Archives de février 2020

Réunions publiques de Grenoble en commun

Publié le 28 février 2020

Jeudi 5 mars à 19h pour le secteur 1 à la Maison des habitants Chorier Berriat, 10 rue Henri le Châtelier


Vendredi 6 mars pour le secteur 2 à la Plateforme, ancien Musée de peinture, 9 place de Verdun,


Mercredi 11 mars : 17 h match de foot géant parc Paul Mistral.

Mercredi 11 mars : 19 h Grand meeting de 1er tour au Jardin de Ville avec de nombreuses personnalités et à 21 h concerts gratuits au Jardin de Ville avec Ivan le Bolloc’h et Sinsémilia

Méfions-nous des sondages pour les élections municipales

Publié le 28 février 2020

Il faut prendre avec beaucoup de précautions les résultats du sondage effectué entre le 17 et 20 février par téléphone auprès de 604 personnes inscrites sur la liste électorale de Grenoble, dont 529 ont déclaré être certaines d’aller voter et ont exprimé une intention de vote alors que la réalité de la participation est seulement d’environ 50 % des inscrits. Le sondage a été effectué par Ipsos/Sopra Steria pour France Bleu Isère et Le Dauphiné Libéré. La liste conduite par Eric Piolle creuse un écart assez conséquent avec les listes suivantes : 36% devant Carignon 20 %, Noblecourt 19 %, Chalas 16%.

Mais il faut se souvenir que quelques jours avant les élections de mars 2014, un sondage (BVA-Orange) avait annoncé la victoire inéluctable de la liste Safar avec un écart de 10 points sur la liste Piolle au premier tour et de beaucoup plus au deuxième. Dans ce sondage, le seul petit indice qui pouvait indiquer une fragilité de la liste PS était que les électeurs voulaient qu’on baisse les impôts locaux alors que Safar-Destot les avaient augmentés de 9 % en 2009.

Le vote dans l’isoloir ne correspond pas du tout aux réponses aux sondages pour les municipales car le système de redressement ne marche pas, alors qu’il marche assez bien pour les élections nationales.

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Grenoble en commun : le projet en détail

Publié le 28 février 2020

Durant la campagne, la liste a présenté de nombreux défis qu’elle entend porter dans le prochain mandat que ce soit à la Ville ou à la Métropole. Les candidat-es ont signé une charte éthique qui traite du non cumul de mandat, de l’assiduité des élu-es, de la transparence (déclaration de patrimoine et d’intérêts notamment), de la sobriété dans l’accomplissement du mandat, de la probité, de la reconnaissance des élu-es minoritaires et du contrôle de l’action publique.

L’originalité du projet de la liste Grenoble en commun avec Eric Piolle est qu’il a été construit lors des réunions publiques des Fabriques en ville, par les propositions sur internet et les groupes de travail thématiques qui se sont tenus ces derniers mois. Il y a environ 1000 personnes qui y ont directement participé. Un groupe de rédaction a repris ces propositions (environ 700) et les a classées dans diverses rubriques en en conservant l’expression originale.

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Un citoyen qui a été condamné pour corruption ne peut pas être élu partout…

Publié le 28 février 2020

Contrairement à ce qu’il prétend, M. Carignon n’est pas un citoyen et un élu comme tout le monde parce qu’il ne présente pas des garanties d’intégrité et de moralité indispensables pour exercer certaines fonctions importantes.

Les électeurs et électrices de Grenoble doivent savoir que M. Carignon, suite à sa condamnation en 1996 pour corruption, subornation de témoins et enrichissement personnel au préjudice des usagers de l’eau de Grenoble, est interdit sans limitation de temps, d’exercer notamment des fonctions d’administration d’un organisme de logements sociaux par application des dispositions du code de la construction et de l’habitation.

En effet, les articles L. 241-3 et L. 423-12 du code de la construction et de l’habitation (CCH) interdisent définitivement à un condamné pour corruption, de subornation de témoin, d’exercer des fonctions d’administration d’un organisme de logement social.

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Politique politicienne

Publié le 28 février 2020

M. Carignon s’offusque du programme de la liste Grenoble en commun et trouve que c’est une provocation pour les Grenoblois. La vraie provocation c’est que cet ancien maire corrompu puisse venir devant les électeurs alors qu’il a fait l’acte le plus grave d’un élu, en s’enrichissant personnellement (de plus de 19 millions de Francs) en contrepartie de la vente au privé de la gestion du service public de l’eau.


Il parait que la liste de Mme Chalas serait « 100% Grenoblois compatible » ! Ce n’est pas très original puisque c’est une obligation légale : toutes les personnes de la liste doivent avoir un lien étroit avec la ville, y habiter ou y payer des impôts locaux.


