Le 9 janvier 2024, l’association Trièves Mobilité Responsable (TMR) a fait une conférence de presse pour demander la révision totale du projet de réaménagement de la RD1075 par le Département de l’Isère.
TMR dénonce une présentation qui dissimule les buts réels, une mystification deshabitants et des élus. L’archaïsme de ce projet Tout Routiers est une régression environnementale et sociétale pour le Trièves et un déni de ruralité.
TMR a été créée en mars 2023 pour promouvoir des réalisations de mobilité responsables au sens de la protection de l’environnement du Trièves et du climat. Le besoin de mobilité est très fort au sein d’un territoire rural peu dense et il est crucial de promouvoir des solutions de mobilité en accord avec l’urgence climatique et adaptées aux préoccupations des habitants.
L’un de ses premiers gestes a été de s’élever contre le projet de rénovation de la RD1075, faussement présenté comme un projet de sécurisation et d’amélioration de la mobilité des habitants du Trièves.
Fabien Mulyk, maire de Corps et ancien vice-président du conseil départemental était poursuivi pour fraude électorale lors des élections régionale et départementales, où il votait pour deux autres électeurs sans procuration. Lors de l’audience du tribunal judiciaire il a été requis contre lui en plus d’une amende, 5 ans d’inéligibilité. Le jugement sera rendu le 23 janvier. Les conseillers départementaux écologistes se sont indignés du soutien qui a été apporté à ce délinquant par la majorité de droite à l’assemblée départementale. C’est une très mauvaise habitude de faire des louanges aux délinquants dans ces assemblées, comme l’a fait Carignon au dernier conseil municipal, remerciant Pinel pour son action au conseil municipal. Notre démocratie représentative est parfois bien malade.
Les grandes manœuvres politiques pour l’élection municipale de 2026 à Grenoble sont enclenchées. Les oppositions municipales ne pensent qu’à cela depuis mars 2020 et le sénateur de droite Michel Savin en appelle au rassemblement des oppositions à Grenoble autour d’Alain Carignon. Comme repoussoir on ne fait pas mieux. Il n’est pas sûr que cette perspective de se retrouver dans le wagon de queue de l’ancien maire corrompu autour duquel les délinquants fleurissent enchante les autres groupes d’opposition.
Encore la démonstration que le groupe bien à droite dirigé par Carignon spécialiste des fausses informations, nage en pleines contradictions. Il n’arrête pas d’expliquer qu’il y a trop de constructions de logements à Grenoble et en même temps que la ville perd des habitants et que c’est très inquiétant : 158 240 habitants en 2020 alors qu’il y en avait 160 779 en 2014. Pourtant il n’est pas difficile de comprendre ce qui se passe. Depuis de longues années, le nombre moyen d’habitants par logement à Grenoble diminue régulièrement (voir le graphique ci-dessous) ; il était de presque 3 en 1968, il n’était plus que 1,965 en 2009 ; 1,917 en 2014 et 1,896 en 2020. La légère diminution de population notée en 2020 est uniquement due à cette diminution de l’occupation des logements. Pour maintenir une population constante à Grenoble il faut construire plus de nouveaux logements qu’actuellement (tant que le nombre de logements vides ne diminue pas). S’il y avait le même nombre moyen de personnes par logement en 2020 qu’en 2014, Grenoble aurait 160 000 habitants ou le même nombre qu’en 2009, la population serait de 164 000 habitants. Ne pas construire assez entraine une diminution automatique de population…
4 à Grenoble, Alma – Très Cloîtres – Chenoise ; Mistral Lys Rouge Camine ; Villeneuve – Village Olympique ; Teisseire Abbaye Jouhaux Malherbe.
3 à Echirolles, La Luire – Viscose ; Essarts – Surieux ; Village Sud.
1 à Fontaine, Alpes Cachin Floralies.
1 à Le Pont de Claix, Iles De Mars Olympiades
1 à Saint Martin d’Hères, Renaudie Champberton Henri Wallon.
Par contre il y a des modifications de périmètre pour ces quartiers. Par exemple à Grenoble il y a de très légères diminutions des périmètres par rapport aux périmètres datant de 2015 ; dans les autres communes il y a plutôt une augmentation de périmètres. On peut voir ces évolutions sur une carte où sont visibles les périmètres de 2024 et de 2015 sur ce site.
Le terme de « populations légales » regroupe pour chaque commune sa population municipale, sa population comptée à part et sa population totale qui est la somme des deux précédentes.
La population municipale est celle qui est utilisée à des fins statistiques ; la population totale est la plus souvent utilisée pour l’application de dispositions législatives ou réglementaires.
