Depuis des années la ville de Grenoble fait d’importants efforts pour rendre les espaces publics accessibles aux personnes à mobilité réduite. En effet tout ce qui est bon pour les personnes à mobilité réduite est bon pour tout le monde. Un effort tout particulier a été effectué entre 1995 et 2008 par François Suchod, élu ADES à la mairie. Pour se souvenir de cet important travail, l’ADES avait édité une brochure : « François Suchod, une vie pour tous ».
Durant le dernier mandat, c’est Christine Garnier qui
avait la délégation à l’accessibilité et qui a poursuivi ce travail essentiel.
L’association « APF France handicap »
milite activement pour que les politiques publiques rendent nos villes toujours
plus accessibles, elle vient de rendre public le classement des métropoles en
fonction de la qualité de leur accessibilité :
« Grenoble en tête avec 30 % de répondantes déclarant
être rarement ou jamais gênées lors de leurs déplacement, suivie par Rennes (27
%), puis Nantes (24 %) et Strasbourg (24 %). Viennent ensuite les métropoles de
Montpellier (19%), Lille (18%), Toulouse (17%), Toulon (16%), Lyon (15%),
Bordeaux (13%), Rouen (13%), Nice (10%), le Grand Paris (9%), Aix-Marseille
(9%).
Une importante manifestation a eu lieu devant la clinique le 30 janvier et la pétition lancée par J. Alexandre a dépassé les 10 000 signatures. Voici le billet que ce dernier adresse aux signataires de la pétition en rappelant la réunion du 14 février à 18 h 30 à la Maison des Association pour construire une SCIC qui reprendrait la gestion de la clinique :
« La vente des Cliniques du GHM est massivement
rejetée par la population Grenobloise. Plus de 300 personnes donc ont manifesté
ce jeudi 30 janvier, devant le parvis de la Clinique d’Alembert.
Ce que les Grenoblois refusent, outre le fait
qu’AESIO-ADREA Mutuelle se fasse de l’argent avec les Cliniques Mutualistes,
qui rappelons-le, ne leur appartiennent pas, c’est l’abandon du statut d’ESPIC,
c’est la braderie à des intérêts privés d’un bien collectif.
Nous n’avons rien contre le privé lucratif, nous avons des exemples sur
Grenoble de plusieurs établissements privés lucratifs. Il y a des établissements
privés lucratifs qui font de la recherche, Ce n’est pas notre choix pour nos
établissements du GHM
Les efforts se poursuivent pour limiter au mieux la pollution atmosphérique dans l’agglomération. Depuis des années les efforts de la Ville et de la Métro portent petit à petit leurs fruits : la tendance est une diminution générale des pollutions (à part l’ozone), même si des épisodes sévères de pics de pollution ne peuvent pas être évités à cause de phénomènes météorologiques particuliers comme l’inversion de température qui bloque les pollutions en empêchant leur évacuation. Voir le bilan 2018 d’Atmo Aura en Isère ici.
La démonstration de l’OFCE (Observatoire
français des conjonctures économiques) du 5 février 2020 est sans appel :
les 5 % de Français les plus pauvres devraient voir leur niveau de vie se
réduire d’environ 240 euros par an alors que les 5 % les plus riches devraient
voir le leur grimper de 2 905 euros par an » ! Sur les
17 milliards d’euros distribués aux ménages depuis le début du
quinquennat, plus du quart (environ 4,5 milliards d’euros) est allé
soutenir le revenu disponible des 5 % de ménages les plus aisés.
Une politique de justice
sociale aurait été de favoriser les plus démunis au détriment des plus riches.
C’est l’inverse qui se passe. Il y a les beaux discours et les réalités en
actes.
En fait la lutte contre la
pauvreté dont s’occupait O. Noblecourt n’était qu’un alibi pour masquer cette
triste réalité : priorité aux actifs et surtout aux très riches. Les plus
pauvres payent fortement l’addition de cette politique injuste socialement.
