Archives pour le mot-clef ‘grenoble’

Un intrus au Conseil municipal

Publié le 21 décembre 2019
©Ville de Grenoble

Il y a deux raisons très claires pour ne pas reconnaitre à M. Carignon une légitimité à participer aux délibérations du Conseil municipal, même si la légalité le lui permet, sauf s’il est intéressé à l’affaire en débat ce qui peut arriver.

La première raison que tout le monde connait et qui a été rappelé avec précision par Claude Coutaz lors d’un vœu aux parlementaires (voir ci-dessous) qui devrait éloigner les corrompus de leurs victimes. Avoir fait l’acte le plus grave qu’un élu puisse commettre devrait le disqualifier définitivement.

La deuxième qui a été révélée avec clarté au Conseil municipal du 16 décembre, c’est de découvrir un élu qui tourne le dos à l’intérêt général en pratiquant exclusivement du pur clientélisme, en profitant de toutes les délibérations pour alimenter sa propre campagne électorale et non les intérêts de la collectivité. Peu importe que ce soit des séries de mensonges, la fin justifie les moyens.

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Le renouvellement urbain à la Villeneuve se poursuit

Publié le 21 décembre 2019

Le conseil municipal du 16 décembre a décidé de la seconde phase de réhabilitation de l’habitat de la Villeneuve, sur les copropriétés 60-120 et 130-170 Arlequin. Dans le cadre du nouveau programme de renouvellement urbain (NPNRU) des Villeneuves, le plan de sauvegarde des copropriétés de l’Arlequin est un dispositif global de requalification de l’habitat. Il mobilise d’importantes ressources financières publiques pour réhabiliter un ensemble immobilier complexe géré en copropriétés et composé de logements privés et de logements locatifs sociaux. Il a vocation à réhabiliter énergétiquement les logements et les parties communes, dans l’optique de réduire les consommations. Les logements seront également rénovés de manière globale, avec la réfection des parties communes, des réseaux hydrauliques ainsi que des ouvertures (fenêtres, balcons et loggias).

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Grenoble une ville très diplômée

Publié le 21 décembre 2019

Lors du recensement, il est demandé aux habitants de plus de 15 ans non scolarisés, quel est le diplôme le plus élevé obtenu. Les résultats pour le dernier recensement (2016) sont publiés pour tous les niveaux territoriaux. Une comparaison entre la ville de Grenoble, la Métro, le Département de l’Isère, la Région Auvergne-Rhône Alpes et la France montre que Grenoble se détache très nettement pour le taux de titulaires du bac et plus.

L’INSEE classe les habitants en différentes catégories, par exemple pour ce qui intéresse cet article :

  • Sans diplôme ou BEPC, brevet des collèges, DNB (diplôme national du brevet)
  • CAP – BEP
  • BAC
  • Diplôme d’enseignement supérieur

Depuis 10 ans, il y a eu une forte évolution à Grenoble avec une diminution importante de 8 points des non diplômés et une augmentation aussi forte des diplômés de l’enseignement supérieur. Par contre pour les catégories intermédiaires, c’est assez stable

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La mauvaise gestion financière du corrompu de 1983 à 1995 : compléments

Publié le 21 décembre 2019

Lors du Conseil municipal, l’adjoint aux finances, Hakim Sabri est passé assez vite sur la dette issue des années de gestion du maire corrompu, mais M. Carignon a protesté car la majorité n’a parlé que de l’explosion de la dette qu’il avait créée, alors qu’elle aurait dû montrer que les impôts n’avaient pas été augmentés durant son mandat (1983 -1995) et que les dépenses de fonctionnement avaient été maitrisées.

Voici donc des graphiques qui répondent à cette demande et qui montrent que la gestion de l’argent public par le corrompu manquait beaucoup de rigueur dans la gestion et que sa mémoire est très détériorée.

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Les dégâts de la corruption à Grenoble, suite…

Publié le 13 décembre 2019

Le 9 décembre, à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la corruption, l’ADES a rappelé, lors d’une conférence de presse, que les dégâts du système corruptif grenoblois continuent à peser sur les services publics locaux, sur leurs usagers, sur les contribuables et que le retour du maire corrompu au Conseil municipal complique sérieusement la situation.