Voir plus bas les définitions de ces deux populations légales.
Pour chaque commune, l’INSEE fait la comparaison entre les années 2010, 2015 et 2021. Le décalage de 6 ans entre 2021 et 2015 s’explique du fait de la crise sanitaire de la Covid-19, l’enquête annuelle de recensement qui devait se tenir en 2021 a été reportée en 2022.
Le programme TZEE, expérimenté sur une période de trois ans, vise à surmonter les obstacles à la rénovation globale et performante de l’habitat des personnes en situation de précarité énergétique. La Ville de Grenoble, déjà impliquée dans des initiatives telles que le programme SLIME et le financement de la rénovation énergétique via MurMur, affirme son engagement dans une démarche plus audacieuse. Les objectifs chiffrés du programme sur trois ans (2023-2025) incluent la rénovation de 3000 foyers, la formation de 1200 artisan-nes et bénévoles, et la mobilisation de 330 ensembliers solidaires à l’échelle nationale.
Une enquête publique relative au projet de modification n°2 du Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) est ouverte du 8 janvier 2024 au 9 février à 17 h.
Le projet de modification n°2 du Plan Local d’Urbanisme intercommunal de Grenoble-Alpes Métropole, prescrit par l’arrêté du Président de la Métro en date du 12 juillet 2023, a pour objectifs de prendre en compte des besoins nouveaux du territoire, d’apporter des adaptations au règlement écrit et graphique du PLUI, de renforcer son applicabilité lors de l’instruction du droit des sols et d’adapter au mieux les prescriptions réglementaires aux projets des communes ou pour l’application d’une politique publique métropolitaine.
Le projet de modification n°2 du PLUI porte sur des éléments de portée générale concernant l’ensemble des communes mais également sur des éléments de portée communale détaillés pour les communes de Bresson, Champ-sur-Drac, Fontaine, Grenoble, Jarrie, Pont-de-Claix, Saint-Egrève, Saint-Martin-d’Hères, Saint-Martin-le-Vinoux, Seyssinet-Pariset, Seyssins et La Tronche
La leçon du Président du Conseil constitutionnel au Président de la République. Lors des vœux du Président de la République au Conseil constitutionnel le 8 janvier 2024 à l’Elysée, Laurent Fabius a rappelé quelques fondamentaux de notre Etat de droit, suite à l’adoption de la loi sur l’immigration : « Le Conseil constitutionnel n’est pas une chambre d’écho des tendances de l’opinion publique, il n’est pas non plus une chambre d’appel des choix du Parlement, il est le juge de la constitutionnalité des lois. Cette définition claire, c’est probablement parce qu’elle n’est pas ou pas encore intégrée par tous… Sauf à prendre le risque d’exposer notre démocratie à de grands périls, ayons à l’esprit que, dans un régime démocratique avancé comme le nôtre, on peut toujours modifier l’état du droit mais que, pour ce faire, il faut toujours veiller à respecter l’État de droit, qui se définit par un ensemble de principes cardinaux comme la séparation des pouvoirs, le principe de légalité et l’indépendance des juges… c’est dans le respect de la Constitution que la loi exprime la volonté générale. »
Grenoble, une ville plus sûre pour les enfants. Un milieu urbain n’est pas un lieu sûr ni adapté pour les enfants. À Grenoble, l’accent est mis sur leur prise en compte dans la fabrique de la Ville. Les enfants sont trop souvent le public oublié de l’urbanisme. À Grenoble, plusieurs mesures permettent de rendre la Ville “à hauteur d’enfants”. Et cela passe surtout par assurer leur sécurité, dans cet environnement qui peut très vite leur être fatal. Par exemple, depuis 2016, la limitation de vitesse à 30 km/h est devenue la norme, et 50 km/h l’exception. Mais le projet le plus parlant de ce mandat, ce sont Les place(s) aux enfants.
L’abonnement dans les parkings de la Métropole majoré pour les véhicules plus lourds. Le prix de l’abonnement dans les parkings de la Métropole augmentera, en mars 2024, de 5% pour tous les abonnés, afin de faire face à la hausse des charges. Pour être plus juste, et conformément aux orientations de la Convention citoyenne métropolitaine pour le climat, cette augmentation des prix est donc assortie d’une tarification environnementale : les abonnés possédant une voiture très lourde seront, eux, majorés de 10%. Sont concernées les voitures essence ou diesel pesant plus de 1550 kg et les voitures électriques ou hybrides dépassant 1800 kg.