Actuellement la loi permet aux ressortissants de l’Union
Européenne le droit de vote aux élections municipales et européennes se
déroulant en France, mais cela ne concerne pas les résidents étrangers issus de
pays n’appartenant pas à l’Union Européenne.
Depuis le 1er février, le Royaume Uni n’est plus dans
l’Union Européenne, conséquence les 37 Britanniques qui étaient inscrits sur la
liste électorale à Grenoble, ne pourront plus voter en mars 2020 pour
l’élection municipale. Ils rejoignent les autres résidents étrangers qui ne
peuvent pas voter aux élections locales.
Depuis plus de vingt ans, La Lettre de la Citoyenneté publie une enquête annuelle pour suivre le regard des Français concernant le droit de vote des étrangers résidant en France pour les élections locales et européennes.
Quelle hiérarchie opérer entre la défense de
l’environnement et le respect de la liberté d’entreprendre ? Cette
dernière est garantie par l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme
et du citoyen qui fait partie de la constitution. Le 31 janvier suite à une
question prioritaire de constitutionnalité (QPC), le Conseil Constitutionnel
(CC) décide que l’environnement fait partie du « patrimoine commun des
êtres humains », en s’appuyant sur la Charte de l’environnement qui
est de valeur constitutionnelle de même que l’objectif de protection de la
santé, issu du Préambule de la Constitution de 1946.
Avant de partir à la Hatvp (Haute autorité pour la
transparence de la vie publique), le premier président de la Cour des comptes,
M. Migaud, rend public un référé qui estime que les plans Écophyto mis en œuvre
par l’État depuis 2008 pour réduire l’usage des pesticides n’ont pas atteint
leurs objectifs, malgré la mobilisation de moyens publics importants. La Cour
estime que l’État pourrait davantage influer sur les modes de production et les
filières par l’exercice de ses compétences normatives, de régulation et
d’information. La Cour recommande de « publier et rendre accessibles au
public, chaque année, les données et les analyses rendant compte de la
politique menée, des substances actives émises et de leurs effets sur la santé
humaine et sur l’environnement, notamment sous forme de cartographies ».
La Cour souhaite aussi que soit introduit, dans les négociations de la nouvelle
politique agricole commune (PAC), un objectif prioritaire de réduction de
l’usage des produits phytopharmaceutiques.
Le décret n° 2020-69 du 30 janvier 2020, relatif aux
nouvelles obligations des agents publics est entré en vigueur le 1er
février 2020. Il est pris pour l’application de l’article 34 de la loi n° 2019-828 du 6 août 2019 de transformation de la fonction
publique, notamment pour de nouvelles interventions de la Haute autorité pour
la transparence de la vie publique et les passages des agents entre emplois
public et privés.
Le jeudi 6 février à 18 h à l’Hôtel de Ville conférence sur la restauration de la tour Perret. « Ordre et désordres du béton. »Par François Botton, architecte du Patrimoine, maître-d ‘œuvre de la restauration
Dans ce numéro nous insistons sur
les dégâts de la politique nationale du gouvernement Macron-Philippe qui ne
s’attaque pas réellement à la pauvreté qui augmente, ni à la précarité
énergétique, ni à la précarité alimentaire… par contre il attaque frontalement
les retraites, le logement social, la fiscalité locale, l’hébergement
d’urgence… Cette politique a des conséquences très négatives sur les politiques
locales qui sont appelées à compenser ces méfaits alors que l’Etat leur a
diminué les dotations. La résistance à cette politique doit se poursuivre par
les mouvements sociaux et par les politiques publiques locales. Réussir les
transitions suppose de garantir au mieux toutes les sécurités pour toutes et
tous. Grenoble en commun avec Eric Piolle est la seule liste qui adapte ses
propositions en fonction des réalités néfastes de la politique ultralibérale de
Macron. Les autres listes sont totalement hors sol, ne prenant pas en compte
cette dure réalité.