Les listes Macron compatibles ont eu un peu de mal à se stabiliser, on sent que ça tangue un peu. Après Mme Chalas qui a dû revoir sa copie, c’est M. Noblecourt qui a été obligé de remplacer deux personnes…

Grenoble la ville où il fait bon vivre

Publié le 28 février 2020

Le mensuel Alternatives économiques de mars 2020, vient de publier le classement des 30 villes (de plus de 50 000 habitants) où il fait bon vivre en France. Grenoble est classée première.

Le mensuel économique décrit le nouvel indicateur de la qualité de vie qu’il a créé et les pondérations affectées à chaque critère.

L’indicateur est organisé en 7 thèmes et comporte 20 indicateurs :

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Gestion du stade des Alpes

Publié le 28 février 2020

L’exploitation du Stade des Alpes est effectuée par la société SOGESTAL dans le cadre d’une délégation de service public d’une durée de 8 ans qui se termine le 31 octobre 2020. La Métropole a décidé le 27 septembre de ne pas renouveler la délégation de service public et d’étudier deux solutions :

  • une convention d’occupation domaniale, à titre exclusif, avec exploitation par les clubs professionnels de foot (GF38) et de rugby (FCG) qui constitueraient une structure commune pour gérer le stade.
  • une régie si la solution précédente ne pouvait aboutir.

Le 7 février le Conseil de la métropole a approuvé (à l’unanimité et 21 abstentions) un protocole entre la SASP GF38, la SASP FCG Rugby et Grenoble Alpes Métropole, relatif à la gestion de l’équipement du Stade des Alpes.

La délibération du 7 février précise les éléments constitutifs du protocole :

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La Compagnie de Chauffage poursuivra l’exploitation d’Athanor pour 6 ans

Publié le 28 février 2020

La délégation de service public pour l’incinération des déchets à la CCIAG (compagnie de chauffage intercommunale de l’agglomération grenobloise) se terminait mi-2020.

Le groupement de commandes regroupant Grenoble Alpes Métropole et cinq EPCI du sud Isère (la communauté de communes Le Grésivaudan, la communauté de communes de la Matheysine, la communauté de ommunes de l’Oisans, la communauté de communes du Trièves et la communauté d’Agglomération du Pays Voironnais) avait lancé une consultation pour trouver un délégataire s’occupant à la fois de la reconstruction de l’usine sur le site Athanor et sa gestion. Mais il n’y a eu qu’un seul candidat qui a répondu et donc une absence de concurrence. Le groupement n’y avait pas donné suite.

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La CRC épingle le maire de Sassenage pour la gestion du CAUE

Publié le 28 février 2020

Le 24 février, la Chambre régionale des comptes (CRC) vient de mettre en cause la gestion irrégulière par l’élu de droite M. Ch. Coigné (maire de Sassenage, conseiller métropolitain, vice-président du conseil départemental) du Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement de l’Isère (CAUE) qu’il préside depuis le 2 juin 2015.

Des faits graves sont relevés dont la complicité des services de l’Etat membres des instances du CAUE. On comprend mieux la passivité du contrôle de légalité.

A l’issue du rapport d’observations, la CRC fait 12 recommandations :

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Réforme des retraites : quels impacts sur les collectivités

Publié le 28 février 2020

Les employeurs publics territoriaux représentés par les associations d’élus (AMF – ADF – Régions de France – ADCF – France Urbaine – Villes de France – APVF – AMRF – CNFPT – FNCDG – Collège employeurs du CSFPT) ont transmis un mémorandum au gouvernement et aux parlementaires qui recense toutes les menaces que le futur système fait peser sur la sphère territoriale.

Ils ont raison de s’inquiéter, car lors du vote du 1er article de la loi sur la réforme des retraites, l’Assemblée nationale a refusé de voter un amendement visant à garantir aux fonctionnaires territoriaux le versement d’une retraite d’un « montant au moins équivalent à celle aujourd’hui perçue ».

 « Ce mémorandum a pour objectif de rappeler les attentes ou les inquiétudes ainsi que les propositions de la Coordination des employeurs territoriaux concernant la réforme du système des retraites des agents territoriaux. Les employeurs territoriaux n’étaient pas demandeurs d’une réforme systémique des retraites et il ne leur appartient pas de porter un jugement global sur la philosophie politique qui préside à l’esprit de la réforme. En revanche, ils se préoccupent légitimement des conséquences éventuelles de cette réforme pour les collectivités et leurs agents.

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De nouveaux pouvoirs de police pour les maires

Publié le 28 février 2020

Dans ses articles 41 à 64, la loi n° 2019-1461 du 27 décembre 2019 relative à l’engagement dans la vie locale et à la proximité de l’action publique, renforce les pouvoirs de police du maire dans de nombreux domaines (liste non exhaustive) :

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Epandage de pesticides près des habitations : de nouveaux recours

Publié le 28 février 2020

Le 25 février des associations environnementales, de consommateurs et de médecins ont déposé des recours au Conseil d’État contre les textes (arrêté et décret) qui forment le dispositif encadrant l’épandage de pesticides à proximité des habitations.  