L’année 2023, malheureusement a vu se poursuivre, notamment en Europe, la montée des nationalismes, le renforcement des régimes autoritaires et des dictatures et se multiplier les guerres. Pourtant partout des mouvements de libération demandent le respect du droit international, l’égalité entre tous les individus notamment pour les femmes soumises aux viols de guerre, aux plus féroces des répressions. Les bombardements meurtriers de civils à Gaza et les raids des colons et de l’armée en Cisjordanie doivent cesser de toute urgence ; en Ukraine le camp de la liberté doit faire reculer l’agresseur, le droit international doit être respecté partout et par tous les Etats et les crimes de guerre être poursuivis par tous les moyens juridiques, les Etats signataires de la charte de l’ONU doivent enfin prendre des sanctions adaptées.
Sur un autre « front », la lenteur coupable avec laquelle la grande majorité des Etats traite la nécessité de diminuer les émissions de gaz à effet de serre est inquiétante, alors qu’il faudrait le faire fortement et vite au moment où nous voyons les conséquences des changements climatiques : nos régions sont agressées par les inondations, les sécheresses, les canicules… Tout retard dans l’adaptation de nos sociétés se paiera, et de plus en plus cher. La ville de Grenoble devra poursuivre et amplifier ses efforts dans les années à venir, tout en prenant soin d’accompagner ces politiques publiques par une attention accrue aux conséquences sociales touchant de nombreux ménages en cette période d’inflation et pendant le temps de mise en place de ces adaptations.
Le Rouge et le Vert suspend sa parution jusqu’au 12 janvier 2024 et vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année.
Samedi 6 janvier et 13 janvier 2024, manifestation pour un cessez le feu définitif à Gaza. A 14 h 30 Place Felix Poulat
La fête à Montpellier pour fêter la gratuité des transports en commun le 21 décembre 2023 : photo prise par un grenoblois (représentant le collectif gratuité, Grenoble citoyenne et Alternatiba) venu s’informer de cette décision historique de la métropole de Montpellier. A quand une telle fête populaire à Grenoble !
Les démocrates, les républicains, les humanistes et les écologistes craignaient la date de l’arrivée au pouvoir du Rassemblement national, c’est quasiment fait, sous un faux nez ou par une alliance avec une majorité « renaissance » et une droite décomplexée. La préférence nationale est « en marche », le droit du sol oublié, les restrictions pour les étrangers des prestations sociales, avant même que le RN ait gagné dans les urnes ; l’alliance de la majorité des macronistes avec la droite extrême de Ciotti et Retailleau a déroulé le tapis noir à Marine Le Pen et J. Bardella. Depuis des années par grignotements successifs, la préférence nationale – la marque de fabrique de l’extrême droite – sonnait à la porte. Même le Conseil constitutionnel a été indulgent par le passé, souhaitons qu’il se ressaisisse et rappelle les fondamentaux de notre Etat de droit.
Saluons l’attitude résolue des député.es Nupes, de certains député.es macronistes qui refusent de voir les valeurs de notre République ainsi bafouées, en votant contre cette loi et la démission du ministre de la santé Aurélien Rousseau.
Si on veut que la ville s’adapte au changement climatique et qu’elle soit vivable pour toutes et tous, une forte augmentation des investissements publics est indispensable, principalement dans trois grandes directions : l’isolement des bâtiments (logement et secteur tertiaire), les mobilités et l’alimentation qui sont à la fois les trois postes de dépenses les plus lourds financièrement pour les ménages et les plus émetteurs de gaz à effet de serre. L’évolution des espaces publics pour lutter contre les ilots de chaleur nécessite une végétalisation qui se traduit concrètement par exemple dans les les Places aux enfants autour des écoles, on remplace le bitume par des plantations et on protège les enfants. Et tout cela dans la solidarité avec les plus fragiles.
Soit on continue une transition tiède et à « petits pas » qui ne préparera pas assez vite l’adaptation de la ville, soit on manifeste une volonté déterminée vers des transitions énergétiques, écologiques et solidaires efficaces, pour cela les collectivités publiques notamment les communes, doivent fortement augmenter leurs investissements. C’est bon pour des transitions justes socialement et pour l’emploi local qui est actuellement menacé. Une hausse du chômage est annoncée pour 2024, entre autres par la grave crise du logement et la lenteur des rénovations thermiques.
La contribution de la Ville de Grenoble à l’enquête publique relative au projet de création d’une liaison par câble entre Fontaine, Sassenage, Grenoble et Saint-Martin-le-Vinoux a été déposée le 20 décembre auprès de la commission d’enquête. Le registre des contributions a été clos le 21 décembre, il y a eu plus de 1500.
