En 2015, lors du lancement du plan lumière qui a permis de très importantes économies d’énergie et de moderniser l’éclairage public à Grenoble, le conseil municipal avait mis en place une régie à autonomie financière pour contrôler le marché public en charge des travaux qui a duré 8 ans. Actuellement la Régie a élargi son champ d’action, notamment sur l’exploitation et la maintenance du service public de l’éclairage public financé par le budget principal de Grenoble.
Le conseil d’exploitation de la Régie Lumière ayant pris la décision d’internaliser les missions d’exploitation et de maintenance des installations d’éclairage public, le pôle Eclairage Public s’étoffe afin de prendre en charge en interne les responsabilités suivantes :
Le 21 septembre 2025 les différents mouvements de gauche et écologistes grenoblois : Les Ecologistes, le PCF, l’ADES, le Réseau Citoyen de Grenoble, L’Après, Génération.s et le Parti Animaliste, ont appelé leurs adhérents à voter pour la tête de liste de la gauche et des écologistes à l’élection municipale du 15 et 22 mars 2026.
Une première femme pourrait devenir maire de Grenoble, ce qui serait une décision historique.
Ce vote avait été accepté par l’ensemble des quatre candidates et candidat à la tête de liste, mais seules deux femmes sont restées en lice : Laurence Ruffin et Lucille Lheureux.
Une très forte participation des adhérents a départagé les deux candidates qui s’étaient déclarées pour concourir à la désignation de la tête de liste. Laurence Ruffin a obtenu un score très large, dépassant de beaucoup la moitié des inscrits de ces 7 mouvements de gauche et écologiste, elle est donc choisie et légitimée comme tête de liste.
Lors de l’élection municipale de 2020, la liste de droite menée par A. Carignon obtenait 7 sièges au conseil municipal, ramené à 6 après le retrait de Mme Roche du groupe. Les 3 hommes ont la particularité d’avoir eu à répondre devant la justice de lourds délits et tout n’est pas fini. Il s’agit d’une première historique du jamais vu dans un conseil municipal : la moitié des représentants d’une liste, rattrapés par la justice siègent dans un conseil municipal !
Inutile de rappeler les démêlées judiciaire de l’ancien maire qui a commis l’acte le plus grave que peut faire un élu ce qui le disqualifie de pouvoir redevenir maire, d’autant plus qu’il n’a jamais reconnu les faits qu’il a commis et qui sont d’une extrême gravité, mettant à mal la vie démocratique d’une ville. Voir la plaquette de l’ADES : « Un corrompu de retour aux affaires »
Vendredi 19 septembre, près d’une centaine de citoyen·nes se sont réunis devant le local de campagne d’Alain Carignon pour rappeler une évidence : la corruption n’a pas sa place dans notre ville. Entre tambours, slogans percutants (« Carignon, pognon, prison ») et une énergie festive, la mobilisation a montré que la mémoire de Grenoble est bien vivace.
Alors que certaines et certains tentent de faire table rase du passé, cette manifestation citoyenne, organisée par le collectif « Grenoble sans corruption« , a permis d’informer et de rappeler les faits : Alain Carignon, condamné pour corruption et abus de biens sociaux, ne représente pas les valeurs de transparence et d’intégrité que nous portons et qui se doivent d’être appliquées dans toute assemblée responsable de la gestion du bien public.
Le collectif remercie les participantes et participants pour leurs engagement, leur créativité et leur détermination à défendre une politique locale propre et exemplaire. La lutte continue, et Grenoble mérite mieux !
Suite à la liquidation judiciaire de Vencorex qui a supprimé de nombreux emplois, Solvay Energies qui gère la fourniture et la répartition des énergies et fluides nécessaires au bon fonctionnement du process industriel, souhaite se désengager du site de Pont-de-Claix. Ses activités portent sur l’exploitation et la maintenance d’un réseau de vapeur, d’un réseau d’électricité et de gaz, d’une unité de production d’eau déminéralisée et de turbines à gaz.
La ville de Grenoble et la métropole sont actionnaires de deux SEM (société d’économie mixte) : Compagnie de Chauffage Intercommunale de l’Agglomération Grenobloise (CCIAG) et Gaz et Électricité de Grenoble (GEG). Elles se sont rapprochées de la société R-CUE/Priméo (un groupe suisse, comprenant entre autres une société de production d’énergies renouvelables et une entreprise de distribution implantées en France) pour construire une offre de reprise de l’exploitation de ces actifs de distribution d’énergie de Solvay.