C’est pourquoi nous demandons au Préfet de saisir les autorités de contrôles, dont le tribunal administratif et la chambre régionale des comptes afin de disposer d’avis concernant l’impossibilité de fonctionnement normal des institutions locales de Grenoble en présence du retour d’un corrompu ayant manié l’argent public à des fins étrangères à l’intérêt général.

Nous réaffirmons que nous sommes pour la réinsertion des délinquants, mais pas au milieu de leurs victimes.

Le 9 décembre a été déclarée « Journée internationale de lutte contre la corruption » par l’ONU, afin de sensibiliser le monde car « La corruption engendre la corruption et favorise l’impunité, qui ronge la société… La corruption s’attaque aux fondements des institutions démocratiques » (Convention des Nations Unies contre la corruption (résolution 58/4) du 31 octobre 2003)

La corruption est « l’acte le plus grave qui puisse être reproché à un élu » (CA Lyon, 9 juillet 1996).

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Budget 2020 de la Ville de Grenoble

Publié le 13 décembre 2019
©Ville de Grenoble

Lors du Conseil municipal du 16 décembre, sera voté le budget 2020 de Grenoble. C’est un budget particulier puisqu’il est voté par l’équipe actuelle mais sera exécuté en grande partie par la nouvelle équipe municipale mise en place fin mars 2020. Il est construit dans un champ de contraintes très lourdes. La loi interdit à ce que les dépenses de fonctionnement dépassent de 1,27 % le montant de l’année passée, c’est-à-dire moins que l’inflation.

Or les dépenses de personnel atteignent environ 60 % des dépenses de gestion (fonctionnement moins les intérêts de la dette) vont augmenter de 2,4 % notamment à cause de décision nationales non compensées. Donc il faut que les 40 % d’autres dépenses diminuent en euros courants. Ceci touche les charges générales qui permettent aux personnels de travailler et les subventions aux associations et au CCAS. Le budget 2020, décide de ne pas diminuer les subventions et donc de poursuivre les efforts d’une gestion très rigoureuse de l’argent public.

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Comment les grenoblois se déplacent pour aller au travail ?

Publié le 13 décembre 2019

Une véritable révolution se fait jour dans les modes de déplacements pour aller au travail dans la ville de Grenoble depuis quelques années. Alors qu’en 2006 il y avait 48,4% d’actifs qui utilisaient la voiture pour aller travailler, il n’y en a plus que 39% 10 ans après.

Il y a 6 000 Grenobloi-ses qui ont changé de mode de déplacement domicile-travail en 10 ans, en abandonnant la voiture pour le vélo et les transports en commun.

Voici les résultats des recensements de l’INSEE concernant les actifs de plus de 15 ans qui ont une activité professionnelle, suivant du mode de transport choisi pour aller au travail :

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Lutte contre la pollution de l’air : Grenoble progresse, mais doit continuer

Publié le 13 décembre 2019

L’Unicef, le Réseau action climat (RAC) et Greenpeace ont examiné dans le détail les actions menées dans 12 des plus grandes agglomérations de France. Paris, Grenoble et Strasbourg sont les grandes villes les plus actives dans la lutte contre la pollution de l’air due aux transports, Montpellier, Nice et Marseille ferment la marche. Mais, même pour le trio de tête ce n’est pas encore suffisant. Malheureusement le Conseil départemental de l’Isère joue un mauvais jeu, il est en train de vouloir détruire le SMTC pour des raisons purement politiciennes, en refusant son élargissement et en menaçant d’en sortir. Pourtant la lutte contre la pollution atmosphérique exige des efforts de toutes les collectivités, souhaitons que le Département revienne à de meilleures intentions.

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Municipales 2020, la campagne de « Grenoble en commun » monte en gamme

Publié le 6 décembre 2019

Les militants de « Grenoble en commun » ont participé en nombre à la grande manifestation du 5 décembre à Grenoble qui demandait le retrait du projet gouvernemental sur les retraites et protestait contre les attaques multiples contre les services publics, nos précieux biens communs.

