Samedi 27 avril de
14 h à 16 h 30 Place Félix Poulat à Grenoble, les Algériens de Grenoble demandent
de les soutenir dans la lutte contre le pouvoir corrompu et pour une société
démocratique de l’autre coté de la méditerranée.
Mercredi 1er mai 2019 :
manifestation départ à 10 h de la Gare de Grenoble arrivée au jardin de Ville. En plus de la manifestation syndicale, il y aura la
marche pour le climat
Jeudi 9 mai à 10 h 30 devant la poste Chavant pour protester contre les fermetures des bureaux de
poste à Grenoble et en Isère.
Le collectif « J’aime ma poste à Grenoble » apporte
des informations inquiétantes concernant les projets de la direction de la
Poste en Isère, Drôme et Ardèche. Il y aurait 32 projets de
« réorganisation » qui auraient pour conséquence une désorganisation
profonde du service public, voire une disparition dans de nombreux endroits. A
Grenoble au lieu de 11 bureaux actuels on n’aurait plus que 6 bureaux !!!
Après la fermeture des bureaux de Championnet et de Grand’Place, la Poste veut
fermer ceux de Bajatière et de Stalingrad et prépare d’autres fermetures.
Le collectif qui regroupe des collectifs d’habitants, des syndicats, des associations, des élus et des mouvements politiques est soutenu par la mairie de Grenoble ; il a organisé une réunion jeudi 25 avril pour lancer une riposte contre le démantèlement de ce service public.
L’action du réseau des
Missions Locales pour les jeunes de 16 à 25 ans, est efficace mais déstabilisée
depuis plusieurs mois. Après la menace de fusion des Missions Locales au sein
de Pôle emploi, la baisse des crédits de la CPO (convention pluriannuelle
d’objectifs) et les retards de versement des subventions en 2019, les
modifications rétroactives des règles de paiement de l’accompagnement de la
Garantie jeunes, les Missions Locales sont mises dans l’incapacité de répondre
aux besoins d’accompagnement de centaines de milliers de jeunes et de satisfaire
les objectifs du PIC (pole d’investissement dans les compétences) et du plan
pauvreté (qui n’arrive pas à répondre correctement aux problématiques liées à
la pauvreté). La réalité est que l’Etat fait des économies sur le dos des
jeunes en situation de précarité. Conséquence : 30 % des Missions Locales
seraient au bord de la cessation de paiement.
La situation de la Mission Locale de
Grenoble est impactée par ces différentes mesures. 4800 jeunes sont inscrits,
60 % d’entre eux, sont issus des QPV (quartier politique de la ville), et un
fort pourcentage ont un niveau infra bac. Les jeunes inscrits sont non
seulement en demande d’accès à l’emploi, mais étant donné leur niveau
insuffisant de formation, ils ont besoin d’accompagnement pour effectuer toutes
leurs recherches de formation ou d’emploi, à cela s’ajoutent aussi les
difficultés d’accès aux soins de santé et au logement et de mobilité. Près de
300 jeunes grenoblois ont bénéficié de la Garantie Jeunes, qui est un
dispositif qui a fait ses preuves, par un accompagnement soutenu durant une
année avec un conseiller pour 50 jeunes, (1 conseiller pour 100 jeunes pour le
reste des jeunes inscrits). Il y a des temps de regroupement, avec
l’apprentissage du travail de groupe et d’accompagnement vers des stages en
entreprises, mais aussi d’entrée en formation, et d’accès à l’emploi ainsi qu’une
allocation de 480 € mensuels durant 12 mois. Le plan pauvreté devait conforter
ce dispositif, hélas, pour cette année 2019, les réponses concrètes ne sont pas
au rendez-vous des besoins réels.
Le 23 avril, 13 maires de
grandes villes, de toutes étiquettes politiques (excepté d’extrême droite) ont
transmis une lettre aux ministres de l’intérieur et du logement concernant l’accueil
des migrants. Ils rappellent que : « garantir un hébergement digne relève de la responsabilité l’État, tout
comme le maintien de la tranquillité publique dans des quartiers très éprouvés
par la permanence de situations humaines et sociales particulièrement
complexes. » Et demandent une rencontre aux ministres pour en
débattre.
Les 13 villes signataires
du courrier sont : Aubervilliers, Bordeaux, Grande-Synthe, Grenoble, Lille,
Metz, Nantes, Paris, Rennes, Saint-Denis, Strasbourg, Toulouse et Troyes.
Le Sénat a créé
une mission d’information sur le thème : « Gratuité
des transports collectifs : fausse bonne idée ou révolution écologique et
sociale des mobilités ? », à la demande du groupe communiste
républicain citoyen et écologiste, dont le rapporteur est Guillaume Gontard
sénateur de l’Isère.