Ce collectif est constitué de Générations futures, France Nature Environnement, Eaux et Rivières de Bretagne, UFC-Que Choisir, l’AMLP (une association de médecins) et l’Union syndicale solidaire et des collectifs de protection des riverains.

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Agenda

Publié le 21 février 2020

Samedi 22 février 2020 à 14 h rassemblement place de Verdun à l’appel du collectif des algériens de Grenoble suivi d’une marche vers le consulat d’Algérie. Il y a un an débutait le Hirak des algériens qui demande le départ du régime et une transition démocratique.


Réunions publiques de la liste Grenoble en commun « pour accélérer les transitions »

  • Samedi 22 février à 14h – Secteur 5 – MJC Abbaye, 1 Place de la Commune 1871
  • Mardi 25 février à 19h – Secteur 6 – Centre Sportif Jean Philippe Motte salle polyvalente, 1 Rue des Peupliers
  • Mercredi 26 février à 19h – Secteur 3 – MJC Anatole France, 2 Rue Anatole France
  • Jeudi 27 février à 19h – Secteur 4 – Espace Vie Sociale, 1 Avenue Léon Blum
  • Jeudi 5 mars à 19h – Secteur 1 – Maison des habitants Chorier Berriat, 10 Rue Henri le Chatelier
  • Vendredi 6 mars à 19 h – Secteur 2 – La Plateforme, ancien musée de Peinture, 9 Place de Verdun

Grenoble en commun : la liste 0% Macron compatible !

Publié le 21 février 2020

Les 59 candidat-es et les deux suppléants de l’équipe « Grenoble en Commun » avec Eric Piolle ont été présentés à la presse. C’est une liste très renouvelée, seuls 24 élus sortants se représentent. C’est une liste jeune et de très large rassemblement soutenue par toutes les sensibilités politiques progressistes : EELV, la France insoumise, les socialistes et humanistes grenoblois, le Parti Communiste Français, Génération’s, le Parti de Gauche, Ensemble !, Génération Ecologie, le Parti Animaliste et bien entendu des mouvements politiques locaux  ADES et Réseau Citoyen de Grenoble.

Deux anciens adjoints de Dubedout (maire de 1965 à 1983), Jacques Hennebert et Jean Giard terminent la liste pour indiquer cette continuité de la gauche grenobloise attachée à la justice sociale, aux luttes contre les discriminations et l’attachement à une gauche de transformation sociale refusant la sclérose des appareils politiques.

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Politique politicienne

Publié le 21 février 2020

La nomination d’O. Véran au ministère de la santé, c’est la continuité sans le changement ! Comme l’indique Christophe Prudhomme, médecin porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France (AMUF) à France info : « Pour nous, mettre comme ministre celui qui avait été à la manœuvre pour faire voter la loi de finance, qui motive aujourd’hui le mouvement à l’hôpital, ça frise la provocation ». On va voir en actes ce qu’il va faire en urgence pour le CHU et la Clinique mutualiste. Très maladroitement, le premier acte du ministre a été de proposer une enquête nationale auprès du personnel hospitalier pour connaître notamment les raisons du « mal-être » dans ce secteur en grève depuis près d’un an. Comme s’il découvrait subitement qu’il y a un vrai problème dans ce domaine !!!


On a tout de même le droit de rire un peu. Voici la perle de la liste pro-macron de Mme Chalas. Elle propose de « Nommer un adjoint à la culture compétent » et « en même temps » elle propose « le transfert de la compétence culture à la Métropole ». Conclusion, le pauvre adjoint très compétent devient totalement incompétent et disparaîtra.


L’équipe pro-macron d’O. Noblecourt utilise des moyens interdits pour faire sa propagande. Notamment en utilisant des moyens d’une collectivité pour faire une annonce de réunion électorale. Ce n’est plus « nouvel air », mais très vieux monde. La tête de liste fait son « Calimero » en se plaignant que les autres listes ne veulent pas débattre avec lui ; il a du mal à admettre qu’il n’est pas au centre du monde avec son équipe pro-macron très gauche/droite.


L’ancien maire corrompu, a présenté cette semaine seulement les 9 premiers de sa liste. C’est un message subliminal qu’il envoie car il pense se retrouver dans l’opposition avec seulement 9 élu-es.