Le travail d’élaborations des propositions bat son plein dans les fabriques en ville et en ligne ainsi que dans les groupes de travail et des premières propositions font l’objet de présentations régulières aux médias. On retrouve ces propositions sur le site sous l’onglet « Défis ».

Les thèmes suivants sont déjà traités lors de conférences de presse, en voici quelques extraits :

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Le retour du corrompu aux affaires…

Publié le 6 décembre 2019

Nous avons demandé au dessinateur Cled’12 de faire quelques illustrations concernant le retour du corrompu au Conseil municipal du 16 décembre. Pour se rappeler ce qu’était le système politique qui a régné sur la ville de 1983 à 1995 et qui a fait des dégâts considérables aux services publics (et qui durent encore…), il faut lire l’ouvrage en ligne « Le système Carignon  » et la brochure de l’ADES ici

Il revient avec toutes ses casseroles qui vont faire une drôle de musique. Nous sommes pour la réinsertion des délinquants, mais pas au milieu de leurs victimes…Donc il s’agit de lui barrer la route et punir sa démagogie à outrance.

Il débute son mandat de conseiller municipal par ne s’intéresser qu’à l’argent, comme d’habitude, il n’a participé qu’à une seule commission municipale, celle des finances pour faire ensuite des propositions assez débiles. Il ne s’intéresse ni au social, ni à l’urbanisme, ni à la jeunesse, ni à la culture…

L’immobilier se porte bien dans l’agglomération

Publié le 6 décembre 2019

L’observatoire de l’habitat réalise des notes de conjoncture concernant l’immobilier à l’échelle du territoire métropolitain et par communes. Il porte sur le marché de l’immobilier neuf, ancien et sur le parc locatif privé. La dernière note vient d’être publiée, elle porte sur l’année 2018 qui a été particulièrement dynamique que ce soit en termes de commercialisation de logements neufs que de transactions de logements existants. Contrairement aux petites musiques politiciennes qui expliquent que tout va mal à Grenoble et dans la Métropole.

Voici quelques éléments tirés de cette note de conjoncture :

« La Métropole reste en bonne position pour la commercialisation des appartements neufs

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Caractéristiques socioprofessionnelles de la population grenobloise

Publié le 6 décembre 2019

Selon les chiffres du recensement de 2016 (données prises entre 2014 et 2018), la population de Grenoble a environ 38 ans de moyenne d’âge et une évolution des catégories socioprofessionnelles assez stable dans les catégories artisans, professions intermédiaires, employés, ouvriers et retraités. L’évolution se fait nettement dans la catégorie des cadres et professions intellectuelles supérieures au détriment des plus de 15 ans sans activité professionnelle (dont les étudiants).

La moyenne d’âge varie beaucoup en fonction des quartiers. Les quartiers avec la population la plus âgée (plus de 42 ans en moyenne) sont : Les Trois Cours, Hebert-Mutualité, Eaux claires-Painlevé, Houille Blanche, Diables bleus, Clémenceau, Reyniès, Malherbe, La Bruyère, Constantine. Les quartiers plus jeunes (moins de 35 ans de moyenne) sont : Jean Macé, Europole, Cours Berriat, Gabriel Péri, Esplanade, Grenette, Génissieux, Mistral, Paul Cocat, Les Trembles, Vigny-Musset, Village Olympique Sud

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Evolution du parc automobile des ménages grenoblois

Publié le 29 novembre 2019

L’évolution du parc automobile des Grenoblois est très lente ; l’amélioration des transports en commun, de l’utilisation des vélos et le développement de l’autopartage permettent à des ménages d’abandonner l’utilisation fréquente de la voiture individuelle. Vu que le nombre de déplacements en voiture diminue régulièrement dans Grenoble, cela signifie que les voitures sont nettement moins utilisées que dans le passé.

L’ensemble des ménages grenoblois possède en 2016 environ 64 000 voitures individuelles soit une diminution de 2 000 voitures en 10 ans. En 2006 il y avait 68,4% des ménages qui avaient au moins une voiture, en 2016 cela a diminué de 4 points (64,4%). Cette diminution est assez récente puisqu’entre 1999 il y avait 67,5 % des ménages ayant au moins une voiture.