Manifestation et grèves le jeudi 2 octobre. Communiqué intersyndical de la CGT, CFDT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU et Solidaires. Aucune réponse concrète aux attentes du monde du travail : l’intersyndicale appelle à une mobilisation massive le 2 octobre ! Pour exiger : L’abandon de l’ensemble du projet de budget. La justice fiscale, avec la mise en place de dispositifs qui taxent les gros patrimoines et les très hauts revenus, et contraignent le versement des dividendes. La conditionnalité sociale et environnementale des 211 milliards d’euros d’aides publiques aux entreprises privées. Des moyens budgétaires à la hauteur pour les services publics partout sur le territoire. Une protection sociale de haut niveau et l’abandon du recul de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans. Des investissements dans une transition écologique juste et la réindustrialisation de la France, et des mesures contre les licenciements.
Sarkozy condamné dans l’affaire du financement par la Lybie, pour association de malfaiteurs. Il a laissé ses proches collaborateurs agir en vue d’obtenir des soutiens financiers de la part du régime libyen pour financer sa campagne à l’élection présidentielle de 2007. Il échappe à la condamnation pour corruption mais pas à la prison. Il est condamné à cinq ans d’emprisonnement avec mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire. La Cour de cassation examinera par ailleurs le 8 octobre son pourvoi dans l’affaire « Bygmalion », portant sur le financement de sa campagne présidentielle de 2012 et pour laquelle il a été condamné en appel à un an de prison dont six mois ferme.
Grenoble : une population jeune et diplômée, une économie dynamique. Suivant une étude de l’INSEE qui la compare à 40 autres villes en Europe. La « city européenne de Grenoble » compte près de 367 500 habitants en 2021 ; elle regroupe 16 communes et 81 % des résidents de Grenoble Alpes Métropole. Sa population est plus jeune et plus diplômée que celle de la zone de référence composée de 40 cities de taille équivalente. Le marché du travail y est dynamique. Bien que le secteur tertiaire non marchand soit majoritaire, concentrant un peu plus d’un tiers des emplois offerts, la city de Grenoble se distingue par le poids significatif des activités scientifiques et techniques.
Malgré les cabales lassantes et rabâchées de certains hommes et femmes politiques concernant la mauvaise image de Grenoble, des articles récents du Dauphiné Libéré sont intéressants … et démentent les sombres propos de personnes qui n’arrivent pas à prendre un peu de hauteur de vue et de réflexion pour parler de la ville de Grenoble.
Le 12/9/2025 et dans le quotidien régional du 15 septembre pour les nouveaux étudiants. Cela confirme ce que nous disent de nombreux habitants qui ne comprennent pas ce Grenoble bashing systématique organisé par certaines oppositions politiques.
… « 250 nouveaux Grenoblois ont été accueillis dernièrement à la mairie de Grenoble. Parmi eux, P…, Y… et leur fille.
Les élections municipales approchent et les différents lobbies se réveillent pour avancer leurs pions. Avec le développement, pour l’instant au niveau de prototypes, des petits réacteurs modulaires de faible ou moyenne puissance destinés à produire de la chaleur et ou de l’électricité, les propositions se multiplient. Mais on est encore loin de la production en chaine qui devrait permettre une diminution des coûts. Et l’expertise de l’ASNR sur la sécurité, sur le cycle de combustible et le démantèlement de ce type de petits réacteurs n’est pas faite.
Voilà qu’à Grenoble, certains envisagent de nouveau de réfléchir à une implantation en milieu urbain d’un petit réacteur pour alimenter le réseau de chauffage urbain qui est un des plus importants de France.
Des recherches actives sur de nouveaux concepts de réacteurs de 4ème génération sont présentes à Grenoble au Laboratoire de Physique Subatomique et de Cosmologie (LPSC). Une startup NAAREA propose un petit réacteur à neutrons rapides à sel fondu issu de ces recherches et un démonstrateur pourrait être présenté d’ici deux ans.
Le réaménagement de la place de Metz à Grenoble se poursuit. Les opposants à ce projet de végétalisation de la place avaient attaqué un arrêté du maire de Grenoble du 17 juin 2025 qui avait délivré à la métropole un permis pour réaménager la place et les voies adjacentes. Plusieurs commerçants ont saisi le juge des référés du tribunal administratif de Grenoble pour contester cet arrêté. Par une ordonnance du 15 septembre 2025, le juge a rejeté leurs requêtes, considérant que les moyens invoqués ne faisaient pas naître de doute sérieux sur la légalité de l’acte, au sens de l’article L. 521-1 du code de justice administrative.