Le 10 décembre 2019, dans une circulaire,
le ministre de l’intérieur avait décidé de ne plus nuancer politiquement les
listes aux élections municipales pour les communes de moins de 9000 habitants.
C’était clairement une volonté de camoufler le prochain échec des listes présentées
ou soutenues par la majorité présidentielle. Des oppositions ont saisi le
Conseil d’Etat par référé suspension, estimant qu’il y avait notamment
violation d’une information correcte des citoyens et un camouflage des listes
LREM en « divers centre ».
Le 31 janvier 2020, le juge des référés
donne raison aux requérants et ordonne :
« L’exécution de
la circulaire du 10 décembre 2019 du ministre de l’intérieur relative à
l’attribution des nuances politiques aux candidats aux élections municipales et
communautaires des 15 et 22 mars 2020 est suspendue en tant qu’elle limite
l’attribution des nuances aux listes dans les seules communes de 9 000
habitants ou plus ainsi que dans les chefs-lieux d’arrondissement, en tant
qu’elle prévoit l’attribution de la nuance « Liste divers Centre » (LDVC) aux
listes qui, sans être officiellement investies par LREM, le MODEM, l’UDI,
seront soutenues par ces partis ou par la « majorité présidentielle » et en
tant qu’elle classe la nuance « Liste Debout la France » (LDLF) dans le bloc de
clivage « extrême-droite », jusqu’à qu’il soit statué au fond sur sa
légalité. »
La liste menée par O. Noblecourt est
un raccourci local du « en même temps » macronien gauche-droite. On y
trouve des « en marche » patentés, des militants de gauche et de
vrais représentants de la droite locale comme M. De Longevialle. C’est un
remake de la liste qui a géré la ville de 2008 à 2014 avec le succès que l’on
connait. En 2008, la liste « écologie et solidarité » conduite par
Maryvonne Boileau avait évidemment refusé une quelconque fusion au deuxième
tour avec un tel attelage. Cette situation se reproduira à l’identique en 2020,
une fusion entre la liste « Grenoble en commun » avec la liste
de O. Noblecourt est impensable,
c’est une question de simple clarté politique. De plus, le programme de cette
liste est irréaliste car non finançable : il y a forte augmentation des
dépenses de fonctionnement mais pas des recettes…
Rappel de quelques
caractéristiques de la carrière politique de M. De Longevialle. Il a bourlingué depuis le cabinet de l’ancien
maire corrompu, puis élu à Meylan avec l’UMP, puis au Modem avant d’en être
exclu pour avoir usurpé l’identité d’un
conseiller général du Rhône pour tenter de déstabiliser la campagne du Modem
aux élections régionales de 2010 car il n’avait pas été choisi comme tête de
liste Modem dans l’Isère. Adjoint à l’immobilier (entre 2008 et 2014) il a
bétonné la ville comme jamais. C’est un anti-écologiste patenté, c’est pour
cela qu’il avait été choisi par M. Destot en 2008 dans sa liste gauche-droite.
Il est gérant d’une petite boite dans l’immobilier et en 2018 il a créé une
annexe de cette entreprise à Grenoble pour pouvoir se représenter aux élections
municipales de 2020 car il habite en Savoie en fait. Du point de vue
déontologique il y aurait beaucoup à dire, par exemple il s’est permis de
signer des permis de construire après l’élection de la nouvelle majorité, mais
avant que le nouveau maire soit élu, pour signer en urgence des permis pour des
opérations contestés par la nouvelle majorité.
On apprend aussi pourquoi M. Lévy a
choisi la liste Noblecourt, car ce dernier « connait
les hautes sphères de l’Etat, ses mécanismes et il saura porter les
projets de Grenoble au plus haut niveau pour les faire aboutir ». Voilà qui va rassurer Macron et ses partisans
sur les choix qui seraient faits par la municipalité qu’il souhaite !
