les maires.
L’enquête publique a été précédée d’une concertation préalable sur l’ensemble du sujet, le conseil métropolitain en a tiré le bilan et a arrêté le projet de révision allégée lors de sa séance du 27 septembre 2024. Lors de sa séance du 14 février 2025, le conseil métropolitain a procédé au second arrêt du projet de révision allégée.
Du 23 avril au 7 mai 2025, la quinzaine insolite au musée Stendhal : figures de science ! Cette quinzaine insolite met en regard la collection du musée Stendhal et les fonds exceptionnels de la bibliothèque d’étude et du patrimoine selon une thématique choisie. Les objets, sélectionnés par l’équipe de médiation du musée Stendhal et sortis pour l’occasion des réserves, sont présentés en superposition au parcours permanent du musée. Depuis sa passion pour les mathématiques jusqu’aux théories les plus contemporaines, les préoccupations scientifiques de Stendhal imprègnent son style et sa pensée. Ouvrages, portraits, instruments de mesure… à travers un parcours temporaire inédit et en dialogue avec l’exposition permanente, on découvre une facette méconnue de l’écrivain.
A Grenoble, le gymnase Jouhaux inauguré après une rénovation 100% écologique. Démarrés fin septembre 2023, les travaux se sont achevés à l’automne 2024 et visaient une rénovation exemplaire : installation de panneaux photovoltaïques et d’une peinture claire en toiture, amélioration de la qualité de l’air, mise en accessibilité et, bien entendu, amélioration de la performance énergétique du gymnase. 35 % d’économies d’énergies sont attendues, hors production photovoltaïque (90 000 kWh minimum / an). Budget global des travaux pour le gymnase Jouhaux 4,033 M€.
Transport et mobilité : quels leviers de financement pour que les collectivités concilient égalité territoriale et neutralité carbone ? C’est le titre de l’étude publiée par Agence France locale. Les collectivités territoriales, premières à produire l’action publique de proximité au quotidien, font face à des défis financiers majeurs pour piloter la transition du secteur : construction d’infrastructures de transport, financement de l’exploitation et de l’entretien des lignes, soutien aux ménages et entreprises pour l’achat de moyens de locomotion plus propres… Face au volume d’investissements à engager pour la décarbonation du secteur des transports, le recours à l’emprunt paraît être une solution indispensable pour parachever le panier de ressources à la disposition des collectivités, avec l’élargissement de la fiscalité affectée. C’est la principale conclusion mise en avant par cette étude.
À l’occasion d’une démonstration en direct du fonctionnement des jets et du miroir d’eau de l’esplanade Alain Le Ray, la Ville de Grenoble a présenté le plan « fontaines ».
En 2025 il y aura 25 fontaines opérationnelles (contre 21 en 2024) : situées place Mandela (miroir d’eau), place de la Gare, place Firmin Gauthier, square Valérien Perrin, parc Cambridge (jet d’eau), place de Verdun, place de Bérulle, boulevard Gambetta, place Grenette, place Claveyson, sur l’esplanade Alain le Ray (miroir d’eau, jets, cascade), place Jean Moulin, rue Saint Laurent (fontaine du lion et du serpent), square de Belmont («fontaine de l’huître»), place Sainte-Claire, place Victor Hugo, place de Gordes, jardin des Plantes (cascade), rue Montorge, jardin du bassin – Madame Lecomte, parc Paul Mistral (Vasque Olympique, Les Escargots), jardin des Poètes.
Accès à la fraîcheur, amélioration de la qualité de l’eau, valorisation du patrimoine historique, économies d’eau… les enjeux de rénovation des fontaines et points d’eau à Grenoble sont nombreux.