La mission d’information a lancé le 23 avril une
consultation grand public en ligne. Ouverte jusqu’au 31 mai 2019, cette consultation
prend la forme d’une dizaine de questions à choix multiples.
La Cour des Comptes a
transmis au gouvernement le 23 janvier 2019 un référé concernant la gestion
financière des autoroutes concédées à trois grands groupes privés. Les
ministres de l’économie et des transports avaient deux mois pour y répondre, ce
n’est que le 4 avril 2019 que Mme Bourne et M. De Rugy y ont répondu, mais sans
vouloir changer grand-chose et estimant que tout allait globalement bien. Or on
peut s’interroger par exemple sur l’A480 dont le coût réel des travaux semble
inférieur aux compensations obtenues par AREA.
La Cour des comptes rappelle
l’historique des demandes des concessionnaires ces dernières années :
L’étude d’avril 2019 de
l’INSEE examine les comportements de consommation des ménages en 2017. Elle
constate que la
consommation moyenne par ménage stagne (en euros constants), que les familles
monoparentales consomment moins que les autres. Malheureusement le poids du
logement dans le budget des ménages continue d’augmenter, en ce qui concerne l’alimentation ; les disparités entre ménages
modestes et aisés ne se réduisent plus et comme prévu ; le transport pèse plus en milieu rural et le logement
en milieu urbain. Si le niveau de revenu et la composition du ménage
restent déterminants dans l’organisation du budget familial, l’enquête montre
que le lieu de résidence a aussi un impact sur la répartition des dépenses.
Les propositions gouvernementales sur la réforme scolaire vont avoir des
conséquences néfastes sur le service public de l’éducation. La scolarisation obligatoire
dès l’âge de 3 ans – qui pourrait être une réelle avancée en soit – bénéficiera
à l’enseignement privé sous la forme d’une subvention directe de 150 millions
d’euros ; la création « d’établissements
publics des savoirs fondamentaux » menacera les postes de directeurs ou directrices
d’école. De même, la réforme des spécialités du bac 2021 se ferait au détriment
des enfants des quartiers prioritaires. Concernant ce dernier point cela se
vérifie à Grenoble, où les lycées en-deçà des Grands Boulevards sont moins bien
dotés que ceux situés au-delà.
Le ministre Blanquer pousse donc à son paroxysme les inégalités déjà
existantes et s’apprête à recourir massivement aux contractuels et à précariser
les enseignants ; il territorialise et supprime son caractère national au
baccalauréat.
La Métropole a mis en place le
dispositif « Louez facile »
qui propose aux propriétaires de louer leur bien, à un loyer inférieur au
prix du marché (fixé par l’État et la Métropole soit environ 25 % de moins), à
des personnes ayant de faibles ressources et participer ainsi au développement
du logement social. En contrepartie, le propriétaire bénéficie d’une déduction
fiscale de 85% sur ses revenus locatifs. Une prime complémentaire de 1000 €
peut aussi être versée par l’État dans la mesure où le bien se situe dans une
zone où l’offre est inférieure à la demande. Parmi la cible du dispositif, les
4 000 logements privés réellement vacants estimés dans la Métropole.
C’est la première fois
que le plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR),
dont c’est la cinquième édition relative aux années 2019-2021, est soumis à un
débat public organisé par la CNDP (Commission Nationale du Débat Public). Il a
démarré le 17 avril et durera jusqu’à fin septembre 2019.
Le dispositif prévoit une
vingtaine de manifestations sur l’ensemble du territoire (rien dans
l’agglomération grenobloise). A l’issue du débat, la commission établira un
compte-rendu, auquel la maîtrise d’ouvrage sera tenue de répondre pour dire si
elle poursuit ce projet de plan en l’état, en le modifiant ou en l’abandonnant.
Des mouvements antinucléaires dont le réseau « Sortir Du Nucléaire » annoncent
qu’ils ne participeront pas à ce débat dans un communiqué du 16 avril :
« Pour
nous, débattre n’a pas de sens si les choix sur ce sujet sont déjà verrouillés.
Il
n’existe à ce jour que trois ZCR (zones à circulation restreinte) en France : à
Paris, Grenoble et Strasbourg où les véhicules doivent être équipés des vignettes
Crit’Air. Les ZFE (zone à faibles émissions) sont la nouvelle appellation des
ZCR dans le projet de loi d’orientation sur les mobilités. Le dispositif est
trop lent à se développer en France, alors qu’il existe déjà plus de 230 ZCR et
ZFE en Europe. Le ministère de la Transition écologique et solidaire a dévoilé les
19 collectivités lauréates de l’appel à projets qu’il a lancé avec l’Ademe, sur
les zones à faibles émissions (ZFE). Le système repose sur l’usage des
vignettes Crit’Air, et a pour principe la souplesse : les collectivités ont
toute latitude pour décider du périmètre géographique, de l’amplitude horaire,
des catégories de véhicules concernées, des dérogations, etc. Une collectivité
peut décider d’interdire tout ou partie de son territoire à la circulation des
véhicules les plus polluants, pendant une période donnée ou de façon
permanente.