L’article 39 de la Constitution impose que le Premier ministre demande au
Conseil d’Etat un avis sur tous les projets de loi qui seront ensuite délibérés
en Conseil des ministres puis déposés sur le bureau soit de l’Assemblée
Nationale, soit du Sénat. Cet avis obligatoire porte sur la régularité
juridique des textes, leur forme et la pertinence des propositions au regard
des objectifs poursuivis ainsi que les risques juridiques encourus par l’Etat.
En général, suite à l’avis du Conseil d’Etat, le gouvernement finalise le texte
de loi, mais l’avis n’étant que consultatif il peut passer outre, c’est ce
qu’il a fait.
Première remarque, c’est la très grande précipitation du
gouvernement qui a exigé d’avoir l’avis sous 3 semaines, alors que le
dossier est très complexe et en pleine évolution.
« Le
Conseil d’Etat a été saisi le 3 janvier 2020 d’un projet de loi organique «
relatif au système universel de retraite » et d’un projet de loi « instituant
un système universel de retraite ». Ces deux textes ont fait l’objet de
saisines rectificatives respectivement les 9, 10, 13, 14, 15 et 16 janvier
2020. Les deux projets visent à réaliser une réforme de grande ampleur de
l’assurance vieillesse et des régimes complémentaires obligatoires de retraite
conduisant à la mise en place d’un « système universel de retraite »
(SUR). »
La 5G, cette nouvelle technologie qui devrait être déployée prochainement, permettra de transmettre beaucoup plus rapidement que la téléphonie mobile actuelle de très grandes quantités de données, Mais elle suscite des inquiétudes liées à son impact sanitaire ou environnemental, ce qui a poussé des ONG à annoncer un recours en justice pour demander l’annulation de l’appel à candidatures lancé en décembre 2019 pour l’attribution des fréquences.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a
rendu un rapport intermédiaire publié le
26 janvier 2020, intitulé : « Exposition de la population aux
champs électromagnétiques liée au déploiement de la technologie de
communication « 5G » et effets sanitaires associés »
L’association France Urbaine qui regroupe les grandes villes, les métropoles et les agglomérations, avec l’association Resolis (Recherche et évaluation de solutions innovantes et sociales) a publié le 14 janvier, une étude sur « Les villes face aux défis de la précarité alimentaire« . 21 villes dont Grenoble, ont participé à l’élaboration des nombreuses solutions proposées sur le terrain pour lutter contre la précarité alimentaire qui touche de plus en plus de personnes. L’INSEE indique que 8,8 millions de personnes vivent aujourd’hui en dessous du seuil de pauvreté et 5 millions de personnes ont recours à l’aide alimentaire… Les propositions concrètes se situent principalement dans les domaines suivants : restauration scolaire, épiceries solidaires, commande publique, suivre l’évolution des comportements alimentaires, développement des circuits de proximité…
La fiche présentant les actions de la ville de Grenoble se trouve page 28 de l’étude et indique deux réalisations phares mises en place dans la ville : Episol, une épicerie locale et solidaire pour toutes et tous qui compte environ un millier de familles adhérentes et une cantine verte dès 78 centimes (c’est le prix du repas à la cantine pour les budgets les plus modestes)
L’Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE) a noté une hausse
du nombre de personnes en situation de précarité énergétique (+ 233 000 en
2018). Ce nombre s’élève à présent à 6,8 millions de personnes. Ce
chiffre est d’autant plus préoccupant qu’il était auparavant en baisse, depuis
deux ans.
« La
hausse structurelle des prix de l’énergie tend à accroître la pression sur les
plus modestes. Combinée à une augmentation du taux de pauvreté, cette tendance
haussière observée d depuis plusieurs années entraine mécaniquement davantage
de ménages dans la précarité énergétique. Ainsi, ce sont près de 7 millions de
personnes qui, en France en 2018, sont touchées par la précarité énergétique.