Le nombre de ménage ayant plus d’une voiture a diminué de 1 400 entre 2006 et 2016, alors qu’il avait augmenté de 850 voitures entre 1999 et 2006.

Le nombre de ménage possédant au moins un parking a augmenté de 3 150 depuis 2006, il avait augmenté de 7 300 entre 1999 et 2006

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L’arrêté « anti-mise à la rue » à Grenoble toujours suspendu

Publié le 29 novembre 2019

Le 21 mai 2019, le maire de Grenoble prenait un arrêté qui tentait de lier une expulsion à une non remise à la rue, donc de trouver, au préalable, une solution d’hébergement pour l’expulsé. Le maire demandait qu’à l’occasion de toute expulsion il lui soit fourni la justification qu’une solution effective, décente et adaptée de logement ou le cas échéant d’hébergement, ait été proposée aux personnes intéressées.

Le préfet de l’Isère a demandé au juge des référés du tribunal administratif de Grenoble de suspendre l’exécution de l’arrêté du maire de Grenoble. Par une ordonnance du 28 juin 2019, le juge des référés du tribunal administratif de Grenoble, a suspendu l’exécution de l’arrêté du maire de Grenoble. La commune de Grenoble a fait appel de cette suspension, mais par une ordonnance du 20 novembre 2019, le juge des référés de la Cour administrative d’appel de Lyon a rejeté cet appel. L’arrêté reste donc suspendu.

Voici un extrait de l’ordonnance du juge des référés de la CAA de Lyon :

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Logements vacants à Grenoble

Publié le 15 novembre 2019

L’INSEE donne chaque année l’évolution du nombre de logements et le nombre de logements vacants pour les communes et pour les quartiers IRIS dans chaque commune. Il est important de se rapprocher de la définition donnée par l’INSE du logement vacant, car la majorité de ces logements ne sont pas des logements pouvant être mis sur le marché à la vente ou à la location.

« Un logement vacant est un logement inoccupé se trouvant dans l’un des cas suivants :

  • proposé à la vente, à la location ;
  • déjà attribué à un acheteur ou un locataire et en attente d’occupation ;
  • en attente de règlement de succession ;
  • conservé par un employeur pour un usage futur au profit d’un de ses employés ;
  • gardé vacant et sans affectation précise par le propriétaire (exemple un logement très vétuste…). »

Le taux de vacance est la part des logements vacants dans l’ensemble des logements.

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Un bilan financier du CCAS de Grenoble

Publié le 8 novembre 2019

Le CCAS de Grenoble est historiquement un CCAS très important qui a pris en charge de nombreux services qui auraient pu rester en gestion à la ville, notamment la petite enfance et les personnes âgées. Depuis 2015 d’importantes restructurations ont eu lieu pour mutualiser avec la ville certaines activités ce qui a permis de faire certaines économies dans le contexte très difficile imposé par la politique Hollande-Valls qui a diminué les dotations à la ville (perte de 17 M€ de recettes de fonctionnement entre 2014 et 2017 et ce pour toutes les années futures).

La ville a demandé au CCAS des économies de fonctionnement très inférieures à celles qu’elle s’est imposée à elle-même ; les économies au CCAS ont été limitées à 2,5% de ses dépenses alors que pour le budget de la ville cela a atteint 7 % des dépenses de fonctionnement.

Il reste encore beaucoup à faire pour améliorer le fonctionnement du CCAS afin qu’il remplisse encore mieux les missions de service public que la loi lui impose et que le Conseil municipal lui délègue.

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Inauguration de la rue de Vassieux-en-Vercors à Grenoble

Publié le 8 novembre 2019
Remise de la Croix de la Libération à la ville de Grenoble

Le 5 novembre, les maires de Grenoble et de Vassieux-en-Vercors ont inauguré la rue du nom de cette commune du Vercors, Compagnon de la Libération. C’est une rue du nouveau quartier de la Presqu’île. 