Le projet immobilier « Tony Parker » à Villard-de-Lans a été rejeté par le préfet coordonnateur du massif des Alpes. Enfin une décision responsable et protectrice de l’environnement montagnard ! Le projet « Parker » était beaucoup trop important et sous-estimait l’adéquation des besoins du projet avec la ressource en eau ainsi que la sous-estimation des émissions de gaz à effet de serre. Saisi au titre de la « loi montagne », à la suite de la publication du rapport de synthèse le Préfet de région Provence-Alpes-Côte d’Azur, et coordonnateur du massif des Alpes, a pris un arrêté rejetant la demande de création de l’unité touristique nouvelle structurante (UTNs) située sur le site « Côte 2000 » à Villard-de-Lans (38).
Rénovation énergétique : ce qu’il faut savoir sur la réouverture de MaPrimeRenov’ à la Métro. Cet été, les conditions d’accès à MaPrimeRénov’, l’aide nationale pour la rénovation, ont évolué. Localement, Grenoble Alpes Métropole poursuit son engagement en faveur de la rénovation énergétique à travers son dispositif « Mur Mur ».Le guichet d’accès à MaPrimeRénov’, va rouvrir fin septembre.Certains critères changent : les conditions d’un droit à une aide pour la rénovation d’ampleur sont plus strictes, tant sur les publics éligibles que sur les montants d’aides possibles.Au niveau local, Grenoble Alpes Métropole poursuit son soutien à la rénovation des logements à travers son dispositif Mur Mur, mis en œuvre par l’Alec (Agence locale de l’énergie et du climat) qui reste cumulable avec MaPrimeRénov’.
Les chiffres de la police ou des manifestants indiquent que de 11 000 à 30 000 manifestants ont défilé à Grenoble le 10 septembre après midi. Il y a longtemps qu’il n’y avait pas eu autant de monde dans une manifestation.
Beaucoup de jeunes très mobilisés contre la politique macroniste et bien décidés à poursuivre les mobilisations, rejoints par des syndicalistes et de nombreux militant-es de gauche. De nombreuses actions de blocages devraient se poursuivre. C’est l’expression d’un ras le bol général ainsi qu’une colère contre les politiques antisociales qui vont en s’amplifiant. Il peut s’installer une guérilla sociale, vu le niveau de ras le bol populaire.
Il est difficile de prévoir l’avenir de ces mobilisations qui cherchent à faire la jonction avec la grande journée de mobilisation et de grève du 18 septembre organisée par l’intersyndicale nationale, sur le thème : « les sacrifices pour le monde du travail, ça suffit ».
Le Schéma de cohérence territoriale (SCoT) est l’outil de conception et de mise en œuvre d’une planification stratégique intercommunale, à l’échelle d’un large bassin de vie ou d’une aire urbaine, dans le cadre d’un projet d’aménagement stratégique (PAS).
Les schémas de cohérence territoriale (SCoT) sont des documents de planification stratégique à long terme (environ 20 ans) créés par la loi solidarité et renouvellement urbains (SRU) en décembre 2000, dont le périmètre et le contenu ont été revus par l’ordonnance du 17 juin 2020 de modernisation des SCoT, afin d’être adaptés aux enjeux contemporains. Ils sont gérés par des établissements publics (EP SCOT). Voir toutes les informations sur le site de l’EP SCOT de la région grenobloise : SCOT 2030
Prescrite fin 2024 sur la base du bilan de l’application à 12 ans du SCoT de 2012, réalisé avec l’appui de l’AURG, la révision du SCoT de la Grande région de Grenoble est désormais sur les rails. Pour atteindre l’objectif fixé par les élus d’une première version de PAS (Projet d’aménagement stratégique) avant la fin du mandat, l’EP SCoT et l’Agence ont imaginé une méthode de travail inédite.
Le territoire français fait face à une crise du logement et une crise de l’hébergement sans précédent qui affecte fortement les plus précaires. A Grenoble, malgré les actions mises en œuvre, le nombre de ménages privés de domicile personnel reste très important. Parmi eux, la part des familles avec enfants augmente.