Voilà que se met en place, en préparation de la prochaine élection
municipale à Grenoble, un véritable bal des médiocres avec comme seul
programme : contre l’ancien maire corrompu et contre le maire actuel.
L’attelage regroupe de nombreux chevaux de retour de la politique locale, qui
n’ont rien fait contre la corruption qui a sévi dans la ville entre 1983 et
1995, certains y ont même participé et leur seul ciment c’est de cracher sur la
politique de la majorité municipale actuelle sans rien proposer comme
alternative. Contrairement à ce qu’ils croient, la politique n’est pas une
question de personnes mais de projets, de convictions et de sens du service
public. Il n’est pas étonnant de trouver dans cette tentative de regroupement,
des macronistes, des PS bien usés, des élus et ex-élus de droite, un
ex-préfet…Mme Salat dernière élue PS au Conseil municipal, qui participe à ces
réunions discrètes, est prise la main dans le pot de confiture, elle explique
que se rencontrer n’est pas s’engager et qu’elle cherche toujours un
rassemblement de gauche et de progrès !!! Les militants PS qui restent,
devraient lui offrir une boussole pour l’aider à retrouver la bonne direction
politique, qu’elle a perdue depuis bien longtemps. Comme renouveau de la
politique on passera. Vu la vacuité de leurs projets, ces candidats
s’entendront sur du vide. Ils auront bien du mal à choisir leur tête de liste,
à moins qu’elle ne soit décidée d’en haut. Comme politique politicienne on ne fait
pas mieux !
Deux rapports de la chambre régionale des comptes (CRC) rendus en 2015 et
2018 ont mis en cause la gestion de la Société d’économie mixte des pompes
funèbres intercommunales de 2008 à 2014. Les nouveaux élus de La Métro après
mars 2014 ont nommé de nouveaux administrateurs de la SEM PFI qui ont mis fin
au mandat de l’ancienne directrice (Mme Loiodice) et pris des décisions pour
gérer la SEM conformément aux lois et règlements.
Les informations révélées par les rapports de la CRC montrent qu’il y a
soupçon de favoritisme pour les passages de marchés publics, contrats et
avenants, des soupçons de prise illégale d’intérêt pour certains
administrateurs de l’époque, soupçon d’abus de bien sociaux pour les voyages,
repas, achats d’alcool… Quid de l’activité du Commissaire aux Comptes de la SEM
qui doit en contrôler les activités, conformément à la loi ?
Donc au lieu de s’offusquer
comme certains, il faut demander aux anciens administrateurs (dont certains
sont encore élus dans leurs communes ou à la Métro) notamment à l’ancien
président M. Repellin, aux anciens vice-présidents du CA : Mme Alberte Dessarts, M. François Diaz, M. Patrice
Voir, et aux administrateurs M. Marc Baïetto, M. Christian Coigné, M. Yves
Contreras, M. Pierre Joire, M. Christophe Mayoussier, M. Gilles Moulin, Mme
Eléonore Perrier, Mme Lucile Ferradou, ainsi que les administrateurs de la
Caisse d’épargne Rhône-Alpes, la Caisse des dépôts et consignations, la Mutuelle
de prévoyance, d’assistance et de conventions obsèques MUTAC.
En juillet 2018, la Métro et la Ville de Grenoble ont
décidé d’opérer le rapprochement rapide des deux bailleurs publics (ACTIS et
Grenoble Habitat). Ce rapprochement devrait permettre
de maintenir une gestion publique locale permettant une politique
d’accompagnement de proximité améliorant la vie quotidienne des locataires et une
rénovation correcte du parc de logements sociaux. Il devrait également
permettre d’assurer un meilleur équilibre des finances du bailleur social pour
qu’il survive à court, moyen et long terme, en raison des évolutions
législatives du gouvernement actuel.
Un certain nombre de personnes sont encore persuadées
que le sauvetage de l’OPH ACTIS serait possible, sans que la fusion avec
Grenoble Habitat ne se réalise. Ces personnes ne semblent ne pas avoir pris
connaissance des lois de finances successives qui imposent des baisses
importantes de loyers (le fameux RLS), depuis le 1er mars 2018 pour
les locataires touchant l’APL. L’APL est réduite du même montant que la baisse
de loyer, n’apportant en réalité aucune aide au locataire, mais diminuant
d’autant les recettes des bailleurs des logements sociaux. De plus la loi
ELAN a modifié le taux de TVA qui est passée de 5,5% à 10 % pour la
construction de logements sociaux, donc augmente sévèrement le coût de
constructions. Parallèlement, on essaye de nous vendre un plan
anti-pauvreté ! Quelle hypocrisie !