La contribution de la ville se termine par : « En l’état actuel du dossier nous ne pouvons donc qu’être défavorables à ce projet de liaison par câble et demandons au maître d’ouvrage qu’il reconsidère le projet du BHNS » (Bus à Haut Niveau de Service Presqu’Ile – Grésivaudan). Cette contribution fait suite à la délibération de la ville du 7 novembre 2022 qui est dans le dossier d’enquête mais qui n’a pas donné lieu à une réponse argumentée du SMMAG.
La Ville met en cause l’utilité publique de la proposition du SMMAG par rapport notamment à cette réalisation du BHNS qui sera beaucoup plus efficace que le câble concernant le report modal vers les transports en commun puisque le BHNS transportera 4 fois plus d’usagers des TC que le câble.
La commune de Saint Egrève a transmis aussi un avis défavorable, ainsi que celle de Sassenage. Sur les 4 communes impactées par le câble la moitié a donné un avis défavorable.
Des extraits de la position de la ville de Grenoble :
La Chambre régionale des comptes Auvergne-Rhône-Alpes (CRC) a procédé, dans le cadre d’une enquête avec la Cour des comptes sur les services rendus aux demandeurs de permis de construire (habitat et tertiaire privé), au contrôle de Grenoble-Alpes Métropole et de la commune de Grenoble. Ce contrôle a porté sur les exercices 2015 et suivants.
Les demandes d’autorisations des droits des sols (ADS) de la commune de Grenoble représentent en moyenne 660 actes par an (dont une centaine de permis de construire), contre 165 pour la Métropole. Le volume d’ADS instruits par la ville de Grenoble a augmenté entre 2016 et 2022 de 41 % alors qu’il est en diminution de 9 % pour la Métropole.
Les décisions d’ADS, notamment celles relatives aux permis de construire, sont favorables dans près de 80 % des cas sur la période 2015 à 2022 pour la Métropole ou la commune de Grenoble. Pour Grenoble, la CRC constate une augmentation des taux de refus et des taux d’abandon. Les motifs des décisions de refus analysées ont des fondements réglementaires. Un nombre non négligeable des décisions sont contestées au plan du contentieux. Il faut remarquer que certains promoteurs n’hésitent pas à proposer des réalisations très discutables. Par exemple les permis de construire refusés par la Ville pour la construction sur un mini-terrain au 25 quai Jongkind.
L’ancien maire corrompu et ses collègues du conseil municipal multiplient les recours contre les décisions de la Ville qui essayent de bloquer l’activité municipale. Le dernier recours portait contre l’abattage de certains peupliers rue Aimon de Chissé à l’Ile Verte, qui sera effective lors des travaux concernant la Place aux Enfants. Selon les spécialistes, ces arbres présentaient un réel danger de chute. Le tribunal administratif a rejeté ce recours par une simple ordonnance car il était « manifestement irrecevable ». Ce refus est notamment motivé car aucun des requérants ne résidaient près des arbres et que ces arbres ne font pas partie d’un espace boisé classé. Ce type de guérilla est totalement inutile mais pèse sur les finances communales, c’est vraiment de la pure politique politicienne.
Le même résultat est arrivé au recours porté par l’association Vivre à Grenoble, ressuscitée à cette occasion, dont les membres sont des opposants politiques à la mairie. Leur référé liberté a été refusé par le tribunal administratif «l’opération d’abattage prévue les 21 et 22 décembre 2023 ne portent pas une atteinte manifestement illégale au droit de chacun de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé ». L’association devra verser 1000 € à la Ville et à la Métro.
L’INSEE classe les logements en quatre catégories : résidences principales, logements occasionnels, résidences secondaires, logements vacants.
Un logement est vacant s’il est inoccupé et proposé à la vente, à la location ; déjà attribué à un acheteur ou un locataire et en attente d’occupation ; en attente de règlement de succession ; conservé par un employeur pour un usage futur au profit d’un de ses employés ; sans affectation précise par le propriétaire (logement vétuste, etc.).
En 2020, il y a 12,1% de logements vacants (selon l’INSEE) à Grenoble (10,4% en 2014), Dans la Métro, Vizille, Grenoble, La Tronche, Séchilienne, Saint Barthelemy de Séchilienne et le Gua dépassent les 10 % de logements vacants en 2020. Il y a seulement 8,1% de logements vacants au niveau national, 7,7% dans le département de l’Isère, 8,8% dans la Métro.
A la suite de la visite de l’établissement par une équipe de six contrôleurs du 3 au 12 juillet 2023, la contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) a publié des recommandations en urgence du 22 août 2023 après avoir relevé que le taux d’occupation du quartier maison d’arrêt des hommes est de 173 % associé à de nombreux dysfonctionnements structurels, entraînaient des atteintes graves à la dignité et aux droits fondamentaux des personnes détenues.