La Ville de Grenoble est ainsi confrontée à une grande urgence sociale, caractérisée par une augmentation de 60% des demandes de domiciliation – un moyen d’avoir une adresse administrative – ces trois dernières années. En mai 2025, le CCAS gère ainsi plus de 3400 boîtes aux lettres couvrant 4 800 personnes (dont 1400 mineur-es), soit autant de personnes privées de logement personnel. Parmi eux, 75% ne bénéficient d’aucune solution d’hébergement : ils sont contraints de se faire héberger chez des tiers ou vivent à la rue, en habitats de fortune, squats, bidonvilles et pour certaines, dans des écoles municipales.
Alors que l’hébergement d’urgence relève de la compétence de l’État, ce dernier a acté la stabilisation du nombre de places d’hébergement à un niveau inférieur au nombre de places financées pendant la période de crise sanitaire. Ainsi, les demandes de plus en plus nombreuses d’hébergement d’urgence ne sont pas satisfaites du fait des capacités existantes. Ceci entraîne des conséquences multiples et tangibles : saturation des 178 places d’hébergement d’urgence financées par l’État et gérées par le CCAS, ainsi que celle des 320, bientôt 340, places d’hébergement financées par la Ville et gérées par le CCAS.
Grenoble traverse une vague de chaleur exceptionnelle : en ce mois d’août 2025, la ville connaît des températures record, largement supérieures à 38 °C, avec plusieurs jours d’alerte canicule rouge. Cette canicule s’ajoute à un été déjà marqué par des épisodes extrêmes : en juin, Grenoble avait dépassé les 38 °C et connu plusieurs jours d’alerte orange, tandis que l’été 2024 avait été ponctué de 9 jours de canicule et 13 nuits tropicales. Ces épisodes répétés rappellent l’urgence de préparer la ville aux étés toujours plus chauds et aux effets du réchauffement climatique. Le groupe majoritaire à la ville fait le point sur les actions menées.
Face à cette situation, Grenoble ne se contente pas de mesures ponctuelles. Depuis 2023, la Ville a renforcé son plan municipal « fortes chaleurs », combinant protection immédiate des populations, transformations urbaines durables et mobilisation citoyenne. Ce plan, détaillé dans le dossier de presse publié le 1er juillet 2025, illustre une stratégie à la fois ambitieuse et concrète.
Jusqu’à fin septembre, la Maison de l’international de Grenoble présente l’exposition « Zoos humains, l’invention du sauvage » du groupe de recherche ACHAC (en partenariat avec la fondation Éducation contre le racisme) avec des panneaux inédits consacrés à l’exposition de 1925 à Grenoble et de nombreux originaux. Adresse : 1 rue Hector Berlioz 38 000 Grenoble.
En 1925, l’exposition de la Houille blanche s’est déroulée de mai à fin octobre 1925 autour de la ville capitale de la Houille blanche avec en son cœur plusieurs espaces coloniaux et zoos humains. Après Marseille en 1922 et Strasbourg en 1924, Grenoble avait présenté un village colonial dans le cadre d’une exposition territoriale soulignant l’importance de l’empire à cette époque. L’exposition est structurée en 3 sections : la Houille blanche avec les activités relatives à l’électricité ; l’industrie et la télégraphie ; la section touristique et coloniale ; les 20 ha du site sont occupés par une multitude de palais, de pavillons et d’attractions en toit genre.
Un protocole d’accord, voté par le conseil de Métro le 6 avril 2018 et signé par le président de la Métro, le maire de Saint Martin d’Hères et le gérant du centre commercial, interdit aux responsables du centre commercial de débaucher des enseignes présentes sur certains site de Grenoble.
La Métro et la commune de Saint Martin d’Hères s’engageaient à respecter les équilibres commerciaux et à tout mettre en œuvre pour accompagner le promoteur dans sa recherche d’enseignes répondant aux critères fixés. Visiblement cela n’a pas été fait. Le nombre d’enseignes qui sont débauchées augmente régulièrement et la dernière en date est MICA, la boutique de maquillage de la Place Victor Hugo qui a ouvert le 10 juillet 2025 à Neyrpic.
Pour la ville de Grenoble ce sont plusieurs millions d’euros qui devraient être récupérés par la Métro pour aider les commerces du centre-ville de Grenoble.