Triste constat : le nombre de ménages fragilisés est en hausse, ce qui se
traduit par une augmentation des demandes d’aides à tous les guichets, et hélas
par voie de conséquence face aux impayés de facture d’énergie, par une
augmentation du nombre des coupures de gaz et d’électricité… »
C’est
ce que démontre le 25ème rapport sur « l’État du mal-logement en
France » de la Fondation Abbé Pierre. Le rapport alerte l’opinion publique
sur la multiplication des atteintes au droit au logement et à l’hébergement
d’urgence.
« Malgré
certaines initiatives à encourager, le Gouvernement, trop souvent, aggrave la situation
par une
politique de coupes budgétaires inédites dans le domaine du logement. »
Les
chiffres sont impressionnants ; ce sont 3,9 milliards d’euros supprimés
dans les APL par an depuis l’arrivée de Macron, par différentes décisions.
La diminution de la
construction de logements sociaux est très sévère 20 000 constructions de
moins entre 2016 et 2018, passant de 125 000 en 2016 à 105 000 en
2018. C’est le résultat de l’attaque en règle de Macron contre le logement
social.
L’Observatoire des loyers de
l’agglomération parisienne (Olap) vient de montrer que l’intervalle entre
l’annulation de l’encadrement des loyers par la justice administrative et son
rétablissement par la loi Elan a donné lieu à une poussée à la hausse des
loyers à la relocation dans la capitale.
L’Olap qui produit des loyers de références
pour les logements du parc privé, servant notamment à l’encadrement de loyers a
publié un « Bilan du non encadrement à Paris en 2018 ».
L’encadrement des loyers avait été
mis en place le 1er août 2015, jusqu’au 27 novembre 2017, dans le cadre de la loi
Alur (pour l’accès au logement et un urbanisme rénové) du 24 mars 2014, avant
d’être annulé par la justice administrative. La possibilité d’encadrement des
loyers a été rétablie par la loi Elan et remis en vigueur dans la capitale, à
titre expérimental, depuis le 1er juillet 2019.
Depuis l’arrivée au pouvoir de
Macron, la construction de logements a baissé chaque année, cela se confirme en
2019. Il y a deux types de données qui permettent de suivre cette évolution, le
nombre d’autorisation données (permis de construire) et le nombre de mises en chantier.
Pour l’ensemble de l’année 2019,
449 400 logements ont été autorisés à la construction, en baisse de
10 500 unités (- 2,3 %) par rapport à l’année 2018. Et en 2019,
410 300 logements ont été mis en chantier, soit 4 100 de moins
(- 1,0 %) qu’en 2018.
Ce sont surtout les constructions
de logement collectifs qui subissent les plus fortes baisses et la crise du
logement social n’est certainement pas étrangère à cette situation à cause de
la diminution très forte des budgets des bailleurs sociaux par la diminution
autoritaire des loyers pour permette à l’Etat de faire des économies dans les
APL.
Quatorze collectivités, dont la ville de Grenoble et des ONG assignent le
groupe Total en justice pour « inaction » climatique. Cette action
judiciaire au civil devant le tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine), s’annonce
d’ores et déjà longue, elle s’appuie sur la loi qui contraint les entreprises
françaises employant plus de 5 000 salariés à publier un plan pour prévenir les
risques en matière d’environnement.
Extraits de l’article de Libération du 28 janvier :
« Si nécessaire, la bataille climatique se gagnera
devant les tribunaux», prophétisait récemment Eric Piolle, maire écolo de Grenoble. Nous y voilà :
ce mardi matin, un collectif d’élus locaux réunis sous la bannière des Eco
Maires, épaulés par des ONG, a assigné la société Total devant le tribunal de
Nanterre (la multinationale pétrolière étant immatriculée dans les
Hauts-de-Seine) pour manquement à ses engagements contre le réchauffement de la
planète…