Le 15 décembre 2023, le juge des référés du tribunal administratif de Grenoble ordonne des mesures urgentes, à la demande de Section française de l’Observatoire international des prisons, de l’Ordre des avocats du barreau de Grenoble et de l’Association pour la défense des droits des détenus. Le juge a considéré que des carences de l’administration pénitentiaire concernant des conditions matérielles de détention dans les cellules, portaient une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales.
Le groupe politique le plus important à la Métro, « Une métropole d’avance-UMA », groupe d’élu-es de gauche, écologistes et citoyens, édite une newsletter qui fait le point sur certains dossiers :
Mobilités, politiques cyclables : retour sur le comité syndical du SMMAG du 16 novembre : une nouvelle tarification du réseau de transports et un fort impact sur les jeunes
Ressource en eau, politique tarifaire de l’eau : Anne-Sophie Olmos, invitée du conseil économique, social et environnemental sur la politique tarifaire de l’eau
Prévention spécialisée : la prévention spécialisée, politique sociale du quotidien
Solidarités, aîné.es : Grenoble ville amie des aîné.e.s
Habitat, logement, solidarités : des communes de la métropole grenobloise vont bénéficier de l’encadrement des loyers !
Ciné-débat, polluants toxiques : un ciné-débat sur les substances toxiques à Champ sur Drac le 14 décembre en présence des parlementaires de l’Isère !
Les communes UMA dans l’actualité : condition animale à Grenoble, nouvelle bibliothèque de Champagnier et ouverture des parcs canins de Saint Egrève !
Conseil métropolitain : retour sur le conseil métropolitain du 24 novembre 2023
Fin 2022, 2,1 millions de personnes percevaient le revenu de solidarité active (RSA). Dans sa publication, Etudes et Résultats n° 1287 de décembre 2023, la Dress (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) publie des données utiles pour la compréhension de la situation des bénéficiaires du RSA.
C’est la confirmation du risque d’enlisement dans le RSA. Est-ce que les nouvelles obligations imposées aux allocataires vont leur apporter une amélioration, il est permis d’en douter !
« Que deviennent les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) sur une période de dix ans ?
Parmi ceux âgés de 16 à 49 ans fin 2010, un bénéficiaire sur cinq a encore perçu l’allocation chaque fin d’année entre 2011 et 2020, deux sur cinq ont connu au moins une sortie et une nouvelle entrée dans le dispositif sur la période, tandis que deux sur cinq l’ont quitté sans y revenir ensuite – dans un tiers des cas dès 2011.
Place(s) aux enfants rues Aimon de Chissé et Roger Louis Lachat : les travaux ont démarré. Le projet Place(s) aux enfants, co-porté par Grenoble Alpes Métropole et la Ville de Grenoble se poursuit. Deux nouvelles places aux enfants sont entrées en travaux : rues Aimon de Chissé devant le groupe scolaire Paul Bert et Roger Louis Lachat devant l’école Clémenceau. Objectifs : apaiser, végétaliser et rafraîchir. Rue Aimon de Chissé les travaux ont démarré fin octobre pour une durée de 8 mois. Rue Roger Louis Lachat le chantier a débuté mi-novembre pour une durée d’environ 4 mois (hors intempéries et vacances scolaires).
Deux nouveaux droits d’absence en cas de douleurs menstruelles ou de maladie lourde à la ville de Grenoble.Aujourd’hui, une personne menstruée sur deux souffre de douleurs pendant les règles (sondage IFOP 2021), et une sur dix souffre d’endométriose, généralement caractérisée par des douleurs pelviennes invalidantes. Afin de respecter le bien-être au travail des salariées souffrant de pathologies provoquant des règles douloureuses, la Ville leur proposera courant 2024 plus de deux jours de télétravail ou de bénéficier d’autorisations spéciales d’absence. En plus de cela, les agent.e.s souffrant de pathologies lourdes pourront désormais bénéficier d’autorisations spéciales d’absences pour se rendre à une consultation hospitalière ou clinique.
Grenoble franchit une nouvelle étape dans la lutte contre la précarité énergétique. La Ville de Grenoble marque un pas décisif dans la lutte contre la précarité énergétique avec la mise en place du programme « Territoire Zéro Exclusion Énergétique » (TZEE). Cette disposition est le fruit d’une collaboration étroite entre la municipalité et la société Zéro Exclusion Énergétique. La concrétisation de ce partenariat souligne l’engagement actif de la Ville dans la création d’un territoire inclusif sur le plan énergétique. Grenoble continuer de lutter contre la précarité énergétique (grenobleencommun.fr)