Pour l’instant, ni la Métro ni la commune de Saint Martin d’Hères n’ont agi pour faire respecter leurs signatures du protocole d’accord. Le protocole précise « Tout différend découlant de la présente convention et de son interprétation sera régi par le droit français et relèvera de la compétence du Tribunal Administratif de Grenoble. »
À Flaubert, Grenoble repense l’espace public pour une ville plus juste, plus verte, plus vivante. Dans le quartier Flaubert de Grenoble, d’anciennes friches industrielles laissent désormais place à des bâtiments éco-conçus, des jardins partagés, des voies apaisées et des espaces publics pensés pour la santé, la biodiversité et la convivialité. Depuis janvier 2025, une nouvelle étape de cette grande transformation est en cours. Parmi les chantiers emblématiques : la requalification de la rue Marceline Desbordes-Valmore, l’aménagement de jardins en cœur d’îlots, l’extension du parc Flaubert à 3,5 hectares grâce à la débitumisation de la rue du même nom. Ces transformations répondent à une logique claire : désimperméabiliser, végétaliser, ralentir, relier. Autant de principes d’urbanisme favorables à la santé, au climat et au lien social, promus avec constance par la majorité municipale.
A Grenoble, des vasques de 1675 remises en eau. Suite à plusieurs semaines de rénovation, les vasques de la rue Montorge ont été remises en marche le 9 juillet 2025, après plus de 15 ans de fermeture. La Ville a requis l’aide d’une restauratrice pour assurer la conservation des pierres des fontaines, construites en 1675. La pompe a été changée et le système antérieur, qui fonctionnait à puit perdu, a été entièrement refait pour faire fonctionner les fontaines en circuit fermé : l’eau n’est plus rejetée directement dans les canalisations comme c’était le cas avant. A propos des fontaines, certains s’étonnent de la non remise en eau de la Fontaine des 3 Ordres sur la place Notre Dame. Nous avons demandé les informations auprès de la ville pour mieux comprendre la situation. Cette fontaine est un monument historique. Pour la remettre en eau, il ne s’agit pas seulement de réparer la fontainerie, mais aussi toute la structure qui présente des fragilités et nécessite une étude complète de la structure, pour bien identifier les dommages causés par le temps et engager les travaux de restauration pour lui redonner toute sa place de monument historique et de rafraîchissement par ses jets d’eau pour une longue durée.
Bibliothèque Chantal Mauduit : le nouveau bibliobus dessert les quartiers Eaux Claires et Mistral. En février dernier, la bibliothèque Chantal Mauduit était incendiée et partiellement détruite. Dès le mois de mars, la Ville annonçait son plan d’action pour maintenir ce service public de proximité. Parmi ces propositions de continuité de la bibliothèque «hors les murs», la Ville a annoncé l’achat d’un bibliobus pour maintenir un accès à la lecture en proximité aux habitant-es des quartiers Eaux Claires et Mistral. Depuis le 17 juin, le bibliobus est présent sur 4 créneaux chaque semaine pour emprunter des documents, participer à des ateliers ou simplement faire une pause lecture en plein air.
Le Conseil métropolitain du 11 juillet 2025 délibère pour déclarer à son tour d’intérêt général le projet de requalification de l’Esplanade et la mise en compatibilité du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUi) relative à cette requalification.
L’habitat est l’un des secteurs économiques les plus énergivores. Rénover massivement les copropriétés est un enjeu partagé, et permet de diminuer l’impact carbone… mais également d’améliorer le confort été comme hiver et de diminuer les factures des habitants. Depuis 2010, plus de 230 copropriétés ont été rénovées dans le cadre du dispositif Mur Mur de la Métropole, dont 112 à Grenoble.
La Ville de Grenoble propose des aides financières complémentaires et a sollicité l’ALEC fin 2024 pour repérer les copropriétés à fort potentiel de rénovation et inviter ces dernières à s’informer sur les aides et dispositifs existants.
A Rotterdam le 25 juin 2025, Gilles Namur adjoint au maire de Grenoble a réceptionné le prix du développement durable local 2025, récompensant la refonte profonde des espaces scolaires
La concurrence était rude puisque 7 pays et 60 projets européens concouraient au “Local Sustainability Award” qui récompense les villes, villages et régions portant des projets d’importance pour la transition écologique.
Trois projets étaient finalistes : le projet Sustainability Protocol de la zone métropolitaine de Barcelone (Espagne), le projet Revitalise Vilnius de la ville de Vilnius (Lituanie) et le projet « Breath of Schools » de la ville de Grenoble (France) tous trois répondant très bien aux Engagements d’Aalborg : œuvrer pour un avenir juste, durable et neutre sur le plan climatique.
Voici les raisons du choix de Grenoble par le jury :