Grenoble agit pour offrir le meilleur parcours possible aux jeunes grenoblois.es
Quand le lundi matin paraît un article pleine page du DL sur un gros titre « entreprises et associations unies contre la précarité », on se dit que la semaine commence bien et malgré un ciel qui se partage entre le gris et le bleu ! Il y a dans ce grand service de la ville de Grenoble, beaucoup de ciel bleu pour les jeunes concernés par cette offre. Toutes les associations citées apportent des pierres plus ou moins importantes à un soutien dans nombre de domaines. Le nombre de jeunes concerné.es n’est pas identique pour ces différentes associations, ce qui compte c’est le résultat d’un partenariat qui permet une grande levée de fonds pour un accompagnement de la jeunesse, surtout les plus démuni.e.s, en partant des très jeunes enfants et leurs parents jusqu’à l’accès à l’emploi et à un logement.
Ces différentes propositions s’additionnent aux autres initiatives en direction de la jeunesse, action publique, associatives, qu’elles soient sportives, groupes de paroles pour les familles isolées, le soutien à la scolarité, ou aux jeunes parfois très isolé.es face à leurs difficultés. Ce beau bouquet de solidarités, offrent des espaces de respiration qui permettent de poursuivre un chemin où les difficultés existeront encore, mais elles paraîtront moins lourdes et moins désespérantes.
Le Programme en bref de l’Agence d’Urbanisme de la Région Grenobloise pour 2025 présente une vision globale de son programme partenarial d’activité de cette année. Les études, projets ou missions présentés dans ce document illustrent la diversité des expertises thématiques d’une agence utile dans le faire, apportant des réponses appropriées aux préoccupations de ses membres.
Une agence utile, qui répond aux besoins des territoires :
Comment anticiper les mutations et construire une vision partagée des futurs de mon territoire ? Comment connaître et comprendre les évolutions de mon territoire pour décider avec plus de clairvoyance ? Comment construire une planification territoriale spécifique et efficace correspondant aux réalités de mon territoire ? Comment impulser et concrétiser les projets de mon territoire ? Comment alimenter ma connaissance des sujets à enjeux et préparer mon territoire aux transitions ?
L’inauguration du nouveau Lycée Mounier a eu lieu le 10 avril 2025 en présence du maire de Grenoble, de la vice-présidente de la Région chargée des lycées, du recteur de l’Académie nouvellement arrivé et du proviseur du lycée. Une visite détaillée des bâtiments a permis de découvrir un lycée moderne, aux normes environnementales actuelles et de plus avec des équipements modernes et en nombre permettant aux enseignants et aux élèves d’étudier dans de bonnes conditions.
De nombreuses personnes ayant participé à la lutte qui a permis d’éviter la disparition du lycée ont découvert avec beaucoup d’émotion le résultat de leur combat débuté en 2010, qui a été rappelé par le maire de Grenoble, Eric Piolle, qui au début de cette histoire était conseiller régional.
Pour lire un court rappel de cette histoire, où l’ADES a apporté un efficace soutien, voir ici.
Le 25 septembre 2023, la Ville de Grenoble se dotait d’une stratégie alimentaire globale. Celle-ci vise à créer un droit universel à une alimentation saine, de qualité et résiliente face aux multiples crises actuelles et futures qui fragilisent les systèmes agricoles et alimentaires.
A Grenoble, en 2018, avant même la crise du Covid-19, 20% des Grenoblois-es déclaraient se priver de nourriture en quantité ou en qualité faute de moyens. Cette situation s’est aggravée affectant de manière disproportionnée les jeunes, les familles monoparentales et les ménages à faibles revenus. En 2022, à Grenoble, l’analyse des besoins sociaux réalisée par le Centre Communal d’Action Sociale auprès des moins de 25 ans a révélé que 44% des jeunes interrogés déclaraient se restreindre sur leurs achats alimentaires pour finir le mois.
Six adultes sur dix et un enfant et adolescent sur trois seront en surpoids ou obèses d’ici 2050 sans une action immédiate et efficace des gouvernements (The Lancet 2025). À l’échelle nationale, l’alimentation représente 22% de l’empreinte carbone de la consommation totale. L’action locale sur le système agroalimentaire se révèle primordiale afin notamment d’inciter à la consommation de produits bio, dont la production émet moins de gaz à effet de serre et nécessite moins de surface de culture.