Historiquement, la ville de Grenoble payait, au gestionnaire de son
service de l’eau, un volume d’eau forfaitaire pour assurer le lavage des rues,
ainsi que le nettoyage des marchés. La ville disposait d’environ 3000 bouches
d’arrosage mais qui, évidemment, ne disposait pas de compteur (cela aurait
coûté trop cher). A noter que les bouches d’arrosage étaient utilisées pour
arroser aussi les espaces verts.
En 1976, un accord avait été trouvé pour définir un volume forfaitaire
qui fixait à 476 000 m3 le volume d’eau le lavage des rues et 30 000 m3
pour les marchés.
Des évolutions dans le nettoyage de la voirie se sont développées par
l’utilisation de laveuses de voirie dont le remplissage se fait sur des prises
d’eau équipées de compteurs, impliquait une baisse significative de la
consommation d’eau, mais toujours non mesurable.
En 2015, un accord a été conclu pour fixer le forfait à 356 000 m3
(326 000 m3 pour la voirie et toujours 30 000 m3 pour les marchés).
Une place en crèche coûte cher, plus de 15 000
euros par an pour des crèches gérées par des associations à plus de 18 000
euros par an pour des crèches gérées par des collectivités ou des CCAS
(chiffres 2015 moyennes).
Pour les familles à faible revenu, seules les
crèches sont accessibles financièrement car le tarif dépend des revenus. Les
autres modes d’accueil sont trop chers.
Voir à ce sujet les études de l’IGAS et de la CNAF.
Si 60% du coût est financé par la CAF et les
familles, le reste doit être financé par les communes ou les intercommunalités.
Les réductions des moyens financiers des communes impactent donc directement la
création de places de crèche, voir menacent leur existence.
Suite à la mise en place d’une tarification sociale du stationnement sur voirie pour les résidents, par une délibération de la Ville de Grenoble du 20 juin 2016, une élue PS avait fait un recours en annulation de cette délibération. Le motif de son recours était qu’il s’agissait d’un service public administratif obligatoire donc la loi interdisait de faire un tarif dépendant du revenu. Le tribunal administratif de Grenoble annule la délibération le 14 février 2017, mais en ne suivant pas le motif de la requérante puisqu’il juge que « la réglementation du stationnement des véhicules le long des voies publiques classées en zone de stationnement payant ne saurait être qualifiée de service public ». Il explique que le niveau de revenu du résident ne justifie pas une situation objectivement différente d’occuper de façon privative le domaine public et « qu’aucune nécessité d’intérêt général en rapport avec la réglementation du stationnement des véhicules le long des voies publiques ne permet de justifier la fixation des tarifs de stationnement « résidents » en fonction des ressources des familles ».
En
mars 2019 est rendue la synthèse de l’enquête commerçants concernant l’étude de
diagnostic et de prospective commerciale en 2018 à la Tronche.
La
Métropole, en partenariat avec la commune de la Tronche, a confié à l’Agence
d’urbanisme de la région grenobloise une étude de diagnostic et de prospective
commerciale portant sur trois des quatre centralités commerciales de La Tronche
: Petite Tronche, Le Péage et Grande Tronche (Doyen Gosse n’a pas été
explorée). Ces zones regroupent 62 locaux commerciaux dont l’aire de chalandise
se limite aux quartiers environnants. Quelques commerces sont également
implantés dans le diffus.
L’Agence
d’Urbanisme de la Région Grenobloise (AURG) vient d’éditer la carte des
intercommunalités dans la Région Auvergne-Rhône-Alpes au 1er janvier
2019.
« La
mise en œuvre des schémas départementaux de coopération intercommunale (SDCI)
impulsée par la loi NOTRe du 7 août 2015 a bouleversé le paysage intercommunal
: des EPCI se sont créés, disloqués, ont fusionné. Après une forte évolution
entre 2016 et 2017, le nombre d’EPCI tend à se stabiliser à l’échelle de la
Région Auvergne-Rhône-Alpes.
La réforme constitutionnelle de
2008 a introduit le RIP (Référendum d’Initiative Partagée) qui jusqu’à présent
n’a pas été utilisé car son mode d’emploi est une vraie course d’obstacle. Il
s’agit d’une proposition de loi présentée par des parlementaires et qui
pourrait être soumise à un référendum pour imposer sa promulgation si le
Parlement refuse de l’adopter. 248 parlementaires de tous les bords politiques
(sauf l’extrême droite et LREM) ont signé la proposition de loi qui affirme le
caractère de service public des aéroports de Paris, ce qui empêcherait, si elle
était adoptée, leur privatisation
Les 5 sénateurs de l’Isère et
la députée de la 4ème circonscription de l’Isère ont signé cette
proposition de RIP.
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