Rappelons le contenu des décrets signés par le Général de Gaulle nommant ces deux villes Compagnon de la Libération : 

Grenoble : décret du 4 mai 1944 :

« Ville héroïque à la pointe de la résistance française et du combat pour la libération. Dressée dans sa fierté, livre à l’Allemand, malgré ses deuils et ses souffrances, malgré l’arrestation et le massacre des meilleurs de ses fils, une lutte acharnée de tous les instants. Bravant les interdictions formulées par l’envahisseur et ses complices, a manifesté le 11 novembre 1943, sa certitude de la victoire et sa volonté d’y prendre part. Le 14 novembre et le 2 décembre 1943, a répondu aux représailles et à l’exécution des chefs des mouvements de la résistance, par la destruction de la poudrière, de la caserne, de transformateurs et d’usines utilisés par l’ennemi. A bien mérité de la Patrie. » 

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Ancienneté d’emménagement des Grenoblois dans leur logement

Publié le 8 novembre 2019

Lors des recensements annuels l’INSEE recueille de nombreuses informations sur l’occupation des logements et notamment sur l’ancienneté d’aménagement dans le logement pour un propriétaire, un locataire et aussi pour les locataires en HLM. Sans surprise ce sont les propriétaires qui restent le plus longtemps dans leur résidence principale.

A Grenoble, en 2016, les ménages vivent en moyenne depuis 10,8 années dans le même logement, les propriétaires y sont depuis 18,2 années, les locataires 6,1 années et ceux qui louent un HLM, 4,7 années.

L’INSEE précise : « l‘ancienneté d’emménagement dans le logement correspond au nombre d’années écoulées depuis la date d’emménagement dans le logement. Par exemple, pour les individus enquêtés en 2016 ayant déclaré avoir emménagé en 2016, l’ancienneté d’emménagement est de 0 an ; pour ceux qui ont déclaré 2015, l’ancienneté d’emménagement est de 1 an, etc.

Si tous les occupants présents au moment du recensement ne sont pas arrivés en même temps, la date d’emménagement correspond à celle du premier arrivé. Si cette personne a toujours vécu dans le logement, l’année d’emménagement correspond à son année de naissance. »

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Une analyse indépendante de la situation financière de Grenoble

Publié le 1 novembre 2019

M. Albouy, professeur de finance à Grenoble Ecole de Management, a livré son analyse dans le Dauphiné Libéré du 27 octobre, sur la situation financière de la ville de Grenoble. Il ne peut pas être suspecté d’être proche de la majorité grenobloise, étant adjoint au maire de Corenc, commune gérée par la droite. Il rejoint nos analyses sur plusieurs points :

  • A Carignon laisse en 1995 les finances de la ville dégradées et dans une situation difficile. Et à propos de la dette de Grenoble il signale que cela remonte loin. Il suffit de voir la courbe de l’endettement de la ville depuis 1982 pour comprendre que c’est effectivement le maire corrompu qui a fait exploser la dette et qui recommencera si, par malheur, il revenait aux affaires.

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Analyse des besoins sociaux éditée par le CCAS, des précisions…

Publié le 1 novembre 2019

Grace à l’action tenace de notre groupe d’élu·es alors minoritaire dans la majorité municipale (1995-2008) nous avons imposé que cette analyse des besoins sociaux (ABS) soit réalisée et publiée. Aujourd’hui avec notre groupe majoritaire Grenoble est une des très rares villes à réaliser et publier sur son site ces informations obligatoires et publiques imposées par le code de l’action sociale et des familles

Le gouvernement Valls a voulu supprimer en 2016 cette obligation puisque pour lui, comme d’autres dans ses cabinets, dans « socialiste », il y a surtout « liste » et pas « social ». Il n’a pas réussi complètement mais a pris un décret n° 2016-824 du 21 juin 2016 relatif aux missions des centres communaux et intercommunaux d’action sociale qui supprime le caractère annuel de cet ABS, le rend obligatoire une seule fois en début de mandat, en modifiant l’article R. 123-1 du code de l’action sociale et des familles qui devient :

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