Revenus disponibles des ménages par quartiers IRIS de Grenoble

Publié le 21 février 2020

L’INSEE présente les revenus disponibles des ménages fiscaux par unité de consommation pour l’année 2016. Le dossier comprend notamment le montant des revenus disponibles par déciles et par quartiles et permet de mesurer les écarts de revenus entre les 10 % les plus riches et les 10 % les plus pauvres, la médiane est la valeur qui partage la distribution des revenus en deux parties égales et l’indice de Gini : plus il est fort plus les inégalités sont marquées.

Grâce aux processus de redistribution (mêmes imparfaits), les inégalités de revenus disponibles sont un peu atténuées ; ce sont surtout les revenus des premiers déciles qui remontent un peu.

Les quartiers les plus inégalitaires sont ceux où il y a plus de hauts revenus, alors que les quartiers dits populaires sont moins inégaux, car il y a un tassement de l’échelle des revenus.

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Mise au point concernant les finances futures de Grenoble

Publié le 21 février 2020

Il n’est pas inutile de repréciser comment fonctionnent les finances de la ville de Grenoble, au moment où les candidats à l’élection municipale développent leurs programmes et tentent d’expliquer comment ils vont les financer. Car lorsqu’on se penche sur les promesses, il est clair que cela ne colle pas du tout avec les capacités réelles de la ville. Demain on rase gratis est le credo des oppositions qui croient que plus ils promettent, mieux ils seront appréciés par les électeurs. Mais les Grenoblois-es ne sont pas bêtes et savent que l’argent ne tombe pas du ciel car il vient de leurs poches à travers les impôts locaux et nationaux (pour les dotations de l’Etat).

Or les oppositions critiquent la politique municipale car la majorité a diminué de nombreuses dépenses (nécessité pour éviter la mise sous tutelle) ; elle aurait dû augmenter les subventions aux associations culturelles et sportives, au CCAS, ne pas diminuer le nombre de personnel, augmenter la police municipale, le service de propreté urbaine, apporter des aides aux commerces… Cette attitude dénote soit de la mauvaise foi, soit de l’incompétence ou les deux. En fait cela démontre que ces oppositions auraient augmenté les impôts locaux si elles avaient été aux affaires.

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La vacance des logements privés analysés par l’Anah

Publié le 21 février 2020

L’agence nationale de l’habitat (Anah) met en œuvre la politique nationale d’amélioration du parc de logements privés. Elle vient d’éditer l’édition 2019 du « MÉMENTO DE L’HABITAT PRIVÉ » en utilisant les données de l’année 2015, en les comparant aux données de l’année 2007.

Dans ce mémento elle consacre une partie sur la vacance des logements privés qui ne cessent d’augmenter à l’échelle nationale comme à Grenoble.

L’Anah utilise le fichier des logements par commune (Filocom), fichier construit par la Direction générale des finances publiques. Les données issues de ce fichier diffèrent un peu des données de l’INSEE qui sont issues des recensements.

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Distances d’épandage de pesticides : le Conseil d’Etat refuse de suspendre l’arrêté et le décret

Publié le 21 février 2020

Le 27 décembre 2019 un décret et un arrêté précisaient les distances à respecter lors de l’épandage de pesticides pour protéger les riverains des terrains agricoles traités.

Un collectif de maires opposés à cet épandage près des habitations (dont celui de Grenoble) avait déposé un référé demandant la suspension de l’arrêté et du décret qui retenaient des distances minimales de sécurité de 5, 10 et 20 mètres pour la protection des riverains en matière d’épandage des pesticides.

Le 14 février, le juge des référés du Conseil d’État rejette la demande de suspension au motif qu’il n’y a pas d’urgence. Par contre le juge ne se prononce pas sur le fond du dossier : y a-t-il ou pas un doute sérieux concernant la légalité de ces actes administratifs ? Cela laisse un peu de place concernant l’examen au fond du dossier prochainement par le Conseil d’Etat.

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Pour accélérer le « Logement d’abord »

Publié le 21 février 2020

La Fondation Abbé Pierre (FAP) et l’Union sociale pour l’habitat (USH) proposent 38 pistes d’amélioration pour « donner un second souffle au Logement d’abord ».

Rappel de la notion du logement d’abord : il s’agit d’une approche, qui a fait ses preuves pour réduire le nombre de personnes sans domicile partout où elle a été expérimentée aux Etats-Unis, au Canada et en Europe. Elle consiste à proposer aux personnes à la rue d’accéder directement et sans condition à un véritable logement pérenne de droit commun, plutôt que d’entamer un « parcours en escalier » à travers les différentes strates de l’hébergement avant d’aboutir éventuellement, à un logement. Cela implique de proposer aux personnes un accompagnement vers et surtout dans le logement pluridisciplinaire, global, renforcé et flexible, qui doit rester facultatif et articulé au projet résidentiel du ménage.

Les propositions concrètes de la FAP et de l’USH s’articulent autour des objectifs suivants :

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